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    Paprika
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    211 critiques spectateurs

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    SothaSil
    SothaSil

    10 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 janvier 2018
    Paprika pourrait être décrit comme un thriller onirique. L'aspect onirique est réussi : les rêves fascinants dans leur foisonnement surréaliste, leur exubérance de couleurs, leur créativité visuelle, mais inquiétants car ils peuvent à tout moment basculer de la loufoquerie joyeuse au malsain et au morbide. L'aspect thriller souffre de défauts assez handicapants : les personnages manquent de profondeur, le "méchant" est trop rapidement et facilement identifiable, la narration est confuse. Malgré ces quelques faiblesses, Paprika reste un film divertissant. A noter que le scénario semble plus cohérent si on suppose que l'on suit un seul grand rêve du commissaire Konakawa.
    morn
    morn

    17 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 juin 2017
    Un film d'animation incroyable sur le thème du rêves et la frontière entre le rêve et la réalité. Le film est assez complexe comme "Perfect Blue" (du même réalisateur), on s'embrouille un peu même si le scénario est brillant. L'animation est vraiment superbe et l'univers très étrange. La musique ( électronique et synthétique) colle parfaitement à l'univers du film. très bon film 9/10
    BigDino
    BigDino

    8 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2017
    Satoshi Kon était un virtuose de l'animation et dans Paprika son talent ne fait pas défaut. Malgré tout, il apparaît comme moins percutant que ses autres oeuvres. La faute à une complexité trop grande, enfermée dans un respect des règles habituelles de l'animé, peut-être, à une fausse originalité qui sombre de ce fait dans l'habituel. Il n'en reste pas moins un animé sympathique à l'ouverture exceptionnelle.
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    103 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2017
    Un animé japonais à l’image et la bande son superbe, très inventif et coloré. En revanche, le scénario est assez dur à comprendre au début, il manque vraiment un contexte et une description des personnages ainsi qu’une explication des possibilités de la machine, même si on en découvre petit à petit, le début est très déconcertant. L’animation est magnifique, l’idée est bonne mais le développement cinématographique aurait pu être mieux. Par exemple, le milieu comporterait presque quelques longueurs, ou du moins répétitions (de ce qu’on pourrait appeler un gros délire) ce qui est dommage pour un film qui ne dure qu’une heure trente.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 30 août 2016
    Que retenir de ce film? A part l'aspect visuel très réussi, ce film est vraiment de l'enfumage. C'est un tel foutoir! Les personnages sont mal définis, l'histoire est racontée avec beaucoup de désinvolture, la fin vire au grand n'importe quoi, et pour ne rien arranger, la musique du générique est atroce : de la dance japonaise insupportable...Perfect Blue était plutôt réussi, Millenium Actress déjà moins, mais pas mal quand même, Tokyo Godfathers pas mal sans plus, mais là je ne sais pas, faut prendre un acide!
    L'Otaku Sensei
    L'Otaku Sensei

    311 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2016
    .....Qu'est ce que je viens de regarder là ??! Non mais sérieux, je sort à peine du visionnage sans comprendre vraiment la nature du film que je viens de voir. Si Miyazaki et les studios Ghibli forment l'arbre s'imposant au dessus de tous les autres dans la vaste forêt qu'est la japanimation (n'excluant pas pour autant les quelques pousses que sont les réalisateurs de renom comme Mamoru Hosoda) il n'est pourtant pas le seul à produire de petites pépites car en cherchant bien, on trouve quelques bonnes surprises en la matière comme "Paprika". Sorti en 2006 et réalisé par Satoshi Kon (malheureusement décédé 4 ans plus tard, RIP), loin de la poésie écologique pleine de vie des classiques de renom à l'image de Nausicaä, Mononoké ou le Château dans le ciel, Paprika nous plonge dans le Japon contemporain quelques années dans le futur où l'invention de machines (les DC Mini) semblables à des casques dotés d'électrodes permet aux hommes de pénétrer et circuler librement dans les rêves d'autrui. Alors que l'usage des machines était réservé à des usages scientifiques psycho-neurologiques, elles sont un jour volées par un mystérieux terroriste à des fins bien moins réjouissantes. Le jeune inventeur de ses gadgets, Tokita, son assistante le Dr Atsuko Chiba, le vieux savant Shima et la commissaire Konakawa décident de mener l'enquête à leur façon...mais face à un danger n'étant autre que l'imagination elle même, ils auront vite besoin de l'aide de la mystérieuse Paprika. Voilà pour le pitch global. Et qu'est ce qu'on peu en dire ? ...Le grand n'importe quoi, ouais c'est le premier mot qui me vient à l'esprit: "n'importe quoi !" C'est à la fois aussi génial que bizarre et dérangeant, aussi bien attirant que complètement déstabilisant. Clairement avec Paprika, Satoshi Kon plante directement son décor, nous n'avons pas ici à faire à une visite guidée pleine d'aventure et de magie à la Vice Versa de chez Pixar mais à un véritable thriller policier camouflé sous les traits d'un film d'animation. A partir de là en découle un scénario typique avec son lot de révélations et de rebondissement avec des découverte et de lourds secrets. Et si c'est un rêve ce n'est clairement pas le monde tout joyeux de Oui Oui and co qui vous attends derrières les barrières de l'inconscient mais des rêves sans queue ni têtes qui n'hésite pas à vaciller dans le trip cauchemardesque wtf japonais. Mais c'est finalement sur l'immense inventivité de la chose que repose le problème, il faut pas chercher très loin le film se veut tellement complexe qu'il finit malheureusement par nous perdre assez vite; on ne sait plus si l'on est dans le monde onirique ou dans la réalité, tout devient floue et on a du mal à faire les liens sur quel personnage est dans quel lieux ?
    L'univers des rêves est brouillons (j'imagine que Kon a voulu en donné une représentation abstraite réaliste par rapport à l'image que l'on en a) mais malgré cette intention de vouloir rester terre à terre avec la science et la santé psychologique, cet univers ne possède aucune vrai épaisseur ni repaires particuliers (ça aurait peut être été mieux d'avoir à faire à un véritable monde mental, un peu comme celui du jeu vidéo Oz dans "Summer Wars d'Hosoda). Le scénario n'est pas suffisamment varié en terme de péripéties, ça va des fois un peu trop vite et tourne toujours autour du même "système narratif" rêve/réalité alternés. Les personnages sont surtout mit en avant d'un point de vue psychologique, le reproche qu'on peu faire est en conséquent évident, ils sont trop délaissés dans leur personnalité.
    l'héroïne, Paprika est mystérieuse et fort intrigante, une sorte de fantôme, de spectre pouvant traverser le monde onirique. spoiler: Il s'agit en fait d'une sorte d'avatar de Chiba, prenant la relève lorsque la vraie est en sommeil,
    un concept limite à la avatar mais on en vient à se demander spoiler: pourquoi Chiba serait elle la seule à posséder un corps pouvant voyager dans l'esprit ?
    J'ai pas trouvé ça logique. Outre ça, Paprika demeure un film d'animation très intéressant, touchant à des questions métaphysique sur le corps et l'âme par l'intermédiaire de son postulat de base, des problématiques sur le rêve et l'inconscient humain: Peut on contrôler les rêves ? Les rêves sont ils accessibles via le pouvoir de la science ? Quels seraient les danger d'un tel progrès ?
    L'ensemble étant pertinemment associé tout du long à internet et au cinéma, outils aux possibilités débordantes et où l'imagination n'a plus de limite. Tout ça nous amène à bien réfléchir passé la fin du film. Bref, j'en ai assez dit, en définitif, Paprika est une oeuvre de la japanimation tout à fais intéressante amenant une réflexion d'une grande pertinence sur le contrôle des rêves sur fond de thriller à l'ambiance inquiétante et assez glauque, juste que ça manque encore un peu d'épice dans le mélange^^. Stoshi Kon n'est pas au niveau d'un Miyzaki ni même d'un Hosoda mais on aurait tord de ne pas s'intéressé à sa filmographie.
    Vrakar
    Vrakar

    41 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2016
    Il est évident que Christopher Nolan s'est grandement inspiré de "Paprika" pour faire son "Inception". Fort heureusement, le manga de Satoshi Kon dure à peine 1h30. Mais la trame est tellement dense et prenante qu'elle donne l'impression que ce manga dure le double. L'animation est bluffante, les couleurs vives et le mélange d'images réelles traitées avec les dessins est très subtile. Un peu de 3D vient ponctuellement enrichir l'ensemble. Le seul reproche que l'on puisse faire à ce film d'animation, ce sont des personnages brouillons. Psychédélique à souhait, "Paprika" se joue de la question "Où se trouve la limite entre nos rêves et la réalité ?" et laisse une agréable saveur sur nos 'pupilles' gustatives.
    Acidus
    Acidus

    718 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 janvier 2016
    Satoshi Kon est un maître du cinéma d'animation japonais et "Paprika" prouve une nouvelle fois l'étendue de ses talents. Décédé en 2010, il n'a malheureusement réalisé que quatre longs métrages mais ces derniers sont tous plus excellents les uns que les autres. "Paprika", son chant du cygne, est une oeuvre proche de "Perfect Blue" et de "Millennium Actress". On y retrouve des personnages féminins forts, un univers onirique (surtout ici), un propos mature, une histoire complexe et toujours ces dessins sublimes. On est loin des oeuvres plus consensuelles (mais néanmoins géniales) du Studio Ghibli. Un "must" dans le genre.
    The Claw
    The Claw

    62 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2015
    Si l'on s'en réfère à l'archétype de la synchronicité parallèle aux bourgeons d'une motte de beurre, les coccinelles viendront se poser à 7h63 sous les édredons boisés de l'enfance tropicale sempiternelle. De toutes façons, c'est bien simple, la quantité de duvets paroxystiques n'égalera jamais la puissance maxillaire du fantasme corollaire à la poudre porcine.
    (Il faut avoir vu le film pour comprendre quelque chose à cette critique...)
    Benjamin A
    Benjamin A

    711 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2015
    Dans le futur, un traitement psychothérapique a été inventé et, grâce à la machine DC Mini, il est possible d'entrer dans les rêves des patients. Mais ce processus est encore en phase de test et l'un des exemplaires va être volé...

    Source d'inspiration pour l'Inception de Nolan (que ce soit dans les thèmes et quelques similarités scénaristiques (à l'image des séquences d'ascenseur)), Paprika nous envoie dans un univers onirique suivre la recherche du voleur par ceux qui ont mis au point cette machine capable d'entrer dans les rêves. Satoshi Kon alterne entre rêve et réalité et dresse le portrait de personnages qui vont se retrouver à chevaucher entre ces deux mondes, quitte à s'y perdre.

    Malheureusement c'est moi qui me suis retrouvé perdu, notamment dans la dernière partie de ce long-métrage. Peu à peu le scénario devient trop brouillon, excessif et se mélange un peu les pinceaux et, en plus de devenir trop peu compréhensible, j'ai fini par ne plus me sentir concerné par le récit. À partir de ce moment-là, l'écriture devient défaillante, que ce soit sur le passage entre les différents rêves ou certains personnages, notamment sur leurs intentions et leurs motivations. C'est dommage sans pour autant être totalement préjudiciable.

    En effet, toute la mise en place de l'univers, la fascination pour certains personnages (et surtout Paprika et ses yeux, son allure, son caractère ou encore le mystère l'entourant) et la façon dont ils sont présentés restent vraiment réussis. Satoshi Kon nous immerge dans ce monde où sont mêlés rêve et réalité et fait preuve d'une inventivité sans failles, notamment à l'intérieur des rêves, le tout sublimé par un graphisme parfait, une animation fluide et une bande originale adéquate à l'atmosphère mystérieuse, onirique et parfois fascinante du film.

    C'est finalement une légère déception pour une oeuvre que j'attendais beaucoup, tant l'univers est génial et inventif, que ce soit au niveau des personnages que de la façon de traverser les rêves mais avec un scénario qui se perd sur la dernière partie du film, devenant trop brouillon et peu intéressant. Dommage...
    Ghibliste
    Ghibliste

    76 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2015
    Après le fabuleux "Perfect Blue", le moins convaincant "Millenium Actress" et le sympathique, mais trop long, "Tokyo Godfathers", je voulais éviter de m'enflammer à l'idée de regarder le très populaire "Paprika", du réalisateur Satoshi Kon. Une chose est sûre, ce long-métrage commence en fanfare en nous immergeant dans son univers original et unique, grâce entre autres à une très bonne BO. Jusque-là, il était encore possible de retrouver l'intensité et la force de "Perfect Blue", mais malheureusement, là où ce dernier devient carrément génial et scotchant après la première demi-heure, "Paprika" m'a perdu dans ses propres songes et cauchemars, fascinants certes, mais relativement désincarnés et abscons. Cela dit, je n'ai pas vu le temps passer... Parce qu'il faut bien ajouter que l'animation et les couleurs sont foisonnantes, l'univers inventif, et que le rythme est enlevé, mais voilà, je n'ai pas été touché par cette histoire et ces personnages. Fantaisiste.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 juin 2015
    Très jolie film d'animation. Le caractère décalé est vraiment sympathique. Par contre il faut le regarder d'un autre œil et comprendre le "délire". Nous restons passif pendant le long du film(sans être désintéressé) pour un réveil avec un final grandiose.
    Le film peut être totalement absurde pour certain mais il ne faut oublier qu'ils s'introduisent dans les rêves. Et l'on sait très bien comment les rêves peuvent être décalés.
    On peut voir aussi beaucoup de référence, comme la légende du Maitre-Singe (légende chinoise ayant inspiré le script originale de Dragon Ball), ou d'autres films dont j'ai oublié les noms. De plus, j'ai l'impression que ce film a servi d'inspiration au grand "Inception"(ayant regardé Paprika au lycée, des amis m'ont dit que la première scène est totalement typique d'Inception, or Paprika est sorti 5 ans plus tôt).
    Bref, ce film est très remarquable, si l'on aime l'animation japonaise, il est à voir (ah oui, et vous arrêté pas sur le nom du film^^).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 mars 2015
    Paprika est mon dessin animé préféré car j'ADORE tout ce qui est rêvé et cauchemar et c'est la seule animation qui se rapproche autant de ça. Par contre, je dirais que paprika n'est pas, pour moi, un dessin animé à la vue de tout le monde. Je parle des enfants car le film est compliqué est qu'il y a des passages qui ne sont pas pour eux.
    Extremagic
    Extremagic

    67 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mai 2015
    A la limite quand je vois ce genre de films l'histoire je m'en fout, là j'ai pas tout compris et je ne me souviens pas de tout mais je m'en balance parce que c'est l'ambiance qui compte. L'animation est cette fois ci un choix pertinent (enfin Satoshi Kon, tu auras compris !) parce qu'elle permet de laisser libre cours à une imagination rocambolesque dans les situations et les visuels. Alors Kon joue beaucoup moins sur le doute, mais garde le caractère étrange et incompréhensible de certaines situations. Après j'ai adoré comme il arrive parfaitement à reconstruire une ambiance onirique ou cauchemardesque, tu ressens exactement les mêmes choses que dans les rêves (mais bon ça depuis Perfect Blue). Après voilà je me suis laissé emporté par l'univers visuel par la folie, par la rêverie et j'ai pris mon pied comme jamais, il faut dire que j'adore ce genre de films fous et étranges où tu restes dans l'incompréhension mais genre pas gratuitement. Mais ces ambiances me fascinent et rien que pour ça j'adore ce film. Voilà maintenant j'aimerais bien qu'on arrête de comparer ce film avec Inception parce que ça n'a rien à voir, il serait temps de se rendre à l'évidence que là où Inception veut jouer avec la frontière entre le rêve et la réalité (en bon cartésien qu'est Nolan) il s'impose un cadre de probabilité des évènements, Paprika est totalement libre et c'est pour ça qu'il est beaucoup plus intéressant !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 janvier 2015
    Paprika est un excellent film d'animation japonais de science-fiction réalisé par Satoshi Kon d'après le roman Paprika de Yasutaka Tsutsui qui relate (dans les deux cas) l'invention de machines permettant d'entrer dans les rêves des gens.. qui étaient destinées à améliorer les traitements psychothérapiques, mais qui sont rapidement volées et détournées de leur usage par des manipulateurs cherchant à contrôler les gens en entrant dans leur inconscient... A noter que ce très beau film d'animation a visiblement beaucoup inspiré Christopher Nolan pour son Inception (le film est sorti en 2010, alors que le long métrage d'animation de Satoshi Kon, date de 2006 et il est sorti en 2008, en France)... Que dans le Radio Club, il y a deux barmen. C'est Satoshi Kon (le réalisateur du film) qui fait la voix du grand mince au cheveux bouclés et c'est Yasutaka Tsutsui (l'auteur du livre Paprika) qui fait la voix du petit gros avec la petite moustache. À noter que les deux barmen ont certains traits qui ressemblent à leurs interprètes... Et qu'a la fin du film, Paprika recommande au policier Konakawa d'aller voir le film Les enfants qui rêvent. Lorsque Konakawa se rend au guichet, on peut remarquer les affiches en présentation des trois films précédents de Satoshi Kon, soit Perfect Blue, Millennium Actress et Tokyo Godfathers... Enfin bref, je vais pas y aller par quatre chemin, pour dire que ce très beau long métrage (car pour moi c'est le cas), est le chef d'oeuvre de Satoshi Kon, je dirais même plus, l'un des dix plus beau film d'animation au monde.
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