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T800
28 abonnés
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2,5
Publiée le 16 juin 2009
Un film visuellement esthétique, dans une ambiance froide extraordinaire, gachée par certaines inégalités dans le scénario. Les vampires, effrayants au début ne sont finalement que des abrutis finis. On en sort finalement frustrés face a un léger gachis du potentiel initial. Ca reste bon.
Film interessant.L'histoire bien que pas mal est assez plate par moment certain "vampire" sont mal fait et certaines scenes d'épouvante sont plus drole qu'autre chose. Mis a par cela le film est plutot bien il y a du suspens et les effets sont bien fait.
Après le remarquable Hard Candy, film plein de punch et dérangeant où une jeune fille torture un homme qu’elle soupçonne d’être pédophile, David Slade déçoit considérablement avec cette adaptation de l’excellente BD de Frank Miller. Le début, comme c’est souvent le cas dans ce genre de films, est pourtant très prenant, et la réalisation se permet quelques touches esthétiques effroyables (les dents de Ben Foster sont un écho aux vampires qu’il aimerait être, le bonnet d’un enfant qu’on aperçoit quand Josh Hartnett déclare aux habitants de se cacher, et qu’on revoit ensuite se faire dévorer par un vampire –seul le bonnet est visible, mais l’effet est réussi). Le chef opérateur ne démérite pas, et la musique est également excellente. Alors qu’est ce qui cloche ? L’ennemi, en l’occurrence les vampires, et le scénario, trop répétitif. Avec leurs rictus acérés, leurs visages blancs et leurs pupilles noires, les fameux suceurs de sang ressemblent plus à des voyous demeurés maquillés en clown qu’autre chose. Seul leur chef, très bien interprété par Danny Huston, fils de l’illustre John, sort du lot et déclare de brèves phrases prophétiques genre Dieu n’existe pas ou Confirmons que nous sommes leur pire cauchemar. Au final, ces vampires sont tout simplement un ennemi bête et méchant juste bon à se faire dézinguer. Aucune portée métaphorique, aucune notion réaliste, aucun écho social ne vient leur donner plus d’intérêt. Quand au scénario, il enchaîne les séquences « on rentre, on sort » avec un manque de plus en plus flagrant de suspense. Le final, lui, tombe à plat. David Slade se serait-il fait vampiriser par l’industrie hollywoodienne ?
Un film d'horreur costaud pour ceux qui ont les nerfs d'acier. Même moi qui suis amateur du genre, j'étais surpris et mal à l'aise face à certaines scènes du film, qui sont, selon moi, d'une violence et d'un gore élevé, pour ne pas dire extrême. Le casting est pas mauvais: Josh Hartnett et Melissa George interprètent correctement le couple phare de cette descente aux enfers. L'histoire raconte la survie d'un village isolé en Alaska pendant un mois, car la population est descimé par une horde de vampires assoiffés. Les scènes sont très costauds où le rouge est la couleur principale. Le film devient vite un huis-clos infernal, rythmé par une musique haletante. Moi j'ai beaucoup aimé, mais je pense que ceux qui ne sont pas adeptes de ce genre de film penseront le contraire...
C est bon, très bon même. Avec son pitch bien trouvé adapté d une bande dessinée et cette bande de vampires qui attaque un village d Alaska plongé dans la nuit pendant 30 jours ce film est plutôt bien maîtrisé. En dehors du stéréotype déjà vu cent fois du couple en crise qui va devoir affronter ensemble une situation qui sort du commun, le reste est brillant. Du gore bien fait, quelques plans qui ont vraiment de la gueule c est du très bel ouvrage, j ai été mordu.
Film d'horreur qui même si il n'est pas follement original tente de renouveler le genre. Plusieurs scènes gores et tendues, dommage que la fin soit pas à la hauteur de la première heure.
Le réalisateur David Slade (« Hard candy ») nous offre un petit thriller horrifique assez convenu mais doté d'un scénario convaincant, au moins dans sa première partie. En effet, on découvre avec bonheur une petite communauté de mineurs tranquillement nichée en plein cœur de l'Alaska glacé. Le soleil vient de se coucher et il faut maintenant attendre 30 jours avant de le revoir pointer le bout de son nez... C'est à ce moment précis qu'une bande de vilains vampires décide de débarquer. Tout le monde sait qu'ils ne sortent que la nuit, ils ont donc un mois tout entier pour faire leurs courses en ville... Bientôt les pauvres survivants se comptent sur les doigts d'une main et il reste encore 29 jours avant le retour du soleil. Le malheur dans cette sympathique histoire, c'est que les vampires sont assez mal fichus et ne font pas peur. C'est bien dommage, car ce sont les personnages principaux et ils auraient mérité un bien meilleur traitement ! Ceci dit, le reste est plutôt de bonne facture, les effets spéciaux gores sont réussis, le suspense efficace et on passe globalement un bon moment... Jusqu'à la fin qui est un peu bancale mais bon, on fait avec. Dans l'ensemble, les amateurs de sensations fortes seront quand même plus que satisfaits.
Depuis toujours, le mythe de vampire a inspiré le cinéma. De Nosferatu de Murnau ou Vampyr de Dreyer au Dracula de Coppola, on pensait en avoir fait le tour. Le sujet kitschissme par excellence ayant sombré le plus souvent dans des caricatures éhontées, voire grotesques. « 30 jours de nuit » vient s’inscrire en faux contre ce préjugé. Bien évidemment on peut y reprocher des dialogues lourdingues parfois et la temporalité mal exploitée. Mais ce qu’il faut surtout y voir, c’est l’approche même du mythe à travers l’adaptation du comic. Une nouvelle race de vampires nous arrive, top classe, mi-humain, mi-bêtes dégénérés, ils apparaissent de suite crédibles et, reconnaissons-le, assez effrayants. Leur volonté de destruction ne porte pas sur un fantasme érotico-mysthico-intello de reproduction d’êtres suprêmes. Leur motivation est purement basique, ils ont faim et le font savoir. A David Slade de nous le montrer ! Et de quelle manière ! Son approche est terriblement efficace, ses cadrages virevoltants, ses scènes époustouflantes (le plan séquence aérien du massacre au début par exemple) et l’accompagnement visuel de l’ensemble participent à faire de ce film l’un des incontournables du genre. Du bon et grand spectacle d’épouvante éprouvante.
Le côté original est sans conteste le cadre de ce village isolé pendant un mois dans le grand Nord et condamné à une longue nuit polaire en total huit clos après le départ du dernier avion. Environ 150/200 personnes restent dans ce laps de temps mais très rapidement une horde de vampires venue de nulle part fond sur ce village. Quelques meurtres sanglants puis le déferlement et les survivants obligés de résister comme ils peuvent et de se barricader. Le jeune policier du coin et sa petite amie sont les premiers défenseurs de cette population terrifiée. Film de genre, très violent,sanglant, sans second degré ni humour. Non rien que du gore,des hurlements,du sang,de la tension et de la peur avec les très bonnes prestations de Josh Harnett et de la charmante Mélissa George. Un film vraiment pour les amateurs de film d'horreur.
Un genre de "The thing" mais avec une horde de vampires. Je m'attendais à beaucoup mieux. Le côté gore est réussi, mais le scénario est ennuyeux. On termine avec un dénouement à la twilight très moyen. 2,5/5
Agréablement surpris par ce film dont je pensais qu'il s'agissait d'un énième et classique film de vampires. Heureusement celui ci a été tourné sans prétention mais également en se tournant vers un autre aspect rarement étudié car sans se basé sur les origines, les pourquoi, etc... l'on suit plus les survivant et leurs quêtes de survie. Avec en primes une fin atypique et surprenante tant on peut s'attendre à un "the end" à l'américaine archi banale.
J'ai vraiment aimé ! Surtout pour son côté original, ce n'est pas le genre de film de vampires déjà vu. Les acteurs sont vraiment géniaux, le scénario est très bon, la mise en scène est impeccable, et la fin est tout juste magistrale et merveilleuse ! Les vampires sont vraiment bien faits ! Je n'en dirais pas plus car tout est dit, c'est un très très bon film de vampires, je le conseille fortement.
Je me suis endormi tellement le film est naze. Rien a rajouter. Si, Josh Harnett devrait refaire des films comme 40 Jours 40 nuits ou il est plus crédible, être bogosse quand on est acteur c'est savoir s'en défaire.
Quelques acteurs connus sont venus cachetonner dans cette série Z dotée d'un budget conséquent. L'histoire n'a ni queue ni tête (on ne saura jamais d'où viennent les vampires, ni quels sont leurs objectifs), la réalisation est à la rue (certains plans sont à côté de la plaque), les dialogues à l'ouest, l'écriture ne cesse de perdre le nord. Pour preuve : le film est censé se dérouler dans la nuit polaire mais visiblement dans le nord de l'Alaska on bénéficie à cette période d'une pleine lune stationnaire 24h/24, qui permet d'évoluer comme en plein jour. (C'est vrai, pour le réalisateur c'est plus simple à gérer quand on coupe l'électricité.)