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(...) A mesure que la matière du film prolifère, [Paprika] multiplie les bifurcations et les trompe-l'oeil, se forge une indéfectible fascination, résistante à l'impermanence instillée par Kon au coeur du film et du lourd processus de fabrication du cinéma d'animation.
Dans cette explosion visuelle, où la technique en trois dimensions permet d'aller encore plus loin pour structurer un espace qui se déstructure en permanence, l'invention et la virtuosité technique placent l'auteur parmi les plus grands du genre.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Certes, Paprika impressionne. Satoshi Kon y atteint l'un des sommets de son art, incontestablement virtuose dans sa façon d'utiliser le montage (...), mais il a perdu en même quelque chose qui rendait son premier film, Perfect blue, si cinglant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ce souffle étonnant, cette vitalité (...) cette poésie surréaliste exprimée par des poèmes insensés font la force du film, lui donnent sa raison d'être au-delà du simple scénario.
Le rêve récurrent suit le parcours destructeur d'une espèce de carnaval peuplé de créatures monstrueuses ou exquises, et, à chaque fois que cette séquence est reprise, elle gagne en splendeur. (...) Mais la complexité du récit, son observance stricte de certains codes de la science-fiction et de l'anime obligent les non-initiés à une vigoureuse gymnastique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Au fur et à mesure que le film se déroule, la frontière entre rêve, réalité etvirtuel devient de plus en plus floue et tout finit par virer au cauchemar. Car pour Satoshi Kon, l'inconscient est aussi (et surtout) le siège du côté sombre qui sommeille en nous. Ce monde féerique n'est décidément pas pour les enfants.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Rien que pour sa séquence d'ouverture (...) Paprika mérite le déplacement. Et confirme son auteur Satoshi Kon comme le plus productif et excitant de la nouvelle génération d'animateurs japonais.
La critique complète est disponible sur le site Première
Compliqué à l'extrême, le récit épuise vite son spectateur, noyé sous ce déluge et semé en route par les translations qui conduisent d'un niveau à l'autre (...)
Il y a (...) dans Paprika de fascinantes images et de quoi se faire plaisir. Mais c'est en quantité limitée. Jamais suffisamment en somme, pour nous faire... rêver !
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Inrockuptibles
(...) A mesure que la matière du film prolifère, [Paprika] multiplie les bifurcations et les trompe-l'oeil, se forge une indéfectible fascination, résistante à l'impermanence instillée par Kon au coeur du film et du lourd processus de fabrication du cinéma d'animation.
Libération
Un tel maelström visuel, aussi épuisant qu'enthousiasmant, d'une densité telle que deux visions n'ont pas suffi à en épuiser les richesses (...)
Positif
Dans cette explosion visuelle, où la technique en trois dimensions permet d'aller encore plus loin pour structurer un espace qui se déstructure en permanence, l'invention et la virtuosité technique placent l'auteur parmi les plus grands du genre.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
aVoir-aLire.com
(...) Une fresque hallucinatoire, hantée par Kafka, Gilliam et Lynch, dont une simple vision ne peut suffir à épuiser toutes les beautés.
20 Minutes
Thriller futuriste à l'imagerie délirante, Paprika recèle un nombre infini de chausses-trappes et de fausses pistes.
Chronic'art.com
Certes, Paprika impressionne. Satoshi Kon y atteint l'un des sommets de son art, incontestablement virtuose dans sa façon d'utiliser le montage (...), mais il a perdu en même quelque chose qui rendait son premier film, Perfect blue, si cinglant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Ecran Fantastique
Ce souffle étonnant, cette vitalité (...) cette poésie surréaliste exprimée par des poèmes insensés font la force du film, lui donnent sa raison d'être au-delà du simple scénario.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Le rêve récurrent suit le parcours destructeur d'une espèce de carnaval peuplé de créatures monstrueuses ou exquises, et, à chaque fois que cette séquence est reprise, elle gagne en splendeur. (...) Mais la complexité du récit, son observance stricte de certains codes de la science-fiction et de l'anime obligent les non-initiés à une vigoureuse gymnastique.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Metro
Au fur et à mesure que le film se déroule, la frontière entre rêve, réalité etvirtuel devient de plus en plus floue et tout finit par virer au cauchemar. Car pour Satoshi Kon, l'inconscient est aussi (et surtout) le siège du côté sombre qui sommeille en nous. Ce monde féerique n'est décidément pas pour les enfants.
Première
Rien que pour sa séquence d'ouverture (...) Paprika mérite le déplacement. Et confirme son auteur Satoshi Kon comme le plus productif et excitant de la nouvelle génération d'animateurs japonais.
Score
Palpitant, novateur, et impressionnant. Que demander de plus ?
Télérama
Une étonnante expérience surréaliste.
Cahiers du Cinéma
Compliqué à l'extrême, le récit épuise vite son spectateur, noyé sous ce déluge et semé en route par les translations qui conduisent d'un niveau à l'autre (...)
MCinéma.com
Il y a (...) dans Paprika de fascinantes images et de quoi se faire plaisir. Mais c'est en quantité limitée. Jamais suffisamment en somme, pour nous faire... rêver !
Ouest France
Futuriste et foisonnante, même si parfois un peu complexe. Une belle tentative contre la normalisation d'un genre.
L'Humanité
(...) On peine à suivre ces vues (...) s'emboîtant comme des poupées russes, qui n'ont pas l'intensité du premier film de Satoshi Kon, Perfect Blue.
TéléCinéObs
(...) un magma, narratif et visuel, franchement indigeste.