Mon film préféré avec son scénario original et génial... de la science fiction pur un délice. En plus, suite au film, 2 séries ont été créés avec plus de 15 saisons, une 3ème en cour.. un dessin animé produit.. des téléfilms!! Que du bonheur ^^
Un incontournable dans le milieu de la science-fiction qui donnera naissance plus tard à la série Stargate SG-1.
Plutôt originale les pyramides servant de piste d'atterrissage pour les vaisseaux Goa'uld.
Dans ce film l'antagoniste est Râ de la Mythologie égyptienne ayant sous ses ordres des troupes de Jaffas qui le considère comme un Dieu, ce n'est que dans Stargate SG-1 que l'on en apprendra d'avantage sur la véritable nature des Goa'ulds.
Ce film est le commencement d'une longue aventure, je ne regrette pas d'avoir tout vu de la franchise Stargate.
un très bon film de SF, un film appart dans la filmo de emmerich, peu d'action mais beaucoup moin de cliché. bref largement mieux que la prelogie stars wars et ouai....
Avec ce machin précédant de deux ans son Independence Day, Emmerich s'est posé des jalons douteux au très fort goût de préhistoire informatique. Très très vaguement space opera, ce Dune version bad boys exacerbe les défauts d'un américanisme dont l'outrance prend sa source au-delà de l'univers observable (au moins, c'était propre dans Independence Day).Le jaillissement de la SF n'est pas trop mal fait : on croirait Interstellar, avec une introduction agricole qui est remplacée par l'égyptologie. James Spader ne vaut pas Jeff Goldblum dans le rôle du savant un peu perdu, mais il a le mérite de porter sa science au-delà du niveau de niaiserie standard pour un blockbuster : certes, il apprend l'égyptien ancien plus vite encore que Tom Hanks l'anglais dans Le Terminal, mais c'est bien joué de mettre ça sur le compte de la langue morte. Le reste... restera niais.Le peuple et les bêtes (qui sont des espèces de gnous à tronches d'ornithorynques passés au micro-ondes) sont encore plus ridicules que ceux des premiers Star Wars, ce qui rendrait Stargate seulement médiocre s'il n'avait pas aussi 20 ans de retard. Par Anubis, les effets spéciaux sont d'un lanlouille ! Des inserts sont même copiés-collés. Il y a un peu de Le Cinquième Élément : le désert, les buildings un peu sordides...Stargate ne fait même pas exprès d'être rétro ou vieux jeu ; son retard en tout est vraiment déprimant, mais il est aussi d'une fadeur choquante : des murs droits et gris, un monde de sable avec un chapiteau, une pyramide, une cité et deux Lunes ; des autochtones en pagne, un grand méchant magicien d'Oz. En plus, le choc entre les styles des personnages est aussi délicat que Godzilla avec un coquelicot. Autant dire que le niveau émotionnel en est réduit à un soupir pour chaque mort et un bâillement par rebondissement.
Du bon spectacle, simpliste mais efficace. "Stargate, la porte des étoiles" est une épopée mythologico-futuriste, qui tient à la fois du péplum, d'Indiana Jones et de Star Wars.
Le pitch du film était si prometteur, que l'on se prenait à imaginer un space opéra de qualité. Au lieu de cela, le film souffre de longueur et d'interminable plan dont l'unique utilité est de meubler un scenario qui bat de l'aile, il y a avait pourtant à faire autour du sujet. Et de d'intéressant, le propos devient juste banal, tournant autour de la révolte contre un tyran. Le tout aurait encore pu faire l'objet d'un bon film, s'il y avait eu toutefois quelque intensité dramatique....
Une histoire fantastique plaisante à regarder. Un bon petit moment d' évasion très appréciable, un scénario donnant envie, Kurt Russell et des décors magnifiques, il était quasiment impossible de rater le coche avec tout ces atouts.
un habile et savant mélange de mythologie et de SF réalisé avec flamboyance par R. Emmerich. les effets visuels, les batailles en font un spectacle enthousiasmant, la mission plus scientifique apporte aussi un intérêt et timing captivant. en fond, des personnages avec leurs failles et un message universel de la rencontre entre deux civilisations.
J'avais gardé un souvenir mitigé de Stargate, la relecture à 33 ans n'a que confirmé ma première impression. On est face à un blockbuster spectaculaire, convenu dans ses ressorts scénaristique, ses incohérences et son manichéisme de scènes et personnages. Mais à côté de ça on a aussi un concept devenu culte, le personnage décalé de Jackson, des plans à 3 lunes qui claquent et une esthétique ancienne Égypte convaincante. C'est surtout l'excellente BO qui confère au film un surplus de personnalité, dommage qu'elle soit aussi anxiogène. Probablement le meilleur Emmerich, à revoir pour pleinement profiter de l'épisode de 2HDP qui lui est consacré.
Un de mes films préférés quand j'étais enfant. Ca faisait peut-être 20 ans que je ne l'avais pas revu et je dois dire que c'est toujours aussi bien ! L'histoire est géniale ! Un remake avec de super effets spéciaux serait trop bien !
Ce film introduit la série Stargate SG-1 en exploitant la toute première mission du colonel Jack O Neil et son équipe. Ils vont traverser la porte des étoiles avec le docteur Jackson qui a réussi à déchiffrer les symboles et la fonctionnalité de la porte. Le scénario est fidèle à l’esprit Stargate et les effets spéciaux sont plus que bons pour l’époque à laquelle a été tourné le film. Ce qui est dommage ce sont les répliques qui ne sont parfois pas à la hauteur et surtout le manque de hauteur et de talents de certains acteurs, notamment celui de Jack O’Neil qui est plus que moyen. Du coup on a du mal à s’attacher à ce personnage trop militaire qui manque de piquant. En somme un long métrage plutôt correct seulement on attendait mieux.
The Stargate est de loin le meilleur film de Roland Emmerich (vu les autres, c'est pas très difficile). En faisant abstraction des stupidités ésotériques sur les pyramides, la première partie fait preuve d'une maîtrise parfaite (et permet de revoir un an avant sa mort, la suédoise Viveca Lindfors une gloire de l'age d'or hollywoodien - plus de 100 films et séries TV à son actif). Mais dès l'arrivée de l'autre côté de la porte des étoiles, la mise en scène s'étale paresseusement jusqu'à la bataille finale (euh... deux petits chasseurs, ça fait un peu radin non?) dont la conclusion manque ni d'ironie, ni de panache. Et comme, pour une fois, les effets spéciaux servent l'histoire (et pas le contraire), les acteurs sont tous excellents avec une mention particulière pour le trop rare Jaye Davidson (3 films seulement !). Quant à la série TV du même nom, comme il n'est pas permis d'être grossier dans cette rubrique il vaut mieux ne rien en dire.