Derniers Avis : Hostel - Chapitre II - Page 30

Film beaucoup moins gore que le premier. L’histoire est toujours aussi simple, 3 copines voulait aller à Prague se retrouvent entraînées par une de leurs « amies » en Slovaquie dans un hôtel spa. Et la ça par en sucette, comme dans le premier quoi. Sauf que j’avais adoré le premier et lui, ben pareil, c’est moins violent donc c’est mieux, et on comprends mieux encore le fonctionnement du réseau et le trafic d’humains qu’il s’y passe.

Aussi bien que le premier, c'est à dire très mauvais! Rien à retenir de ce film : j'ai rarement vu une fin de film aussi ridicule et sans intérêt! Une étoile quand même pour le retournement de situation, et la bonne composition de Richard Burgi...

largement au dessus du premier opus...de bonnes scénes de tortures, de bons acteurs , un bon scénario (quoique toujour le même que le 1er)...voila à voir uniquement pour les fans du genre !

il faut avoir vu impérativement le 1; j'ai bien aimé, malgré que l'on ait plus "l'effet de surprise" du 1, ca on connait le principe du film; mais qd même il y a de l'idée dans ce film qui en fait une suite tout à fait convenable !

Cette suite pousse le concept du premier volet en nous montrant le déroulement de l'histoire en suivant les méchants du film, en plus des gentils.
Cette idée de Roth donne de la profondeur à son film qui devient de meilleure qualité que le premier. De plus, Roth se lâche à la fin de son film, ce qui rend Hostel part 2 vraiment original. Merci à lui pour cette suite réussie !

bonne suite .aussi bien que le premier.a voir pour les amateurs du genre comme moi.

Un bonheur transgressif! C'est violent surtout par suggestion (comparé au premier volet), d'un humour noir ravageur, et sans complaisance pour aucun de ses personnages, tous plus tarés les uns que les autres. On rit aux éclats de dégoût et de honte devant un spectacle aussi transgressif, mais tellement tordant. L'apothéose final est tout bonnnement dantesque et amoral à souhait. On en reprendrait bien volontiers!

Hostel - Chapitre II est la suite direct de Hostel et donc on pouvait s'attendre a un fiasco comparable au premier, c'est donc avec plein d'a priori que je l'ai regarde. Tout d'abord premier choque cette suite direct n'a rien de réellement direct puisque le protagoniste du premier disparaît des les premières minutes pour laisser la place a trois femmes en voyage comme le 1er mais au féminin sa sent le recyclage donc. Malgré tout ce doute se dissipe très vite puisque l'aspect teenage movie est passé a la trappe du moins en grande parti et bonne surprise, une nouvelle trame apparaît et se focalise sur les tortionnaires (les fans de Desperate Housewives apprécieront puisque on retrouve Richard Burgi et Roger Bart, pharmacien psychopathe de son état) et surtout on explore bien plus profondément la société qui organise cette boucherie. Les scènes gores sont par contre bien moins présente que dans le premier mais réussisse à être inventive et bien foutu en gros tout l'inverse du 1er. Malgre tout il y a quelque petit defaut comme une mise en place assez longue et une fin un peu trop previsible mais au final on se retrouve avec une suite au antipode du 1er et franchement prenante donc une bonne surprise pour un film dont je n'attendais rien et qui s'est avèré pourtant fort intéressant.

ce deuxième volet est plus intéressant, puisqu'o nous montre l'implication de toutes les personnes qui participent à ce massacre(homme politique, hauts placé, cadre) qui ont des familles et qui présentent dans leur coté obscur des tendances plus que sadiques, et cela nous montre que ce n'est pas des psychopates qui sont concernés mais des gens qui paraissent totalement normaux. Dans ce second hostel, les scènes de tortures sont quand meme moins gores que dans le premier; ce qui nous montre que le réalisateur n'a pas choisi de mettre en avant les memes arguments que dans le premier. Il ne se place plus du coté du chemin des victimes, mais du coté de celui des bourreaux; et des victimes qui deviennent bourreaux. Un bon film quand meme pour les amateurs du genre horreur.

Encore plus terrifian et macabre que le 1ére volet, ce hostel chapitre II et géniale, bon le scénario est en tout point indentique au 1ére, mais cette fois ci ont ressent encore mieu la peur et l'angoisse, gore à souhait il surpasse au là main son prédécéseur, puis les effets spéciaux sont remarcablement bien réalisée. Un grand bravo aux acteurs et surtout à Eli Roth pour ce film super que je recomande à tout les fans du genre.

Ce n'est pas que le film est mauvais mais il et beaucoup trop malsain.
Ce type de violences extrèmement gore et réaliste est très génante.
Je ne suis pas particulièrement puritain mais je trouve que le film est à interdire au moins de dix-huit ans.
Les fans de gore, eux, y trouveront leur compte. A déconseiller à tous les autres.

Avec ce deuxième volet, Eli Roth creuse le sillon de sa parabole grand-guignolesque sur la mondialisation et le commerce des corps dans ce qu’il a de plus dégénéré et de plus extrême. Pour ce qui est de la forme, le réalisateur multiplie les clins d’œil au cinéma bis italien, dans un style baroque flamboyant, on décèle des hommages à « la bête tue de sang froid » notamment pour la première partie dans le train, on croise aussi dans ce décors Edwige Fenech et Luc Merenda, deux « figures » du cinéma de genre italien de la grande époque, les amateurs seront ravis.

L'humour qui à voulu être insérer n'a pas sa place, même si quelques fois réussi. Plus de réel gore, très décevant par rapport au premier, bien dommage..
R : Film avec plein d'idées mais mal assemblé et qui finalement ne suis aucune ligne de conduite et ne satisfait dans aucun domaine..

Tous les ingrédients étaient réunis pour nous donner un thriller digne de ce nom, mais malheureusement il'n'en fut rien...
L'environnement est splendide, de la Slovaquie aux salles de tortures, le tout remarquablement filmé ; un film riche en couleurs et plein d'autodérision...
Mais voila lesdites bonnes idées ne sont pas approfondies, le scénario tres simpliste, les scenes de tortures pas assez longues pour nous faire vibrer car aussi trop clichées ( section des testicules, bain de sang, scie éléctrique ) ; trop facile...
Seul la scène de canibalisme aurait put etre drole et terriblement dérangeante, malheureusement elle ne dure meme pas 30 secondes...
A revoir donc !

Si Eli Roth contourne habilement l’effet de redite, c’est pour mieux se vautrer dans la prétention horrifique qui atteint son sommet de complaisance à la toute fin, d’une indigence spirituelle rare.