déjà, il faut que je commence par dire que je suis fan de films d'horreur et que j'ai trouvé que celui la tiré son épingle du jeu! il est bien fait et relativement flippant ! seul point noir à mon sens, la fin un peu rapide et pas très aboutie ! reste un bon divertissement
Après un Malefique plein de promesse, on attentait Eric Valette pour une confirmation mais malheureusement en s'exportant il s'est retrouvé à la tête d'un énième remake de film asiatique dont l'original etait déjà assez mauvais. One Missed call reprend tous les poncifs du genre à savoir un casting absolument pas concerné, des effets appuyés jusqu'au ridicule, une violence formaté pg13( pas une goutte de sang), un scénario ultra-demonstratif et des cgi ridicules.Valette a beau avoir l'excuse que son film a été remonté, il savait à quoi il s'engageait avant et il est facile de rejetter la faute alors que la médiocrité atteint tous les compartiments du film.
Second long-métrage pour Eric Valette après Maléfique (2003), qui s’exporte pour l’occasion aux Etats-Unis afin d’y réaliser le remake du film Japonais La Mort en ligne (2005). Un film sorti à l’état de DTV en France et pour cause, vu l’état du film, on comprend pour quelle raison il n’a jamais bénéficié d’une sortie en salles dans l’hexagone. Une réalisation plate où il ne se passe pas grand chose, aucune tension, un montage épileptique histoire de nous brouiller la vue, des SFX pour le moins négligés et des acteurs incapables d’être crédibles. Shannyn Sossamon continue d’enchaîner les bides au cinéma, après Catacombes (2005), ici elle obtient une fois de plus le rôle titre au côté de Edward Burns. Acteurs de seconde zone et mise en scène assommante, voilà ce que nous réserve la première incursion d’Eric Valette au pays de l’Oncle Sam.
One missed call aurait pu s'appeler "Several missed movies" tant c'est un patchwork plagiat sans intérêt. Je ne comprends toujours pas ce que Valette et la divine Sossamon sont venus faire dans cette galère. C'est incroyable le nombre de scènes pompées présentes dans ce film : la fête des djeunes dans Cloverfield, les mystérieux coups de fils présentés de la même manière que les discussions d'avant mort subite de Destination finale, et surtout, la longue scène de l'hôpital qui ressemble à s'y méprendre à Silent Hill de Gans... Bref, je ne sais même pas si ce film se télécharge, mais si vous aimez les caméras qui ne font même pas l'effort de filer les jetons lorsqu'on entend un grincement dans un couloir et les maquillages ridicules, allez- y !
Un mélange de "La mort en ligne" (c'est son remake d'ailleurs!) et de "Destination finale". Ce style d'intrigue est devenue classique depuis le fantastique Ring de Nakata et ses nombreuses imitations plus ou moins bien réussie! On est loin du flippant de versions plus chiadées mais on passe quand même un bon petit moment. Attention, c'est tout de même à réserver aux afficionados du genre!!!
J'ai beaucoup apprécié, même si on tombe dans le répétitif et on anticipe très vite les actions qui vont se dérouler. A voir quand même, et il faut se laisser prendre au jeu ;)
Pâle copie de La mort en ligne de Takashi Miike, sans saveur ni originalité, One Missed Call ne provoque hélas que l'ennui. Surfant bien évidemment sur l'éternelle mode des remakes américains de films d'horreur asiatiques, le long-métrage oublie clairement les frissons pour une surenchère d'effets spéciaux ratés et un ridicule digne d'une mauvais téléfilm barbant. Le réalisateur français Éric Valette, auteur du génial Maléfique, tombe donc dans les rouages du système d'exploitation américain, se pliant aux règles du pompage sans vergogne, nous livrant des plans banals bourrés d'effets visuels moches et inutiles. L'histoire devient très vite lassante, piètrement interprété par un Edward Burns peu enthousiaste et une Shannyn Sossamon aussi crédible qu'un toaster. On ne frémit qu'à l'idée d'arriver à la fin de ce navet ennuyeux et ringard. Regardez l'original, ça vaut mieux...
Une ambiance sympa et prenante pendant la première heure nous met en appétit. Après, hop le film heurte un iceberg et le naufrage est inévitable. Les effets morbides sont stylés, Shannyn Sossamon est juste sublime et l’histoire est simple et efficace; ça mérite deux étoiles. On est loin du chef d’œuvre mais ça se laisse se regarder.
Un film d'horreur sympa !! Les effets spéciaux ne sont pas fabuleux mais le scénario est a peu prêt convenable !! Si on se laisse prendre au jeu le film se suit sans ennuie.
Un film certainement pas subventionné par SFR et autres Bouygues mais qui ne risque pas de faire de l'ombre aux differents opérateurs. ONE MISSED CALL joue de notre communication première, le téléphone portable, révolution technologique. Remake d'un film japonais (qui n'était pas génial du tout), la version 2006 n'est pas plus convaincante. Un pur produit sans relief, situations cocasses, personnages fantasques, ONE MISSED CALL veut renouer avec le succès de THE RING et autres films du même genre. Ratage. Et complet en plus! Seule la sonnerie du téléphone mérite attention, mais à part ça... rien.
J'ai trouver ce remake très décevant...pour moi qui ai adoré l'original. La sonnerie ne fait même pas peur, euh...rien ne fait peur. Passer votre chemin, c'est encore un film qui sera dans les mauvais remakes.
Même si son scénario est quasiment calqué sur celui de la version original, et est beaucoup moins effrayant, One Missed Call se laisse regardé pour quelques scènes plutôt bien réussites, et pour ses effets-spéciaux corrects. En tous cas, même s'il n'égalise pas La Mort en Ligne, il vole bien plus haut que les récentes relectures de The Eye, Pulse ou encore Dark Water.
Encore un remake completement inutile.Une sorte de "The Ring" en remake avec des téléphones céllulaire .Ça ressemble beaucoup à destination ultime.Écoutez... même les meilleures comédies ne m'ont jamais fait autant rire que ce film d'horreur... Je n'ai jamais vu un film autant prévisible, avec un scénario ne comportant aucune profondeur.Le sujet aurait pu être exploité d'une bonne façon, mais là, il manquait sérieusement de bonnes idées.Au lieu de s'appeler "Un appel manqué", ils auraient dû appeler ça "Un FILM manqué"