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Tupois Blagueur
66 abonnés
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1,0
Publiée le 31 octobre 2014
Étant toujours aussi fasciné par l'univers construit par l'écrivain britannique Clive Barker, je me suis fait un devoir de regarder la saga jusqu'au bout (je sais je suis fou). Comme on peut s'en douter, l'originalité ne prime pas ici, et c'est avec plaisir mais lassitude aussi que l'on retrouve toutes les ficelles utilisées dans les précédents volets, avec plus ou moins de réussite. Le résultat n'est pas désagréable mais l'ensemble reste quand même très moyen, avec des incohérences et des choix de mise en scène parfois risibles...
Film assez moyen, scénario un peu faible, par contre au côté casting; le retour de Ashley Laurence (Kirsty Cotton) et de Doug Bradley (Pinhead) ; est assez satisfaisant pour une cinquième suite.
Après un cinquième opus qui sentait plus le pétard mouillé que la véritable suite inspirée, ce sixième opus enfoncé une fois de plus le clou par rapport aux autres opus. Beaucoup moins inspiré sur le papier, le film déçoit par son éloignement continue de la saga originelle. Prenant des allures de thriller mal bridé, ce film n'offre clairement rien de bien prenant au spectateur. Cette impression de revoir sans cesse la même chose semble de plus en plus ce profiler. On retrouve les incessants flashback, déjà initiés dans le précédent opus, et qui n'apportent rien au film si ce n'est retourner l'esprit du spectateur qui se perd dans la trame principale. Il suffit de voir le retournement de situation afin de ce rendre compte du labyrinthe scénaristique de ce film. Ce cher Pinhead n'est clairement plus la star du film, au détriment d'une sous intrigue qui tourne pratiquement autour du cube et de son possesseur. Le thème de la débauche, si cher à Pinhead est plus que développé dans cet opus, n'apportant rien de plus à une histoire déjà pauvre. Ennuyant, jamais intéressant (sauf la fin peut être) Rick Bota endors progressivement le spectateur afin de lui faire avaler n'importe quoi. Vous l'aurez compris, à part le petit twist final sympathique, le film ne nous offre pas une histoire digne de ce nom. Côté acteur, le film ne comporte pas de personnages intéressants. Bien qu'on retrouve le personnage des trois premiers opus Kirsty Cotten interprétée par Ashley Laurence le casting n'est clairement pas aussi intéressant que par le passé. Comme à son habitude, on retrouve Doug Bradley dans le rôle de Pinhead. Toujours aussi froid dans ses paroles, toujours aussi méchant et menaçant, toujours aussi sanglant, mais bien trop peu présent dans cet opus. Seulement deux ou trois piètres apparitions qui ressemblent toutes à celles des précédents volets, pareil pour ses disciples les cénobites qui ne sont pas du tout originaux. Il en va de même pour les quelques effets spéciaux utilisés qui ne sont clairement pas très inspirés et qui semblent bien recyclés par rapport à l'opus précédent. Pareil pour les musiques qui sont un bête copier-coller du thème principal de la saga et qui n'apporte rien à la saga.
Vous l'aurez compris, rien ne va dans cet opus. L'histoire, bien que présentant un sympathique twist final, n'offre pas grand chose au spectateur désireux de nouveautés. Les acteurs semblent ne pas ce soucier de ce qu'ils font, pareil pour les musqués ajoutée semble-t-il a la va-vite, un peu comme la réalisation de ce film. Pas catastrophique, mais presque ...
Une suite un peu trop prévisible pour être honnête, d’autant que l’intrigue ressemble pas mal à celle de l’opus précédent. Le coup du héros amnésique qui n’a aucune prise sur sa destinée et qui découvre au fur à mesure qu’il est un salaud finit ça a déjà été fait un million de fois.
Sans doute le plus mauvais de la saga, des scenes gore certe, une violence peu presente pour une interdiction aux moins de 16ans, une histoire encore differente mais moins interessante que Inferno et surtout compliquée qui nous retourne le cerveau à cause de tout ces illusion et vision qui nous perdent dans le film à force de ne souhaiter qu'une chose, qu'il soit finit et qu'on puisse enfin ranger le dvd dans la jaquette sans plus jamais la ressortir. Meme le final est très decevant et ne nous explique pas grand chose. A eviter si vous ne voulez pas plomber votre attirance pour la saga. 1/5 pour quelque petites scenes gores qui sont toutefois inutiles.
Le sommet du n'importe quoi, le 5ème opus passe pour un chef d'oeuvre à côté de celui-ci. L'esprit même de la série est enterré, Pinhead n'apparait que ça et là en guest star, et les cénobites (l'intêret principal de ce genre de film) inexistants. C'est comme regarder un vendredi 13 sans meurtres. A éviter absolument
Malgré quelques idées honorables, dont le poste de police complètement fantasmé, on est ici devant un film qui veut nous perdre dans les méandres de l'esprit. Mais dommage que ces méandres soit celles de l'ennui et non celles de la folie provocatrice.
Le pire film de la saga Hellraiser, et même l'un des pires films que j'ai pu voir simplement. Si nul qu'il parvient a arracher quelques sourires, tout en étant pas du tout un nanar agréable... Il est rare de voir un film aussi prévisible et mal écrit, ca n'a ni queue ni tête, ca ne rime a rien ! Il en faut du talent pour pondre un truc pareil...
Heureusement que c'est un TV film, sinon je hurlerai au scandale. Nul, inutile, pathétique, très peu d'effets spéciaux, à mille lieues en dessous de l'original. C'est de la provoc d'avoir appelé ça hellraiser 5.
Et un de plus, cette fois c'est une sorte de thriller amnésique long et chiant. On comprends pas grand chose, et les cénobites sont très peut présent. La saga cool encore un peu plus au fur et à mesure.
Si le début du film paraît honorable, Hellseeker ne propose bientôt plus rien non seulement au fan de la saga mais aussi au simple curieux. Le film est dénué d'idées, ne comporte aucune trace d'invention, et la réalisation est particulièrement fade, jusqu'à rendre la vision du film difficile en fin de partie. Le final est tout simplement nul à souhait. Et quand Rick Bota prend les choses en mains, ça fait mal : Deader, le fragment suivant, sera aussi médiocre. Après Inferno en demi-teinte (malgré la reconnaissance de la majeure partie des spectateurs), la saga semble s'éteindre ici, et le (timide) retour d'Ashley Laurence opportun pour boucler la boucle. L'ultime épisode relèvera quelque peu le niveau. En attendant, ce sixième épisode, le plus fade, est au côté du septième, le plus ridicule (plus encore qu'Hellraiser 3 qui n'était jamais plus que foireux) ; au bas du classement Hellraiser, très, très, très très loin derrière les excellents deux premiers opus (et Bloodline qui s'en tire très bien en osant, lui, innover et prendre des risques).