Gorissime! Cultissime! On peut placer hostel chapitre 2 au rang de film culte du genre torture/sadisme.
hostel chapitre 2 est un film très difficile à regarder: je l'ai terminé avec beaucoup de mal. les scènes ne sont pas seulement gore, comme les décrivent certains cinéphiles ici: elles sont surtout insoutenables.
les scènes de torture auraient pu être sensiblement plus longues; mais là le film aurait été pratiquement insoutenable!
en résumé, ceux qui ne sont pas adeptes du genre ne pourront certainement pas terminer le film.
Légèrement mieux que le premier mais cela reste tout de même pas terrible, encore une fois c'est du gore pour du gore, bien que finalement il y en ait peu. A regarder un film vraiment gore autant regarde un Saw, là on a l'impression que l'on est devant une copie une nouvelle fois, on surfe sur la vague Saw parce-qu'elle a eu du succès et on reprend donc les même éléments. Mais finalement le scénario est léger et n'a que très peu d'intérêt... J'espère qu'il n'y aura pas de 3 pour ne plus entendre parler de la série Hostel! A éviter donc...
Supérieur au premier, ce film, plus gore et encore plus malsain, dévoile une facette plus organisée de l'association Hunting. Tortures sanglantes, FX très réussis, ce film est une bénédiction pour les fans du style, même si les rebondissements restent très prévisibles.
Oui c'est choquant. Oui c'est glauque. Après, il faudrait être de bien mauvaise foi pour ne pas reconnaître que c'est rudement efficace, plus encore que le premier ! Car ce qui fait la force de ce deuxième volet d'Hostel, signé Eli Roth, c'est l'à côté : l'organisation de cette organisation, avec des pères de famille qui jouent aux enchères devant leurs enfants, sautant de joie à l'idée d'aller se défouler sur un être humain. Plus que les peu nombreuses scènes gores finalement, c'est ça qui m'a glacé le sang.
Alors qu'elles sont en vacances en Europe, Beth, Lorna et Whitney, trois jeunes Américaines, rencontrent une superbe femme. Celle-ci se propose de leur faire découvrir pour un week-end un établissement de cure où elles pourront se reposer et s'amuser. Attirées par cette offre, les trois jeunes femmes la suivent et tombent dans son piège. Livrées à de riches clients associant l'horreur au plaisir, les trois jeunes femmes vont vivre un cauchemar absolu...
On débute là où l'opus précédent c'était arrêté, inutile sur le fond mais une séquence haute en couleurs. Des scènes au gout Tarantinien, on ressent le souffle du maitre, qui ne déplaise aux fans.
Hostel chapitre 2 reprend la même pitch que l'original, sans prendre de risque, une organisation kidnappe et procure à de riches 'amateurs' assouvissement extrêmes. Cependant Eli roth varie les éléments avec succès. Il se place du point de vue des tortionnaires et s'attarde sur le fonctionnement de cette société secrète. Tant par humaniser les deux richissime bourreaux rattrapé par la culpabilité et inconnue.
Le schéma est semblable au premier essai, par une lente description des touristes version féminine pour accorder un final d'hémoglobine sans déverser au gore à outrance.
Un film assez plaisant sur l'ensemble, sur un ton grand-guignolesque. Pour son troisième métrage Eli Roth prend un peu plus de risque déversant une atmosphère malsaine et glauque à travers un style baroque sous affluence italienne.
Comme le premier volet, il y a trop de longueur et il y a peu de scènes gores!!! Cependant, le fait qu'on nous montre le point de vue des bourreaux m'a bien plu et les différents retournement de situation m'ont beaucoup surpris!!!
Ce second volet est a la hauteur de ce que les fans pouvaient esperer. En effet, ce dernier rentre plus rapidement dans le vif du sujet, les acteurs sont impécable ils ne surjouent pas, et celui-ci mérite emplement son -16ans avec des scènes tres hard (scene du sexe arracher et donner aux chiens) Bref je n'en dit pas plus a voir pour s'en prendre plein la vue ;)
Il n'y a plus de surprise dans cette suite qui s'avère peu gore par rapport à son prédécéceur domage mais quelques scènes comme le bain de sang hallalisé et le wistiti coupé doivent ètres vu!
Même critique que pour le 1 : "Malgré que Hostel puisse être qualifié de bon film dans le genre 'gore', je n'ai pas accroché. L'histoire est assez captivante, il y a du suspens, mais certaines scènes sont vraiment dégoûtantes :S Âmes sensibles passez votre chemin !"
Après l'abominable premier opus, je pensais qu'Eli Roth allait mettre au profit ses erreurs précédentes. Comble de malchance ! Bien plus bas que le premier, ce "chapitre 2" est à se trucider. Eli Roth, dégage, et laisse nous nos Rodriguez (Une nuit en enfer), Craven (La colline a des yeux) et consorts...