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Un visiteur
5,0
Publiée le 28 février 2010
Ah ! enfin débarassé de Pierce Brosnan et des ses gadgets à gogo qui tombent au juste au moment ou il y a du bordel ! Maintenant place à un vrai James Bond plus que viril, violent, qui a de la classe. Bravo Daniel Craig pour son interprétation quasi perfecte de l'agent le plus secret de sa majesté. Par-contre ce qui à la fois un gros et un petit défaut, c'est que Quantum Of Solace est la suite directe du brillant Casino Royale, les personnes qui n'auront pas vu le volet précédent auront du mal à comprendre ! Sinon EXELLENT film, à aller voir !
Première fois qu'un épisode de James Bond est la suite directe du précédent volet. Après "Casino Royale", l'agent 007 cherche à comprendre pourquoi Vesper Lynd l'a trahi et découvre qu'elle était sous l'emprise d'une organisation hautement dangereuse. Sombre et rythmé, "Quantum of Solace" est un bon cru qui aurait toutefois gagné à mettre en scène un scénario plus étoffé.
J'ai vu un film... qui place James Bond dans l'univers des héros torturé au sens propre comme au sens figuré... Terminé le charme félin et l'oeil séducteur à chaque instant... ça y est. James Bond prend cher, paie ses "erreurs" passés, culpabilise... On a définitivement changé d'époque. Les héros sont fait de chair et de sang, et ils se font des cicatrices -qui guérissent miraculeusement bien vites... Daniel Craig donne une dimension tellement humaine à ce personnage qui passe de séducteur invétéré à un une brute des services secrets. Et les cascades ainsi que les scènes d'actions sont de très très haut niveau. La réalisation est d'excellent niveau avec des plans parfaitement bien étudiés et une dynamique dans le montage. Au niveau des personnages, plus de Miss Money Penny, plus de Q, plus de gadgets à la pointe de la technoglogie et des codes qui changent. Mathieu Amalric fait un méchant tout à fait "respectable" avec une nonchalance inquiétante et un phrasé de haut niveau. Les James Bond Girls restent sexy mais n'ont plus la même liberté de ton que l'on trouve dans les années 60/70... Un changement d'époque, certes, mais une plus grande maturité...
Suite directe de "Casino Royale" (une première !), ce 22e opus des aventures de l’agent 007 poursuit la mutation de Bond dont les failles n’ont jamais été aussi apparentes (il faut le voir voler la photo de son amour perdu ou se saouler pour l’oublier). Daniel Craig est d’ailleurs toujours aussi impressionnant de charisme et de brutalité (les scènes de combats sont très réussies) et s’impose comme un des meilleurs interprètes du rôle. Pourtant, "Quantum of Solace" (titre compliqué) n’arrive pas à égaler l’opus précédent. La faute en incombe notamment aux scènes d’action certes spectaculaires mais pas franchement crédibles (la scène des cordes, la poursuite en bateau, la scène de l'avion…) et qui ont le tort de prendre le pas sur l’histoire. Dommage car le scénario brouille intelligemment les frontières entre le bien et le mal (les membres de Quantum sont infiltrés partout, le FBI fricotte avec le méchant…) et la mise en scène n’a jamais été aussi nerveuse et efficace (l’hallucinante séquence prégénérique, l’explosive scène finale…). Autre imperfection, les inégaux 2nds rôles avec des James Bond Girls aussi belles qu’accessoires (Olga Kurylenko et Gemma Arterton), un grand méchant intéressant mais pas assez atypique (Matthieu Amalric et son regard flippant) et le retour parfois sous-exploité des anciens (Judi Dench et Giancarlo Giannini se trouvent mieux lotis que Jeffrey Wright qui n’a pas encore pris son envol dans le rôle pourtant primordial de Felix Leiter). Et puis, les producteurs ont le tort d’un peu trop s’éloigner des codes bondiens (le "Bond, James Bond" manque cruellement) même si les fans apprécieront quelques clins d’œil (la nouvelle utilisation du gunbarrel, la mort de l’agent Fields sous forme d’hommage à "Goldfinger"…). Reste un épisode qui divisera (à l’image de la chanson du générique) mais qui donne franchement envie de voir la suite, ne serait-ce que pour en savoir plus sur la mystérieuse organisation Quantum.
Deux ans après “Casino Royale”, James Bond revient, et il n’est pas content, ce qui est plutôt logique. Pourquoi ? Allez, petit retour en arrière jusqu’à la fin de l’épisode précédent, quand l’espion parvenait à trouver le mystérieux Mr White, commanditaire de l’assassinat de sa bien-aimée, et pièce maîtresse d’une mystérieuse organisation. Et c’est à peine une heure plus tard que débute “Quantum of Solace”, avec un Bond qui découvre (et nous avec) que ladite organisation qu’il cherche à démanteler est plus retorse que prévu, et qu’il va lui falloir être laisser toute finesse dans son smoking de rechange. D’où un (anti-)héros encore plus expéditif qu’avant. Un peu trop même, dans la première demie-heure de sa nouvelle aventure, qui enchaîne un peu trop vite les scènes d’action, avant que la situation ne s’apaise un peu, et que le scénario injecte un peu de psychologie à l’ensemble, tandis que Marc Forster soigne sa mise en scène, jusqu’à parvenir à créer une vraie ambiance. Dommage que le part-pris de clôre l’histoire précédente, ainsi que l’absence d’une vraie fin transforme “Quantum of Solace” en une espèce d’épisode “bâtard”, plus proche d’un “Casino Royale 1,5” que d’un film visible séparément des autres. Ce qui n’empêche cependant pas cette première suite bondienne de s’élever à un niveau plus que satisfaisant, grâce notamment aux comédiens : si Daniel Craig continue de s’affirmer comme l’un des meilleurs (si ce n’est le meilleur) Bond, la bonne nouvelle vient de la prestation de méchant de Mathieu Amalric, impressionnant et glaçant dans la peau de l’homme d’affaires Dominic Greene, ainsi que d’Olga Kurylenko, James Bond Girl en chef de l’épisode. Lequel prolonge très bien l’opération “résurrection” enatmée avec “Casino Royale”. Et ça, c’est tout bon(d) !
L’incompréhension du titre de ce nouveau James Bond n’est pas dû à un manque de pratique de l’anglais. « Montant Compensatoire » ne serait pas plus éclairant que ce pompeusement énigmatique « Quantum Of Solace », tout à l’image du film. En apparence fidèle à la tradition, mais en fait, résolument vaniteux et finalement inepte. Marc Foster a voulu prouver qu’il pouvait respecter à la fois les caractéristiques kitch de la saga (générique, débauche technologique, action testostéronisée) tout en faisant mieux que ses collègues et en particulier que Martin Campbell le réalisateur de Casino Royale, le précédent James Bond. Cascades et bagarres sont bien plus nombreuses, longues et risquées ; mais hélas, moins crédibles. Et ce qui est pire, certains fondamentaux ne sont pas respectés. Flemming expliquait toujours intelligemment son titre à son lecteur et ne manquait jamais de mettre adroitement en relief son aspect métaphorique dans l’intrigue. Foster ne réussit que très maladroitement à faire cela. Le jeu brouillon des répliques empêche de comprendre 1/ la nature du concept de montant compensatoire consistant à rechercher la quantité susceptible de rétablir les deux parties sur un pied d’égalité. 2/ que ce concept s’applique à Bond et à sa nouvelle associée, qui cherchent tous deux à se venger en voulant faire ressentir à leur ennemi, leur souffrance éprouvée après que leurs êtres chers aient été assassinés ; 3/ pourquoi le « gang » malfaisant se fait appeler Quantum, et poursuit des objectifs plutôt simplistes par des réunions au caractère ostentatoirement tarabiscoté. Le paradoxe étonnant de ce JB tapageur et creux est qu’il est orchestré par un réalisateur à la filmographie prestigieuse ; alors que le précédent JB, qui avait agréablement surpris par la sobre nervosité de son action, l’intelligence de son intrigue et l’éclairage innovant des personnages de Bond, de M, et de l’espionne avait été fait par un spécialiste du film commercial sans prétention.
Imaginé comme la suite du Casino Royale de 2006, Quantum of Solace voit apparaître pour la deuxième fois Daniel Craig dans la peau de 007. Assez court (1h45) et recentré sur des scènes d’action pure très réussies, ce 22ème opus de la saga se laisse suivre avec grand plaisir. Au cours de quelques séquences virtuoses – on pense notamment au chassé-croisé dans l’opéra – Marc Forster nous embarque, comme de tradition, aux quatre coins du globe. Avec en prime, un Mathieu Amalric inspiré dans le rôle du méchant.
"Quantum of Solace"...2e Bond avec Daniel Craig, suite direct de "Casino Royal" où notre célèbre agent secret veut sa vengeance après la perte de Vesper . Pour cela il va devoir jouer solo (ou presque) hors de la case MI6. Comme le 1er cela bastonne sec, souvent et violemment avec une course poursuite qui donne le ton tout de suite. Après déluge de trahison, de coup fourré, de règlement de compte tout du long et on passe un super moment une nouvelle fois ! En plus en VOST le top!!!!!
Suite parfaite du dernier film en date de la série JAMES BOND: "Casino Royal", ce film restera qu'en même difficile à voir en simple entité.
En temps que film, il contient effectivement tous les ingrédients de la série: action époustouflante, espionnage (avec un net retour au source où le MI6 est très présent avec les bureaux, le ministère etc), jolies filles, coups de théâtre, gadgets (téléphone surtout) etc etc Il peut cependant en rebuter certains par un scénario sans surprise, des scènes largement dispensables (l'aventure de la Girl voulant se venger pouvant très bien être coupé au montage...), du déjà vu (avec une comparaison malheureusement évidente avec la série des BOURNE)
Mais où le film prend justement toute sa puissance c'est en tant que suite, car on suit notre héros comme jamais (ou dans Permis de Tuer alors, voir au début de Meurs un autre Jour)qui part seul (mais en fait, jamais vraiment trop seul)venger celle qu'il a aimé au péril de sa vie en ayant une âme plus que brisée. Et c'est vraiment en connaissant par où il est passé quelques mois avant qu'on peut comprendre pleinement les agissement de James Bond!
A souligner également les référence plus que Bondienne avec la femme enduite de pétrole(et non d'or!), l'attente dans le noir une arme à la main (scène finale)...
Sans parler de l'avant générique de fin qui nous annonce donc que notre héros est définitivement de retour et que le nouveau James Bond va enfin commencer!
L'attente du prochain film sera donc très longue!!
Ça fait plaisir, un James bond comme on aime, bien que récent et donc différent, on va vers le adieu femmes et gadgets. Action non stop, un peu d'humour, du sérieux, de la classe. Ce quantum of solace est sous côté.
Suite à l'excellent CASINO ROYALE, le 22éme film des aventures du plus célèbres héros de l'histoire du cinéma était attendu comme un cadeau de Noel. Dans l'ensemble, il ne faut pas jouer les rabas joies, QOS est un bon "BOND" mais il a un défaut et de taille...celui de succéder au très bon CASINO ROYALE. Là apparaissent les points négatifs. Tout d'abord, il fait suite à CR, ce qui n'est pas une mince affaire. Mais aussi, la mise en scène est l'un des deux points faibles de taille de ce film. Perpétuellement durant les scènes d'actions (trés réussite d'ailleurs) le spectateur est au bord du mal de mer tant les mouvements de caméras sont rapides. Si cela partait d'une volonté de se montrer proche de la réalité, l'opération est râtée. Second point noire, le scénario. Une excuse à cela, QOS n'est pas tiré d'un roman de IAN FLEMING et cela fait toute la dífférence. Nous l'avons bien vu avec les Bond de Pierce Brosnan dont les scénarios n'étaient pas trés fouillés. Mais forte heureusement, QOS comporte des avantages non négligeable qu'il faut reconnaître à froid. Premièrement, les scènes d'actions n'ont rien à envier aux autres BOND, en particulier la course-poursuite sur les toits de Sienne. Second point fort, l'interprétation. Aucune surprise de la part de CRAIG qui est débordant de charisme et prouve qu'il est le meilleur interpréte de l'agent britannique à égalité avec le légendaire SEAN CONNERY. Egalement, MATHIEU AMALRIC, détestable en méchant sadique et lâche. Mais est-ce vraiment étonnant de le voir parfaitement dans son rôle alors qu'il a remporté deux fois le césar du meilleur acteur et un autre pour celui de meilleur espoir ? Enfin, la grosse surprise vient de l'actrice francaise d'origine ukrainnienne, OLGA KURYLENKO. Son charme, sa beauté, son naturelle, font d'elle la plus exquise des JAMES BOND GIRLS. En conclusion, QOS est un très bon film qui aurait pu être mieux apprécié si CR ne le précédait pas. 15/20
La suite directe de Casion Royale ! Autanyt dire qu'elle n'est aucunement décevante. Daniel craig reprends le costume de 007 pour la seconde fois et s'en sort a merveille. La james Bond Girl s'en sort bien aussi , ça fait plaisir de voir d'ailleurs depuis quelques épisodes que les james bond girls ne servent plus de potiches a l'écran. Le méchant incarné par Mathieu Amalric est un des meilleurs (cocorico !!!). Le mythe James Bond est dépoussiéré de belle manière depuis casino royale en espérant que ça continue comme cela dans les prochains. Les scènes d'action sont spectaculaires (notamment l'intro) et James Bond continue de défier ses supérieurs ce qui est un régal. Seul regret la chanson phare du générique qui est complètement ratée !!! ca ne vaut pas "You know my name" de Chris Cornell pour l'opus précédent. Un excellent James bond, de l'action, du dépaysement et un acteur qui n'a jamais aussi bien porté le costume depuis sean Connery FONCEZ.....
Ce n' est plus un "BOND" comme on les aime ! Où sont les gadgets si chers à la saga dans les 20 premiers films ? Et l' acteur qui ne convient pas du tout au rôle, contrairement à Sean CONNERY, Roger MOORE, Timothy DALTON et Pierce BROSMAN ! Mon avis : un bon thriller, mais rien à voir avec la saga des "Jaaaames" ! Je conseille aux puristes d' oublier cette saga tant que CRAIG sera là et que les gadgets auront disparu - vous comprendrez que pour moi, la saga "BOND" est en stand-by !