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Un visiteur
3,0
Publiée le 12 mai 2014
Un spectacle explosif de couleurs ayant pour sujet l’interprétation des rêves ou plutôt l'intrusion des rêves de chacun. Au premier visionnage Paprika peut sembler compliquer et décousu surtout si on ne connait pas grand chose à la culture japonaise vu que le film y fait beaucoup référence. On peut comprendre l'histoire à condition de ne pas perdre le fil une seule seconde et de s'immerger totalement dedans. Moins captivant que Perfect Blue, Satoshi Kon réalise un thriller psychologique de toute beauté mais un peu trop répétitif est assez mou. Un film qui aura inspiré Christopher Nolan.
"Le film qui a inspiré Inception". Voilà comment on me l'a vendu et j'avais donc très peur de m'y confronter. Par peur de découvrir que Inception n'est qu'un plagiat, peur de voir que l'original n'est pas un bon film. Mais finalement, aucune des deux hypothèses ne se révèle. Paprika est une véritable pépite de l'animation japonaise. Le design est excellent, le scénario est incroyable et que dire de cette bande son absolument magnifique. Il est difficile de sortir de Paprika indifférent. On aime ou on n'aime pas, mais il n'existe pas d'entre-deux. J'ai été séduit par cet univers, ces personnages et j'aurais été prêt à en voir plus. Ce personnage et cet univers a tellement de choses à explorer encore. C'est un film qui marque et qui est considéré comme un classique de l'animation japonaise. Son seul défaut est peut-être sa compréhension, un poil compliqué au début. Hormis ce point, c'est magistral. Avec cette musique qui résonne dans ma tête. Et la volonté d'en découvrir plus sur les rêves. Par chance, un certain Christopher Nolan est passé par là.
Satoshi kon nous régale une nouvelle fois avec ce film totalement maitrisé de bout en bout. Techniquement magnifique ,doté d' un scénario complexe et fascinant ,Paprika se trouve à des années lumière des films d'animation européen et américain le plus souvent déstiné à un public trés trés jeune.
Je l'adore un des film qu'on oublie pas de ci tôt car il et dessiné d'une façon ci réel et les musiques sont manifique elle nous transporte c'est pour ca que j'adore satoshi kon et (perfect blue et un de cella que j'aime tout autant ) ...
Satashi kon a encore amélioré son niveau de maîtrise. Après Perfect Blue et Millenium Actress, il nous emmène encore plus loin au sein de son univers onirique, nous faisant basculer avec talent et subtilité de l'autre côté du miroir. De plus, la BO est excellente, tout comme le graphique. Bref, une sorte de Mulholland Drive de l'animation japonaise.
Rien à redire sur ce film : bonne ambiance, chouette animation, scenar complexe mais sans pour autant tomber dans le Matrixisme et excellente musique : bref, un vrai bonheur !
Avec Paprika même Gérard Larcher et Pierre Menès auraient eu leur chance de pécho Chiba (qui ma fois est bien belle pour un personnage de cellulose).
Images magnifiques. Animation fluide. Musique au top... Mais bien que ce film soit tiré d'un best-seller japonnais de Yasutaka Tsutsui, il n' y a bien que l'histoire qui est par trop capillotractée et qui doit être difficile à assimiler quand tu es un occidental qui découvre pour la première fois la culture nippone... La parade doit être un peu raide... .
Pour tout ceux qui en doutait encore, Satoshi Kon est bien l'un des plus grands cinéastes japonais et signe avec Paprika une oeuvre ou à la manière des rêves plus que la logique de la narration c'est l'imagerie et le ressentie qui prime avant tout. Et en ce sens c'est certainement avec Lynch l'un des plus grands faiseurs de songes du cinéma contemporain. Bercé en plus par la bande son hallucino-pop et mélancolique du technoïde Hirasawa Susumu vous aurez compris que c'est un film tres peu banal,..
J'ai trouvé ce film d'animation très réussi. Relativement agréable à l'oeil et doté d'un scénario complexe, Paprika mérite d'être visionné plusieurs fois.
Venant du réalisateur de Perfect Blue, je m'attendais à un film plus torturé. Le scénario est assez prévisible et faussement compliqué et certaines scène relève de la pure hystérie hallucinatoire. La réalisation du film n'en reste pas moins impeccable. Á voir une fois pour ne pas mourir idiot.
Un film gygogne incroyablement surréaliste! Un film à tiroirs moux, un manga qui aurait certainement plus au grand Dali... Un petit chef d'oeuvre de l'anim jap. Une profusion d'idées oniriques complètement tordues, "Paprika" est juste vertigineux! Je suis fan de l'univers de Satoshi Kon (mon préféré étant "Tokyo Godfather"), et je ne suis absolument pas déçu par cette dernière production. Du manga complexe, beau, créatif et surtout pas "kawaï"! A conseiller à ceux qui dénigrent ce genre, ce film peut leur faire changer d'avis...
La plus barrée des oeuvres de Satochi Kon se présente comme un feu d'artifice de ses œuvres principales. Moins attachant et bigarré que Tokyo Godfather, moins grandiose et émouvant que Millennium Actress, moins paranoiaque et tranchant que Perfect Blue, le film rate son étoile parceque n'inspire aucun sentiment fort à la sortie de scéance. Et pour un tel réalisateur, c'est presque une faute. En tout cas vivement son film pour 'enfants'.
Paprika est un excellent film d'animation japonais de science-fiction réalisé par Satoshi Kon d'après le roman Paprika de Yasutaka Tsutsui qui relate (dans les deux cas) l'invention de machines permettant d'entrer dans les rêves des gens.. qui étaient destinées à améliorer les traitements psychothérapiques, mais qui sont rapidement volées et détournées de leur usage par des manipulateurs cherchant à contrôler les gens en entrant dans leur inconscient... A noter que ce très beau film d'animation a visiblement beaucoup inspiré Christopher Nolan pour son Inception (le film est sorti en 2010, alors que le long métrage d'animation de Satoshi Kon, date de 2006 et il est sorti en 2008, en France)... Que dans le Radio Club, il y a deux barmen. C'est Satoshi Kon (le réalisateur du film) qui fait la voix du grand mince au cheveux bouclés et c'est Yasutaka Tsutsui (l'auteur du livre Paprika) qui fait la voix du petit gros avec la petite moustache. À noter que les deux barmen ont certains traits qui ressemblent à leurs interprètes... Et qu'a la fin du film, Paprika recommande au policier Konakawa d'aller voir le film Les enfants qui rêvent. Lorsque Konakawa se rend au guichet, on peut remarquer les affiches en présentation des trois films précédents de Satoshi Kon, soit Perfect Blue, Millennium Actress et Tokyo Godfathers... Enfin bref, je vais pas y aller par quatre chemin, pour dire que ce très beau long métrage (car pour moi c'est le cas), est le chef d'oeuvre de Satoshi Kon, je dirais même plus, l'un des dix plus beau film d'animation au monde.
Paprika restera malheureusement le dernier film du réalisateur japonais Satoshi Kon, on lui doit notamment Perfect Blue ou encore Millenium Actress. Ce long métrage perturbe par son scénario à l'air sérieux, mais qui cache en réalité une réalisation déjanté avec des personnages distingués (le tout dans un contexte plutôt glauque voire absurde, être un minimum ouvert d'esprit est toujours utile). Le rêve est bien évidemment l'idée principale puisque celle-ci est utilisé sans modération... trop peu être car même si les explications s'éclaircissent au fur et à mesure, il est parfois difficile de tout comprendre. Un scénario bien ficelé ainsi qu'une animation fluide et dynamique accompagné d'une BO adapté. Même si j'ai été un peu déçu, Paprika est une oeuvre très plaisante par son univers loufoque ou encore par son action haletante, à voir pour tout les inconditionnels de l'animation japonaise !