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Le Guerrier
79 abonnés
566 critiques
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4,0
Publiée le 21 novembre 2020
On a là un excellent film...Ce film est à l'origine d'une série culte, Stargate SG-1, qui a réuni une énorme quantité de fans, ce qui est amplement mérité....Mais là n'est pas la question: on peut tout à fait voir la série sans avoir vu le film (et c'est mon cas, je n'ai vu le film que largement après la série), et le film ne se réduit bien sur pas non plus à un pilote de la série (la qualité de prise d'images, le jeu d'acteurs, le scénario sont évidemment bien meilleurs qu'un épisode lambada de série télévisée...). O na là un excellent film d'aventure, qui se déroule sur un autre planète très lointaine, une planète désertique que l'on découvrira peu à peu...La force de ce film est qu'il mélange plusieurs thèmes, et qu'il arrive à le faire efficacement c'est à dire avec sens. Il s'agit de mêler histoire antique (et même l'histoire de la plus prestigieuse civilisation de l'Antiquité: l'Egypte) et l' espace et l'astronomie. La porte des étoiles, un artefact datant de la civilisation égyptienne, mais qui est en même temps le réceptacle pour un trou de vers menant à un autre monde, matérialise excellement ça. Il faut par ailleurs savoir que l'Egypte (et avec elle toutes les civilisation de l'Antiquité) différait fondamentalement de la notre par le fait que la civilisation et la société étaient vues comme un tout n'englobant pas que les gens qui la composent mais aussi les éléments naturels du pays, les dieux (qui étaient présents sur Terre) et aussi les étoiles etc..le tout définissant un cosmos autosuffisant et en équilibre. Dès lors, par exemple, l'astronomie et à travers elle l'astrologie y avaient un développement phénoménal, les étoiles et leur position influençant les gens; de même les dieux n'étaient pas transcendants mais appartenaient au monde matériel...Sans en dire plus, j'ai trouvé que le film fait vraiment écho à cette vision des choses. Enfin, j'ai trouvé que les deux personnages principaux du film (que l'on retrouve d'ailleurs dans la série) interagissent bien entre eux (ce qui est d'ailleurs aussi le cas dans la série!), qu'ils évoluent au fil du déroulement de l'histoire etc...Ah, et j'oubliais: la musique est génialissime! Donc au total le film, comme je l'ai dit, est excellent...
J'avais gardé un souvenir mitigé de Stargate, la relecture à 33 ans n'a que confirmé ma première impression. On est face à un blockbuster spectaculaire, convenu dans ses ressorts scénaristique, ses incohérences et son manichéisme de scènes et personnages. Mais à côté de ça on a aussi un concept devenu culte, le personnage décalé de Jackson, des plans à 3 lunes qui claquent et une esthétique ancienne Égypte convaincante. C'est surtout l'excellente BO qui confère au film un surplus de personnalité, dommage qu'elle soit aussi anxiogène. Probablement le meilleur Emmerich, à revoir pour pleinement profiter de l'épisode de 2HDP qui lui est consacré.
Visuellement, le film de Roland Emmerich n'accuse pas trop le poids des ans, ce qui n'est pas le cas de toutes les productions de l'époque. Si les personnages sont à la limite de la caricature et que le scénario n'explore que peu d'aspects de son sujet, le spectacle est en tout cas au rendez-vous, la mise en scène et la photographie servant habilement des scènes qui happent le spectateur sans verser dans l'excès (en tout cas l'excès qui prévaudra dans nombre de ses films futurs). Stargate demeure un divertissement toujours agréable à regarder, un poil plus intelligent que la moyenne en dépit de certaines grosses ficelles.
Emmerich ne lésine jamais sur les moyens et il ne déroge pas à la règle pour son Stargate, cette épopée magique vers des cieux inexplorés est toujours aussi palpitante à vivre après 25 ans. On se laisse emporter aisément aux confins de l'univers sur une superbe bande son et des paysages envoutants. Le casting solide, K. Russell en tête, s'allie à une excellente réalisation pour nous offrir ce voyage intergalactique de toute beauté. De spectaculaires affrontements sont aussi de la partie, sans Maison Blanche, il fallait bien trouver quelque chose à détruire ! Stargate n'est pas parfait certes mais lorsque l'on voit a propension à demeurer très actuel 25 ans plus tard, on se dit qu'il a de beaux jours devant lui encore, d'autant qu'il est également le point de départ de multiples séries éponymes, appréciables ou non. Un must.
Du bon Roland Emmerich. De l'aventure, de l'action, une très belle esthétique, un graphisme bien travaillé, une bonne distribution, durée généreuse, sans longueurs, de la bonne SF et des bons effets. Du grand spectacle avec un bon scénario. Nous retrouvons ici le talent de Roland Emmerich tel qu'il était avant la grande déception de "Independence Day : resurgence de 2016. Premier film d'emmrich à ne plus faire le plein d'étoiles sur Allociné.
Ce n'est vraiment pas facile pour moi de noter ce film car je suis un fan absolu de la série télé Stargate SG1. Ce film est le point de départ de la série. Le colonel O'Neil est incarné par un Kurt Russell très pragmatique et dont l'objectif principal est de ne pas mettre en danger la Terre. Quant au docteur Daniel Jackson, il est interprété par James Spador, qui joue très bien le scientifique passionné d'égyptologie et qui privilégie le contact humain et l'échange avec les autochtones pour trouver la solution. Ces deux philosophies continueront à opposer O'Neil et Jackson pendant toute la série Stargate SG1. Mais si on fait abstraction de la série, et que l'on ne prend en compte que le film, il faut bien reconnaître que les effets spéciaux sont assez médiocres, que les scènes d'action sont assez peu crédible, et que le scénario manque lui aussi de crédibilité. La découverte de la Porte des Etoiles, de toutes les possibilités qu'elle offre, mais aussi de tous les dangers qu'elle cache, est tout de même une formidable raison de regarder ce film qui ouvre les portes de toutes un univers imaginaire sans limite.
Stargate, la porte des étoiles de Roland Emmerich pose la première pierre de l'univers Stargate, un univers riche qui donna naissance à trois séries, Stargate SG-1, Stargate Atlantis et Stargate Universe, la première a eu une longévité de 10 ans et est toujours aujourd'hui un monument pour les fans. La critique complète à lire ici : https://crazyduckmovies.blogspot.com/2017/05/stargate-la-porte-des-etoiles.html
Excellent film de Roland Emmerich. (Réalisateur d'indépendance day, le jour d'après, 2012...) Un très bon film de science fiction, excellent scénario. James spader et Kurt Russell au top.
pour les fans de la série Stargate Sg1 ce film est idéal pour expliquer comment tous a commencer. Meme si certains symbole ne corresponde pas à ce qui est dit dans le film dans l'ensemble et le film est plutôt cohérent. C'est vraie que lon a du mal a rentrer dans le film mais une fois plonger dedans on ne vois pas le temps passer. l'histoire et accrocheuse et donne envie d'en savoir et d'en voir plus dans ma série notamment. Meme si tous les personnage principaux de la série de sont pas tous au rendez vous certains son déjà présent. Mais le problem c'est que l'on bien que c'est un doublage lors de certaine scène car les mouvement de la bouche et coïncide pas toujour avec les dialogue entendue en VF.
Trés bon film de SF devenu culte et mélangeant SF avec civilisation égyptienne. Franchir cette porte qui s'ouvre vers l'inconnu donne un effet spectaculaire et mystérieux au film. Le scénario est posé mais vont-ils pouvoir revenir de cet espace temps ? L'histoire est halletante, on ne s'ennuie pas, Kurt Russell et James Spader sont parfaits dans leur rôle. La musique est en adéquation parfaite avec les images. Le tout est donc un chef d'oeuvre pour ceux qui aime comme moi la SF.
Avec ce machin précédant de deux ans son Independence Day, Emmerich s'est posé des jalons douteux au très fort goût de préhistoire informatique. Très très vaguement space opera, ce Dune version bad boys exacerbe les défauts d'un américanisme dont l'outrance prend sa source au-delà de l'univers observable (au moins, c'était propre dans Independence Day).Le jaillissement de la SF n'est pas trop mal fait : on croirait Interstellar, avec une introduction agricole qui est remplacée par l'égyptologie. James Spader ne vaut pas Jeff Goldblum dans le rôle du savant un peu perdu, mais il a le mérite de porter sa science au-delà du niveau de niaiserie standard pour un blockbuster : certes, il apprend l'égyptien ancien plus vite encore que Tom Hanks l'anglais dans Le Terminal, mais c'est bien joué de mettre ça sur le compte de la langue morte. Le reste... restera niais.Le peuple et les bêtes (qui sont des espèces de gnous à tronches d'ornithorynques passés au micro-ondes) sont encore plus ridicules que ceux des premiers Star Wars, ce qui rendrait Stargate seulement médiocre s'il n'avait pas aussi 20 ans de retard. Par Anubis, les effets spéciaux sont d'un lanlouille ! Des inserts sont même copiés-collés. Il y a un peu de Le Cinquième Élément : le désert, les buildings un peu sordides...Stargate ne fait même pas exprès d'être rétro ou vieux jeu ; son retard en tout est vraiment déprimant, mais il est aussi d'une fadeur choquante : des murs droits et gris, un monde de sable avec un chapiteau, une pyramide, une cité et deux Lunes ; des autochtones en pagne, un grand méchant magicien d'Oz. En plus, le choc entre les styles des personnages est aussi délicat que Godzilla avec un coquelicot. Autant dire que le niveau émotionnel en est réduit à un soupir pour chaque mort et un bâillement par rebondissement.
Stargate, la porte des étoiles est une assez belle plongée dans un univers SF nouveau. Pourtant, après le succès des franchises Star Trek et Star Wars, il est difficile de proposer un univers séduisant ; mais c'est le cas ici avec une franchise offrant une alternative intéressante. Le pari est plutôt réussi par Roland Emmerich, faisant le choix audacieux de mêler le monde de la science-fiction à celui de la mythologie égyptienne. L'univers proposé est très intéressant : à la fois riche et encore vierge (nous ne voyons dans le film qu'un pan de cet univers et on souhaite le découvrir davantage). L'intrigue tient très bien et fait largement l'affaire car l'intérêt du film réside moins dans l'intrigue précise que dans l'univers proposé. Les personnages sont attachants. Le casting est très convaincant. James Spader est très bon dans le rôle du docteur Daniel Jackson, un jeune scientifique fringant. Kurt Russell est absolument impeccable en militaire brisé par la vie, qui n'a plus rien à perdre. Les effets spéciaux sont très bons. La production est irréprochable là-dessus. Les décors sont à la fois simples et sublimes. Le thème musical de David Arnold est mémorable (à tel point que la série sera obligée de le reprendre) Clairement, le film donne envie de se plonger dans la série télévisée qui prendra la suite.
un habile et savant mélange de mythologie et de SF réalisé avec flamboyance par R. Emmerich. les effets visuels, les batailles en font un spectacle enthousiasmant, la mission plus scientifique apporte aussi un intérêt et timing captivant. en fond, des personnages avec leurs failles et un message universel de la rencontre entre deux civilisations.
L'idée originale de la porte des étoiles pour faciliter le voyage intersidéral et de grand bond sans perdre le temps en carburant et se prenant des cheveux gris inutilement. Le génial trou de ver scientifique d’après la relativité d’Albert Einstein où tout objet et corps vivant le traverse se téléporte par dématérialisation en particule atome et se retrouvera reconstitué à l’autre bout du tunnel cosmique, de la pure science-fiction qui fait rêvé, le cinéma l’a fait pour les guider en comptant les années lumières. C’est bien comme intrigue de possession d’esprit philosophique par les extra-terrestres manipulant les humains, la théorie des anciennes grandes civilisations disparues sur terre subitement sans laisser de trace, des questionnement sur l’origine des technologies de pointe utilisées par ces sociétés archaïques et qui renaît dans d’autre vaste monde galactique en passant par le portail magique. Une série télévisée dérivé plus intéressante et fournit en explication diversifiée, modifiée au fil du temps, le scénario du film est très simple et soft en comparaison à la vision du chef-d’œuvre de l’horreur « event horizon, vaisseau de l’au-delà » de Paul W. S. Anderson.