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Un visiteur
2,0
Publiée le 3 mars 2015
J'ai largement préféré le premier, que j'ai adoré. On tombe soudainement dans l'horreur et on est malmené avec les personnages. On découvre toute une organisation sordide, l'ambiance est poisseuse et malsaine. J'ai beaucoup aimé que Paxton s'en sorte, ainsi que son courage lorsqu'il retourne sauver la fille. Dans le second, qui n'amène une final qu'une explication sur l'envers du décor et son organisation, spoiler: l’héroïne s'en sort grâce à son fric. ça m'a énormément déçue. J'ai également été déçue de voir que le héro du premier est finalement retrouvé et tué. Pour conclure, je garde un souvenir mitigé de ce film, entre amusée et déçue. Je n'ai pas ressenti l'esprit de survie comme dans le premier, et franchement, l’héroïne serait morte ça ne m'aurait pas dérangé...
Si l'effet de surprise est passé après « Hostel » premier du nom, ce deuxième opus ne démérite en aucun cas. On a beau reprendre le même principe et les mêmes ingrédients, Eli Roth parvient avec un talent très « série B » à nous procurer autant de plaisir (si ce n'est plus) que lors du précédent volet. C'est que l'air de rien, l'acolyte de Tarantino sait y faire pour nous présenter des personnages présentant un minimum d'intérêt, condition sine qua non pour que l'on se sente un minimum impliqué par les horreurs qui vont leur arriver. Horreurs, le mot est d'ailleurs encore un peu faible pour parler de certaines tortures, très bien pensées et s'appuyant sur un humour macabre rendant l' œuvre savoureuse, voire carrément jouissive à plusieurs reprises, à l'image des deux vrais-faux pervers excellemment interprétés par Roger Bart et Richard Burgi (même si spoiler: le revirement du plus « humain » était assez prévisible ). Bref, à réserver aux amateurs du genre, mais si c'est votre cas, nul doute que vous devriez prendre votre pied devant ce spectacle aussi sale que réjouissant.
Suite du très sympathique "Hostel" produit par Quentin Tarantino et réalisé par Eli Roth, "Hostel-Chapitre 2" est de bien meilleur niveau que le précédent. Reprenant le même principe de base que le premier opus mais modifiant le point de vue des protagonistes, ce qui est une idée très intelligente à mon avis. Les victimes d'Eli Roth sont cette fois-ci trois jeunes filles mais l'on suit aussi deux "apprenti-chirurgiens" dans leur parcours physique et initiatique avant qu'ils ne deviennent des tortionnaires. Eli Roth maîtrise son film de bout en bout et installe une ambiance bien plus pesante que dans le premier film. L'intensité de celle-ci est deux fois plus forte car, à l'inverse de "Hostel" premier du nom, la mise en place de ce long-métrage vicieux est beaucoup plus rapide. Le rythme est moins effréné, de même pour les tortures ultra-réalistes filmées en gros plans. Elles sont bien plus éprouvantes physiquement et moralement ! Surtout que de multiples références et clins d'œil viennent se faufiler à travers les murs verdâtres et les tuyaux rouillés. spoiler: Par exemple : le caméo de Ruggero Deodatto absolument magnifique et appétissant. Les protagonistes sont incarnés par Lauren German, Roger Bart, Heather Matarazzo, Bijou Phillips, Richard Burgi, Vera Jordanova ainsi que bien d'autres. Tous sont incarnent leurs personnages avec élégance et justesse. Ainsi que l'oppressante et enfantine bande sonore de ce long métrage composée par Nathan Barr, toujours aussi influente sur l'angoisse un peu plus présente cette fois-ci. Le tout magnifiquement mis en scène et bien réalisé par la caméra d'Eli Roth. En effet, sa réalisation est plus poussée dans ce nouvel opus. Eli Roth ne s'attarde moins sur des plans insignifiants et longs (car dans "Hostel", les lenteurs étaient foisonnantes). Mais cela est du au scénario bien plus abouti. De plus, le côté critique sociale du film est bien plus ressenti ici qu'avant. Mais bien sûr, cela n'excuse pas totalement les multiples supplices infligés aux personnages ce long-métrage allant plus loin dans l'extrême. En bref, un film plus maîtrisé, plus glauque, plus malsain, plus trash et plus écœurant voilà ce qu'est "Hostel-Chapitre 2" !
Film sans grand intérêt: pas de scénarios, pas d'acteurs, même pas une bonne bo. Uniquement du trash pour du trash, difficile de comprendre le point de vue du réalisateur de ce film.
Le volet 1 est quand même nettement meilleur, là on change juste les acteurs et on fait un volet 2 mais du coup l'intrigue, le côté gore on le connait aucune surprise ...
L'histoire commence là ou elle s'est arrêté dans le premier Hostel. Personnages différents mais même pays,même endroits et même ambiance glauque et lugubre. Ce volet est très légèrement en retrait par rapport à l'originale car le réalisateur a choisit d'appuyer certaines scènes par des caricatures d'actions ou de personnages , retirant temporairement le coté spontanée du scénario. Passages là aussi gore, terrible mais peut être un peu moins dégeu que dans le premier. L'histoire légèrement bâclée, raccourcie, limite prévisible mais n’empêche en rien son coté terrifiant et sensationnel. Grosse déception cependant pour la toute dernière scène qui est de trop.
Une séquelle dans la lignée du volet original, à une exception près: le groupe de héros garçons laisse ici place à un trio de filles, en vadrouille pour la Slovaquie suite à l'invitation d'une charmante demoiselle... Si "Hostel" premier du nom mettait en avant les aventures et les déboires de ses personnages principaux, ce second film choisit quant à lui de privilégier le point de vue des bourreaux en parallèle avec celui des victimes. Cette idée s'avère payante puisque, sur ce point en tout cas, le film s'avère nettement supérieur à son prédécesseur. L'une des meilleures séquences du film présente ainsi différents hommes d'affaires, que l'on soupçonne être des tortionnaires officiant au sein de l'usine, enchérir sur la "tête" des trois filles. Néanmoins, ceci mis à part, "Hostel - Chapitre II" reste fidèle à ce qui a fait la renommée du premier film: des héroines naives, des mises à mort éprouvantes, un dénouement sur fond de vengeance... . Bref, rien de bien nouveau mais une séquelle loin d'être déshonorante malgré un doublage VF parfois catastrophique (la voix de Lorna, notamment, m'a agacé à plusieurs reprises!).
Ce 2ème chapitre sanglant fait preuve d'une certaine originalité dans le retournement de situation. Une qualité surclassant un suspens quasi inexistant. Néanmoins, le scénario reste largement aussi prenant, même s'il se rapproche d'un film d'horreur basique. L'esprit tordu de ces personnalités richissimes est ici approfondit de manière terrifiante et nous dévoile que les plus fous ne sont pas toujours ceux que l'on soupçonne. Une violence sournoise et immorale nous submerge sans aucun état d'âme. Mais lorsque le bourreau devient victime, les choses prennent une tournure jubilatoire tout à fais cohérente. Ne surclassant pas son prédécesseur, cette suite reste une agréable surprise en parfaite harmonie avec les codes d'honneur du gore. 4/5
Cette suite est digne du premier film. L'intrigue se déroule exactement au même endroit que le premier film, que ce soit de l'hotel, (avec le même réceptioniste) et la vieille usine (avec les même gardiens. Vous remarquerez, pour ceux qui ont vu le premier film, qu'un clin d'oeil à Tarantino est à nouveau présent avec un court moment de Pulp Fiction sur la même télé de l'hotel, sachant que c'est à nouveau Quentin Tarantino qui produit le film. Au lieu de nous laisser dans l'ignorance de la chose, le réalisateur a eu l'idée de se baser un peu plus sur les fameux riches qui s'offrent des séances de torture et ce qu'ils font pour s'offrir ses attrocités qu'on découvre dans le film. Mais on découvrira que les riches ont eux aussi leur propre règle qu'ils se doivent impérativement de respecter. Concernant le personnage du premier film qui a survécu et qui devenait attachant, la production a décidé de l'eliminer au bout de 10 min pour ne pas qu'il ne devienne un fardot dans le scénario (malheureusement). Mais heureusement qu'il n'avait pas été oublié. Si vous avez vu le premier film, vous comprendrez dès le début qui sont les nouveaux (ou nouvelles plutôt) protagonistes et qui sont les méchants. Comme le premier film, les 30 premières minutes sont lentes mais pour cette fois-ci, on s'y intéresse car on apprend certaines choses qu'on ne savait pas dans le premier film. La tension est insoutenable lors des moments gore ... pour finir à ne pas grand choses. Ce film présente donc un monde sans pitier où la loi du plus fort domine et ne montre que du porn gore. Quelques scènes extrêmement violentes sont tout de même signaler (mais vous devez déjà savoir à quoi vous attendre si vous êtes informé).
Pas mal sans plus. C'est encore exactement la même chose. Les acteurs sont pas mal,mention spéciale aux trois actrices principales,qui sont elles,très bonnes comédiennes. Le suspense est plus présent. Et le concept de la saga est plus développé et mieux expliqué dans ce 2ème épisode. Tout aurait pu être tellement mieux,si Eli Roth n'avait pas merdé. Plus on avance dans le film,plus ça vire au n'importe quoi et ça brise ses propres règles et concepts. La fin est carrément ridicule et n'importe quoi,c'est bâclée,c'est gamin,ça ne vole pas haut,même plutôt très bas. Mis à part tous ces défauts,à voir,essentiel si vous avez vu le 1,car ce dernier est étroitement lié au 2.
noooooonnn !!!! au secours !!!! on avait dit " film d'horreur " pas film x !!!! deux ou trois scenes vraiment bien gore , mais a part ca , histoire tres longue , lenteur a la mise en route des sevices , bref , a oublier !
QUEL NAVET ! un film nullissime ! scénario inexistant, scène débiles et inutiles, acteurs mauvais. bref un mauvais film d'horreur mal fait ! on s'ennuie tout le long tellement c'est nul ! le 1er était bon mais le 2 est à jeter à la poubelle. À éviter
Dans la parfaite lignée du 1er volet ; ceux qui ont pris du plaisir à savourer ces tortures bien sanglantes seront invités à prendre du rabe. Ce second chapitre se penchera davantage sur les personnages de bourreaux, en la présence de Roger Bart et Richard Burgi (deux acteurs aperçus notamment dans "Desperate Housewives"). Comme le "Hostel" premier du nom, les scènes de boucherie tardent à venir, mais Eli Roth s'en donne à cœur joie en ajoutant quelques touches d'humour noir déjantés (tronçonneuse matinale et autre foot-head...). Nasdrovia !