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Un visiteur
1,0
Publiée le 28 octobre 2006
Cascade d'effets spéciaux inutiles, ce film commercial de Roland Emmerich ne donne finalement qu'une seule envie au spectateur, chercher la porte de la sortie.
Partant d'une idée séduisante(les dieux égyptiens seraient des aliens!), Stargate pèche par sa mise en scène très,trop chiante à mon gout. De plus les sous-entendus racistes(style moi americain évolué enseigner à toi primitif)ont fini par m'achever. A éviter.
Production plus "intimiste" d'Emmerich, c'est aussi une des plus vieillissante; Tout comme son Godzilla ou Independance Day qui accuse le coup, force des années et des productions stupéfiantes de nos jours. De cela, et malgré l'intérêt porté a Stargate, le film se développe dans des décors pauvres et vides, a un rythme lent et ennuyeux sans bouleversement scénaristique intense! Les acteurs sont rigides et endormi, (même Kurt Russel, habituellement charismatique; Reste James Spader, a l'air défoncé mais le SEUL convaincant). La mise en scène est vieillotte, tout comme c'est effets spéciaux, extrêmement limitée, l'action elle, est abominable et accès "grand public" (...) Difficile d'être transporté dans cette univers, tant le film est mou! En conclusion, une grande déception au souvenirs, jadis charmant...
"Stargate: la porte des étoiles" est sur le papier un bon scénario de science-fiction, dont le concept a été prolongé en version série. Et si l'idée d'un passage vers une planète parallèle, en abordant la mythologie égyptienne est séduisante, le rendu a bien vieilli avec des effets spéciaux qui datent et un décor de jeu vidéo un peu kitch. Surtout, Roland Emmerich tourne comme à son habitude avec ses gros sabots (ses grosses Rangers plutôt) et rien n'échappe aux clichés hollywoodiens: les Américains venant en libérateurs de ce peuple sous-développé, le colonel meurtri depuis la mort de son fils, la romance, le salut militaire la main sur la tempe en remerciement à la fin des combats... Finalement nous sommes rassurés, les GI sont aussi capables de porter leur bonne parole par delà la porte des étoiles. Bref, une déception quand le mystère des pyramides de Guizeh sous un angle science-fiction méritait quelques choses de plus grandiose.
Avec ce machin précédant de deux ans son Independence Day, Emmerich s'est posé des jalons douteux au très fort goût de préhistoire informatique. Très très vaguement space opera, ce Dune version bad boys exacerbe les défauts d'un américanisme dont l'outrance prend sa source au-delà de l'univers observable (au moins, c'était propre dans Independence Day).Le jaillissement de la SF n'est pas trop mal fait : on croirait Interstellar, avec une introduction agricole qui est remplacée par l'égyptologie. James Spader ne vaut pas Jeff Goldblum dans le rôle du savant un peu perdu, mais il a le mérite de porter sa science au-delà du niveau de niaiserie standard pour un blockbuster : certes, il apprend l'égyptien ancien plus vite encore que Tom Hanks l'anglais dans Le Terminal, mais c'est bien joué de mettre ça sur le compte de la langue morte. Le reste... restera niais.Le peuple et les bêtes (qui sont des espèces de gnous à tronches d'ornithorynques passés au micro-ondes) sont encore plus ridicules que ceux des premiers Star Wars, ce qui rendrait Stargate seulement médiocre s'il n'avait pas aussi 20 ans de retard. Par Anubis, les effets spéciaux sont d'un lanlouille ! Des inserts sont même copiés-collés. Il y a un peu de Le Cinquième Élément : le désert, les buildings un peu sordides...Stargate ne fait même pas exprès d'être rétro ou vieux jeu ; son retard en tout est vraiment déprimant, mais il est aussi d'une fadeur choquante : des murs droits et gris, un monde de sable avec un chapiteau, une pyramide, une cité et deux Lunes ; des autochtones en pagne, un grand méchant magicien d'Oz. En plus, le choc entre les styles des personnages est aussi délicat que Godzilla avec un coquelicot. Autant dire que le niveau émotionnel en est réduit à un soupir pour chaque mort et un bâillement par rebondissement.
Le pitch du film était si prometteur, que l'on se prenait à imaginer un space opéra de qualité. Au lieu de cela, le film souffre de longueur et d'interminable plan dont l'unique utilité est de meubler un scenario qui bat de l'aile, il y a avait pourtant à faire autour du sujet. Et de d'intéressant, le propos devient juste banal, tournant autour de la révolte contre un tyran. Le tout aurait encore pu faire l'objet d'un bon film, s'il y avait eu toutefois quelque intensité dramatique....
Roland nous ébloui une fois de plus de toute sa puissance classique et codifiée. Stargate est un bon gros film d'aventure-SF tout ce qu'il y a de plus banal, sans aucune prise de risque, ni originalité. Et par conséquent sans aucune saveur non plus. Du grand Emmerich quoi.
Le premier film Stargate était vraiment nul! Je lui est mis une étoile pour la super série qui est naît grâce à ce film! Après pour ceux qui aime Stargate il vaut le coup d'être vu pour voir comment tout a commencé...
Le meilleur Roland Emmerich que j'ai jamais vu. Non ce n'est pas une blague. J'ai été agréablement surprise par cette performance du réalisateur. Bon évidemment on n'échappe aux erreurs récurrentes propres à Emmerich telles que les petites scènes cul-cul ou bien de patriotisme. Comme ce n'est pas que ça pendant tout le film ça peut passer.
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1,0
Publiée le 10 septembre 2021
Stargate, la porte des étoiles est le seul film que j'ai vu au cinéma qui était si mauvais que j'ai failli sortir de la salle. L'histoire est ridicule et complètement dépourvue d'atmosphère et le méchant principal est aussi effrayant que mon coiffeur. Le principe initial était faible pourquoi n'ont-ils pas continué à tourner la roue jusqu'à ce que ça marche et la fin était si prévisible. Mais le problème majeur était que le voyage entre le début et la fin qui était si ennuyeux. Et pourquoi chaque fois que des marines apparaissent dans un film il y en a toujours un qui s'appelle Kowalski. Du côté positif les graphismes sont très bons. J'aime aussi les casques des gardes qui se replient très bien. Si vous allez au vidéoclub pensez à prendre quelque chose d'autre comme La momie qui est à peu près aussi inexact sur l'Égypte ancienne que celui-ci (pourquoi ont-ils des pyramides à Thèbes) mais au moins il a plus de rires et d'action que dans ce film...
Stargate est un film de science-fiction qui lorgne du côté du space opéra, mais ne séduit pas. Malgré quelques bonnes idées, il manque à ce film ce "petit supplément d'âme" qui fait du bon cinéma. Les acteurs sont tout juste moyens. Roland Emmerich a fait beaucoup mieux.
Une première demi-heure plutôt réussie qui donne l'espoir d'enfin voir un grand film de science fiction mais très vite à notre grande déception le film tonbe dans les clichés et en devient m^me ridicule comme les voix utilisées, ou bien tout simplement le scénario devenant typiquement ce que l'on ne voulait pas c'est à dire hollywoodien. Les situations caricatural sont tout simplement grotesque à l'image de l'happy end final. Espoir déçu. A éviter.
La science-fiction a cet avantage d’être l’un des genres cinématographiques permettant le plus d’imagination. Ici, elle n’existe pas : l’intrigue a beau se dérouler « à l’extrême opposé de l’univers connu », les codes sociétaux y sont les mêmes qu’en Occident. Dois-je aussi souligner le mixage son désastreux, les plans de caméra fades, les acteurs pas franchement doués, la longueur du film et le scénario qui s’enfonce dans un joyeux chaos sans queue ni tête à partir du moment où les héros franchissent la Porte des Etoiles pour la 1ère fois ? Seul point fort : la BO.