Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Pierre-Olivier Toulza
Le film s'embourbe (…) dans une relecture simpliste de la guerre du golfe [pourtant], le film (…) adoptait un ton proche de l'autodérision et un rythme de BD. Cahiers du cinéma 489, mars 95.
France Soir
par La rédaction
Evidemment, comme c’est souvent le cas (…) dans ce genre de productions, on évitera de tenter de résoudre les énigmes d’un scénario qui oscille entre l’opaque et le trou noir. Le spectacle est heureusement ailleurs. France-Soir, 1 février 95
Le Figaro
par Claude Baignères
On ne n’ennuie pas. On s’amuse même de certaines répliques d’humour et plus ironiquement de la psychologie et de la morale [mais] on espérait un peu plus de délire imaginatif. Le Figaro, 7 février 95
Positif
par Laurent Vachaud
Si l'on s'amuse franchement de la naïveté très Tintin et Milou de la première demi-heure, on se fatigue en revanche très vite de la violence pyrotechnique des deux derniers tiers. Positif 409, mars 95
Télérama
par I.D.
Pas franchement désagréable, mais franchement mou. Télérama, 1 février
Cahiers du Cinéma
Le film s'embourbe (…) dans une relecture simpliste de la guerre du golfe [pourtant], le film (…) adoptait un ton proche de l'autodérision et un rythme de BD. Cahiers du cinéma 489, mars 95.
France Soir
Evidemment, comme c’est souvent le cas (…) dans ce genre de productions, on évitera de tenter de résoudre les énigmes d’un scénario qui oscille entre l’opaque et le trou noir. Le spectacle est heureusement ailleurs. France-Soir, 1 février 95
Le Figaro
On ne n’ennuie pas. On s’amuse même de certaines répliques d’humour et plus ironiquement de la psychologie et de la morale [mais] on espérait un peu plus de délire imaginatif. Le Figaro, 7 février 95
Positif
Si l'on s'amuse franchement de la naïveté très Tintin et Milou de la première demi-heure, on se fatigue en revanche très vite de la violence pyrotechnique des deux derniers tiers. Positif 409, mars 95
Télérama
Pas franchement désagréable, mais franchement mou. Télérama, 1 février