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Xavier d
10 abonnés
229 critiques
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3,5
Publiée le 7 décembre 2020
Très belle séquences d'actions (surtout la première). Le scenario est malheureusement hyperclassique. Dommage car les acteurs sont bons et la réalisation plutôt réussie.
Probablement le meilleur James Bond de la période Daniel Craig. Le parfait équilibre entre l'action, le sexe, les belles femmes, le luxe, les paysages, l'humour. Tout y est. Tout est clair. Tout est fluide. J'aurais apprécié un chouilla de gadgets.
Beaucoup de bruit et de fureur pour peu de choses au final ! Les scènes d'action à outrance, qui empiètent totalement sur une intrigue somme toute décousue et facile, finissent par lasser. Hormis un joli clin d’œil à Goldfinger, on ressort sans surprise d'un film d'action classique. Voilà peu de réconfort au bout du compte !
Un James Bond qui assure le service minimum : scènes d’action spectaculaires et tournage aux 4 coins du monde, et pas les plus moches. Mais le scénario est confus. La mise en scène, imitation Jason Bourne, est fatigante. La James Bond girl est très belle mais n’est pas prête de jouer du Shakespeare sur les planches. Et Mathieu Amalric est un des pires méchants de la franchise.
Après le très brillant Casino Royale et avant le mythique Skyfall... Une grossière erreur de parcours. On devine la ligne directrice de cet episode: montrer que Daniel Craig sait auszi faire des cascades, au même titre que son concurrent Cruise dans ses Mission Impossible qui commence à lui voler la vedette... redonner des scènes d'action à ceux qui ont trouvé Casino Royale trop intellectuel ou cérébral. Résultat : une intrigue ennuyeuse à mourir et difficile à cerner, des allers retours on sait pas trop où ni pourquoi, aucune once d'émotion ou de dimension psychologique. Certes, quelques scènes d'action spectaculaires...pour combler le vide. Le pire James Bond depuis longtemps, et une insulte au volet précédent dont il prétend être une suite. C'est d'autant plus rageant qu'entre le réalisateur, ou le brillant Matthieu Amalric, on avait de quoi espérer !
Revu Quantum Of Solace je le trouve moins bien que Casino Royale pourtant la suite directe du Film mais avec une réalisation Épileptique sa gâche tout le plaisir dommage c'est pas totalement mauvais mais sa reste un Film oubliable ⭐⭐
Les James Bond ne sont généralement pas crédibles mais celui-ci est grotesque : scénario débile, scènes d'action stroboscopées qui font mal aux yeux (on a droit à toutes les locomotions : voiture, jambes, bateau, avion, parachute), musique assourdissante etc. Tous les poncifs de la franchise sans le charme et l'efficacité de Casino Royale. Suite ratée.
Cette suite de casino royale est un cran en dessous du fait d'une scénario moins approfondi et prenant, de cascades moins impressionnante. Logique que l'on peut faire une comparaison surtout lorsqu'on lance ce film comme une suite. Néanmoins la réalisation reste comme tour James bond de grande qualité.
La stratégie du film d’action ultra-vitaminé à la sauce « Die Hard », « Mission impossible » et « Jason Bourne » avec un Daniel Craig bodybuildé et impassible ayant permis à « Casino Royale » de décrocher le jackpot, le couvert est remis deux ans plus tard. Le budget est largement augmenté, laissant peut-être espérer aux producteurs une magique règle de trois. Eon Productions va quelque peu déchanter, « Quantum of Solace » n’arrivant pas à égaler les recettes du premier James Bond de l’ère Daniel Craig. Le scénario toujours écrit par le tandem Neal Purvis/Robert Wade soutenu par Paul Haggis joue quasiment la même partition. Daniel Craig a pris quelques muscles supplémentaires et raidi encore son jeu. Il faut dire qu’il a affaire en la personne de Mathieu Amalric à un méchant particulièrement visqueux mais malheureusement frisant souvent le ridicule. Pour assombrir encore un peu l’humeur d’un 007 qui n’en n’avait pas besoin,spoiler: le scénario l’a lesté d’un chagrin inconsolable hérité du dernier épisode après qu’il a assisté à la mort de la belle Eva Green qui l’avait pourtant trahi . Encore une fois, l’action menée à la vitesse d’un TGV lancé à grande vitesse passe très vite au second plan n’offrant d’autre choix au spectateur que de se réjouir des cascades numérisées d’un Jspoiler: ames Bond dénué de toute humanité, n’hésitant pas à balancer son meilleur ami (Giancarlo Giannini) mort dans ses bras dans une poubelle d’une rue malfamée de La Paz . Comme diraient certains : « Imagine-t-on Roger Moore … ?». La critique sera cette fois-ci assez sévère. Jean-Baptiste Thoret grand spécialiste du cinéma américain des années 1970 à nos jours ira même jusqu’à renommer le film « Quantum of Supplice », comparant la vision du film à une douche glacée. Tout est dit. Heureusement, quatre ans plus tard le très talentueux Sam Mendès viendra remettre un peu de talent et surtout de créativité dans une saga prenant une vilaine tournure.
Après un excellent Casino Royale, on redescend très vite de l'échelle avec ce Quantum of Solace. Ce film manque cruellement de punch et de saveur, probablement dû à une intrigue faiblarde et peu pertinente. Un manque de tension et d'enjeu. On n'a pas l'impression de regarder un James Bond mais un film d'espionnage lambda. Ce n'est pas une coïncidence si ce film dure ~40 minutes de moins que les autres opus de la phase Daniel Craig et paradoxalement le film qui est le plus long et dur à regarder. Bien sûr ce film reste regardable et est plutôt un bon divertissement, mais j'ai pas trouvé l'identité 007. On dirait que ce Quantum of Solace est là par défaut.
La saga retombe dans ses torts avec ce volet, beaucoup trop cliché d'espionnage et d'action. Le scénario est décousu et les personnages survolés. Enfin, la réalisation est épuisante, les scènes d'action donnant lieu à un montage saccadé où les plans changent toutes les secondes. Illisible.
Clairement le moins bon des James bond avec Daniel Craig. Trop d'action, histoire simple et en même temps très alambiquée et mise en scèneClairement le moins bon des James bond avec Daniel Craig. Trop d'action, histoire simple et en même temps très alambiquée et mise en scène épileptique qui fatigue assez vite des les 5 premières minutes du film. Après Mathieu Amalric est un choix évident de méchant de James Bond et l'action bien que opulante permet malgré tous ses défauts de passer le temps sans avoir à regarder sa montre. Mais rien de transcendant loin de là. épileptique qui fatigue assez vite des les 5 premières minutes du film. Après Mathieu Amalric est un choix évident de méchant de James Bond et l'action bien que opulante permet malgré tous ses défauts de passer le temps sans avoir à regarder sa montre. Mais rien de transcendant loin de là.
Dans la série, « ca démarre fort puis ça ne tient pas la route » ou dans le genre « le scénariste a été remplacé avant la fin de son oeuvre », je vous présente Quantum of Solace ! Le début en Italie est vraiment passionnant puis le film faiblit, faiblit, faiblit jusqu'à un final lénifiant. Malheureusement, James Bond a perdu son humour (j'espère d'ailleurs que les acteurs incarnant James Bond ne sont pas payés à la ligne de dialogue, sinon pour Daniel Craig, cela serait le minimum syndical !) et souffre trop de la comparaison avec un autre JB : Bourne, Jason Bourne : le héros de la trilogie adaptée des romans de Robert Ludlum. Mention spéciale quand même pour la deuxième James Bond Girl, Gemma Arterton, qui campe l'agent Fields. Son charme est inversement proportionnel à la profondeur de son personnage, comme Caterina Murino avant elle dans le précédent opus de la série A ce propos, « Casino Royale », bien qu'imparfait (cf. ma critique sur ce site), avait marqué un certain renouveau de la série. « Quantum of Solace » prouve que ce renouveau n'a pas fait long feu. C'était mieux avant (époques Roger Moore & Sean Connery) ! J'avais été enthousiasmé par une précédente oeuvre du même réalisateur, Marc Forster, quand celui-ci avait davantage d'idées à véhiculer à travers ses oeuvres. Cela s'appelait « A L'Ombre de la Haine » (Monster's Ball, 2002) et autant je me rappelle encore de ce film 6 ans après, autant je ne suis pas certain que je me souviendrais de « Quantum of Solace » dans le même laps de temps.
Un second Bond avec Daniel Craig qui est la suite directe de Casino Royal. Daniel Craig est à l'aise, il est violent, froid, humour noir, mais toujours incontrôlable. Un volet qui a misé davantage sur l'action que sur le scénario. Un peu décevant comparé au précédent, mais il demeure efficace. Surtout le dénouement final.