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    Paris
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    RGciné1895
    RGciné1895

    17 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2013
    Un film bien sympa avec une bonne "morale".
    Un bon casting, bon jeu de la part des acteurs.
    A voir.
    Fredoki
    Fredoki

    11 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 novembre 2011
    Soporifique, pompeux, ennuyeux et boboïsant... Une déception niveau scénario mais des acteurs qui rattrapent le film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 octobre 2010
    Quel ennui !
    Fannyy63
    Fannyy63

    11 abonnés 92 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2011
    Oui... c'est pas mal peut être peu long et quelques scènes molles. Joli casting cependant, l'histoire est bien . loin d'être inoubliable c'est plutôt plaisant (Romain Duris sans cheveux --> out ) :p !
    Cluny
    Cluny

    75 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2012
    Un casting trois étoiles avec un savant mélange d'habitués de la troupe Klapisch (Duris, Luchini, Soualem) et de petits nouveaux (Binoche, Dupontel, Cluzet, Laurent), un retour au pays dans le Paris de Doisneau, voilà qui laissait espérer un nouveau film populaire de qualité comme "Un Air de Famille" ou "L'Auberge espagnole". Malheureusement, Cedric Klapisch rate son "Paris", et au lieu d'un Altman (il cite "Short Cuts" comme source d'inspiration), il nous sert plutôt un Lelouch de la mauvaise période.

    Le problème du film choral, c'est que pour éviter le piège du film à sketchs, il faut un fil rouge convaincant et une unité de ton suffisante pour permettre des transitions en douceur. Or, ici, il n'y a ni l'un ni l'autre. L'histoire principale rappellera quelque chose à ceux qui ont vu "Le temps qui reste", de François Ozon : un homme encore jeune apprend qu'il risque de mourir, et il pose alors un regard nouveau sur ce qui l'environne. La gouaille insolente qu'ont mis en exergue Klapisch, Audiard ou Gatlif semble ici éteinte, et Romain Duris joue ce personnage dans le registre du pathos, là où Melville Poupaud faisait passer l'émotion dans la retenue et le silence.

    L'autre écueil que n'a pas su éviter Klapisch se situe dans la disparité artificielle des groupes de personnages qui transforme définitivement "Paris" en une suite décousue de séquences, et dont le zapping permanent finit par perdre le spectateur. Il y a donc des histoires et/ou des personnages qui fonctionnent, comme celui d'Elise, remarquablement incarné par Juliette Binoche, qui en se dévouant pour son frère retrouve un sens à son existence en roue libre, ou celui de Roland sur qui tombe la chappe de la dépression alors qu'il est touché par le démon de midi.

    D'autres intrigues ne prennent absolument pas, comme celle de la bande du marché, caricaturale et pesante, à l'image de la scène du restaurant où Gilles Lellouche fait faire la brouette à Julie Ferrier contre sa volonté, ou celle des mannequins qui viennent s'encanailler à Rungis ; Albert Dupontel semble perdu dans ce personnage à l'eau de rose, avec juste une réplique à la hauteur de son talent : à la bombe qui lui dit en découvrant Rungis "C'est fascinant, tous ces fruits, pour moi qui fais mes courses sur internet", il lâche : "Ce qui est fascinant, c'est de faire ses courses sur internet..."

    Dans ce patchwork inégal, il y a heureusement quelques bons moments : le personnage de la boulangère xénophobe et moralisatrice jouée par une Karin Viard formidablement odieuse, le streap-tease de Juliette Binoche sur "Sway-Quien sera" chanté par Rosemary Clooney, la première séance de Luchini chez son psy joué par Maurice Bénichou, et surtout le rêve de François Cluzet traumatisé par ce que vient de lui dire son frère, et qui se retrouve en pyjama et en casque de chantier dans l'animation en 3 D qu'il a créée pour vendre ses immeubles.

    C'est cette distance amusée, celle qui faisait apparaître un deuxième Duris jouant du pipeau quand il baratinait son banquier dans "Les Poupées russes", qui manque à ce film trop compassé, à limite du prétentieux. A trop vouloir dire (la crise de la quarantaine, les sans-papiers, les SDF, les non-dits familiaux...), Cédric Klapisch a perdu son sens de la narration et dilué son savoir-faire dans une construction artificielle qui traîne en longueur.

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    adicte
    adicte

    59 abonnés 700 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 janvier 2011
    Le plus mauvais de Klapisch. C'est trop bobo, trop lent, trop prétentieux. C'est pas parce qu'on joue dans la cour des grands et qu'on a des acteurs talentueux sous notre direction qu'on peut faire du grand n'importe quoi. Quelle déception...
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    37 abonnés 2 381 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mars 2024
    Le film de Cédric Klapisch met en scène une poignée de personnages, parisiens ordinaires qui sont les sujets d'histoires séparées ou croisées anecdotiques. Parmi eux, figure prépondérante, Pierre (R.Duris) est un danseur peut-être c spoiler: ondamné dans un proche délai par la maladie.

    Depuis son balcon, Pierre médite et jette un regard circulaire sur Paris, sur les parisiens qui passent, sur la vie. Son regard est celui du réalisateur observant, suivant une idée humaniste toute simple, des bribes de vie, des fragments puisés dans la population de la capitale: des commerçants sur un marché, une boulangère spoiler: (Karin Viard, épisodique et drôle en boutiquière raciste et médisante),
    un universitaire historien de Paris.
    Cependant, malgé la sympathie -à défaut d'empathie- que peuvent inspirer ces quelques protagonistes, leur diversité (réduite), leurs existences détachées se heurtent à une certaine banalité, celle du quotidien sans doute, autant qu'au sentiment de dejà-vu. Entre fantaisie et gravité, la posture douce-amère de Klapisch ne nous enseigne pas grand'chose parce qu'on n'y perçoit pas d'idée générale (sur l'isolement ou la solitude, par exemple, comme pour "Chacun cherche son chat", du même Klapisch)
    Y Leca
    Y Leca

    30 abonnés 991 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 décembre 2023
    C'est très bien filmé, bien cadré, bien monté, bien sonorisé, bien joué (à part Viard qui en fait des tonnes en boulangère raciste) mais Klapisch aurait pu s'économiser des longueurs inutiles sur Rungis et sur les boat people africains qui n'apportent rien au film à part une évitable bien pensance. Un film choral sympa à regarder malgré sa durée (2h).
    ffred
    ffred

    1 704 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 février 2008
    Tant attendu comme tous les films de Klapisch, Paris arrive enfin dans nos salles. Un bouche à oreille moyen et des critiques assez partagées m'avaient un peu mis le doute. Très vite envolé. Car le réalisateur parisien a ici tout réussi et rien raté. C'est (pour moi !) le meilleur film de son auteur. Je vais donc faire court car il n'y qu'une seule chose à faire : aller le voir. Le scénario est parfait, simple, drôle, triste, attachant, sans cliché et sans pathos, c'est la vie. La mise en scène a les même qualités, elle est presque invisible tant elle s'attache à mettre en lumière et en avant son personnage principal Paris et tous ceux qui y vivent et dont elle nous conte l'histoire. L'interprétation se devait donc d'être à la hauteur de l'entreprise. Elle l'est haut la main. Il faut dire qu'avec la crème de la crème, il aurait été navrant d'avoir le contraire. Tous les acteurs, des premiers aux plus petits rôles sont parfaits. Je ne vais pas ici tous les nommés tant la liste est longue. Toutes les scènes sans exception, entre Juliette Binoche et Romain Duris débordent d'une émotion rarement égalée. Ce ne sont que des pépites à l'état pur. Un vrai bonheur. Et puis il y a donc Paris, qui a rarement été aussi belle sur grand écran. Une photo magnifique et une musique envoûtante ne font qu'embélir la chose. Peut être est-ce aussi parce que je suis né à Paris et que je ne l'ai jamais quitté, que ce film m'a autant touché. Peut être aussi que les Pierre, Elise, Roland, Jean, Philippe, Franky, Laetitia, Mourad ou Caroline me ressemblent un peu...Peut être...
    Yetcha
    Yetcha

    881 abonnés 4 398 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2008
    Un grand film, du grand cinéma. Une construction exceptionnelle, des cadrages et une photo parfaite. Des personnages attachants qui se croisent sans le savoir. Tout est construit autour de Duris qui finalement n'a pas le premier rôle loin de là. Le casting est parfait (Karin Viard énorme!). Ca donne envie de vivre et d'aimer Paris. A tout ceux qui veulent voyager, aller voir ce film.
    Fritz L
    Fritz L

    184 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 février 2008
    Klapisch doit traverser une crise existentielle ? La non reconnaissance de la critique ou des professionnels sur son œuvre provoquerait-elle un doute sur ses qualités et ses spécificités d’auteur à tel point qu’il lui faut se réfugier derrière le cinéma d’un autre ? Il est vrai que dans ce cas, il n’est pas tout à fait isolé parmi la jeune génération des cinéastes. Beaucoup d’en eux se mettent à lorgner du côté des maîtres usant de référence ou de leurs tics. C’est plutôt réussi chez Honoré par exemple. Tout en conservant son style et une approches propre, il s’inspire d’un univers Demy revisité. C’est nettement plus contestable chez Kaplisch qui lorgne du côté de Claude Lelouch ici. On se souvient de « Peut-être » qui affichait la même intention, mais ici le réalisateur va plus loin, il plagie. Caméra planante léchant tous les coins de Paris, une foison de personnages aux destins ordinaires qui se croisent, l’improvisation poussive et des longueurs épouvantables. Si parfois Lelouch se plante, force est de reconnaître que la plupart du temps il sait donner à ses héros simples une vraie dimension humaine qui touche, et manie les plans avec ruse. Klapisch lui en reste au stade du grand n’importe quoi… A peine une scène commence à nous toucher qu’elle est fusillée par une série d’artifices inutiles et passablement bébêtes. Il faut ajouter à l’ensemble une bonne dose de vulgarité non intentionnelle mais omniprésente. A ce jeu de massacre, les comédiens ne sont pas les mieux lotis, seuls le duo Binoche / Duris permet parfois d’accrocher, mais leur histoire reléguée au second plan est noyée par tout le reste nettement plus indigeste. Et l’on se pose la question suivante ? Qui est à la mise en scène ? Pas moyen de retrouver la verve de « chacun cherche son chat », la malice des « poupées russes », la profondeur du « péril Jeune ». Kaplisch invente ici le film « générique », qui une fois administré peut provoquer chez certains, dont je suis, un épouvantable rejet.
    Chatterer
    Chatterer

    84 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 février 2008
    Pas envi de perdre mon temps à écrir une critique pour ce film...Trois mots me passent par la tête:

    Long, Chiant et Inutile...!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 mai 2013
    quel film de merde , ramassis de clichés sur paris et les parisiens et Klapish tous els parisiens n'ont pas d'aprioris sur els immigrés , cliché de merde façon bobos porte feuille à droite qui gueulent depuis leur fauteuils sans jamais bouger .
    Duris ets juste une caricature de lui-même, Binoche l'actrice la plus nulle de tous les temps et le reste c'est pour faire un bon casting vu qu'il ya pas de scénario
    c'ets un film qui a du faire mouiller à sa sortie les lecteur de libé , du torche cul du nouvel obs , ou du torchon huffpost , ras le bol de victimiser les parisiens comme ça putain d'abord les français et aprés les immigrés merde alors
    non la ville de Paris n'est pas celle de Klapish et du retardé Woody Allen et je ne me reconnais pas du tout la dedans heureusement que un film n'est que fiction
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 233 abonnés 7 515 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mars 2008
    L’habitué des films dit de « chorales » (L'Auberge Espagnole - 2002 & Les Poupées Russes - 2005) part à la rencontre des parisiens, ceux de tous les jours, ayant chacun leurs maux et leurs désarrois. Il suit surtout le parcourt d’un jeune parisien (Romain Duris) gravement malade et pour qui les jours sont comptés. Lorsque sa sœur (Juliette Binoche) vient lui rendre visite, il lui raconte que sont seul et unique passe temps qui lui redonne goût à la vie, est de regarder par la fenêtre et de deviner la vie des gens qui passent.
    Et c’est ainsi que Cédric Klapisch parcourt les rues de la capitale et part à la rencontre de divers protagonistes, que ce soit la boulangère détestable (Karin Viard), les vendeurs du marché (Albert Dupontel, Julie Ferrier, Gilles Lellouche & Zinedine Soualem), un prof de fac (Fabrice Luchini ), des mannequins, une étudiante (Mélanie Laurent), un architecte (François Cluzet) et bien d’autres encore.
    Tous ont un point commun, ils sont en marge de la société (du moins, ils le pensent), entre solitude et remises en questions, doute de soi et en manque d’affection, on suit leur périple dans les rues de Paris, tous ayant leurs lots de rencontres ou d’anecdotes, de mésaventures ou d’aventures, Klapisch parvient à assembler toutes ces têtes d’affiche avec une certaine décontraction, des personnages plus marquants que d’autres, certes, avec hélas, quelques longueurs très présentes. Mais une chose est sur, cette visite guidée ne vous laissera pas indifférent !
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 335 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2008
    On dira à tort que Klapisch se met ici à faire du Lelouch avec ce "Paris". Certes, il nous sert là un film « choral » dans un style assez proche du cinéma d’auteur à la française, ce qui pourrait d’ailleurs en effrayer quelques uns dans un premier temps. Mais finalement c’est bien là le grand avantage de ce Klapisch d’aller se risquer sur un terrain totalement saccagé par le cinéma français, car il vient justement y réinsuffler de son authenticité, de son dynamisme et de sa sincérité. Même s’il n’échappe pas à certains écueils, et même s’il brasse quand même pas mal de vent au final, ce "Paris" aura quand même de quoi séduire avec sa réalisation maîtrisée et sa mise en scène charmeuse. Juste bien pour du Klapisch, mais enthousiasment pour du cinéma made in France !
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