AlloCiné
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Ce film est d'une tendresse infinie .... j'ai rit, j'ai pleuré ..... en plus on voyage et c'est magnifique. On ne présente plus ces deux monstres du cinéma américain. un très bon film à voir sans tarder
Je dois avouer que je m'attendais à mieux pour un film sur deux hommes en phase terminale du cancer, incarnés par deux très grands acteurs, que sont Jack Nicholson et Morgan Freeman...
Le scénario est simple, un modeste mécanicien et un richissime gérant d'hôpital, se rencontrent par le biais de leur maladie. Ils sont tous les deux au stade le plus avancé du cancer et sont condamnés à une mort quasi certaine dans les prochains mois. Les deux hommes décident de profiter pleinement de leurs derniers moments en mettant en place une liste d'expérience à vivre sans plus attendre...
L'émotion est présente, notamment à la fin, et le film est intéressant dans la façon dont il aborde le sujet de la fin de vie, tout en mettant en parallèle le destin de deux hommes dont le seul point commun est la maladie.
Mon principal reproche, c'est que l'ensemble est prévisible et sans surprises, à la lecture du synopsis, on sait où le film va nous emmener, les dialogues sont un peu clichés et un peu trop philosophiques. Quand aux objectifs de la liste, ils sont rapidement passés en revue et on ne s'y attarde pas trop.
Le duo d'acteurs maintient quand même une certaine intensité, les personnages restent captivants et connaissent une vraie évolution au cours du film.
Il en reste un film bien interprété, mais franchement pas marquant.
Le scénario est simple, un modeste mécanicien et un richissime gérant d'hôpital, se rencontrent par le biais de leur maladie. Ils sont tous les deux au stade le plus avancé du cancer et sont condamnés à une mort quasi certaine dans les prochains mois. Les deux hommes décident de profiter pleinement de leurs derniers moments en mettant en place une liste d'expérience à vivre sans plus attendre...
L'émotion est présente, notamment à la fin, et le film est intéressant dans la façon dont il aborde le sujet de la fin de vie, tout en mettant en parallèle le destin de deux hommes dont le seul point commun est la maladie.
Mon principal reproche, c'est que l'ensemble est prévisible et sans surprises, à la lecture du synopsis, on sait où le film va nous emmener, les dialogues sont un peu clichés et un peu trop philosophiques. Quand aux objectifs de la liste, ils sont rapidement passés en revue et on ne s'y attarde pas trop.
Le duo d'acteurs maintient quand même une certaine intensité, les personnages restent captivants et connaissent une vraie évolution au cours du film.
Il en reste un film bien interprété, mais franchement pas marquant.
Grace au talent de deux acteurs, le film tient la route, spécialement dans la première partie où ils apprennent à se connaître sur leurs lits d'hôpital.
Un duo de deux grands pompes du cinéma américain jouent leur plus petit rôle dans cette comédie dramatique. Et pourtant, ils nous offrent un conte très beau sur deux vieillards. l'un ayant tout donné pour ses proches, l'autre ayant tout œuvré pour lui même, mais qui se retrouvent face à leur destin commun, notre destin commun: la mort. Alors même que leur vie est scellée, on apprend à vivre et à mourir, mais surtout à aimer et se pardonner. Sur fond de facilitée humoristique on se laisse emporter par le flot de la douceur de ce film pour un cœur serré mais qui, malgré tout, sourit.
J'ai été très émue par ce film plein de bons sentiments, certes très américains, mais qui parlent à l'âme et sont universels. J'ai bien ri aussi. Morgan Freeman et Jack Nicholson sont deux acteurs immenses qui jouent ici une partie qui ne dénature pas leur talent. Après la dernière scène je me suis sentie comme après un bon vieux film de Frank Capra: joyeuse, confiante, saisie par la beauté fragile de la vie, et appelée, pour reprendre Carter (Morgan Freeman) a2 mettre de la joie dans ma vie, et dans celle des autres. Un film tout simple mais tendre et riche de sens.
Les critiques sont un peu dures à mon goût.
Peut-être qu'avec Jack Nicholson et Morgan Freeman à l'affiche ,certains espéraient un grand film et sont donc logiquement déçu.
Si on est loin du chef-d'oeuvre, on est quand ici face à un bon film qui aborde la mort sans jamais tombé dans le pathos , et arrive à nous faire nous questionner sur le sujet, en passant malgré tout un moment agréable en assistant à des scènes sympathiques.
Puis il est à noter qu'il n'est pas si fréquent d'avoir comme protagonistes des gens âgés et que ça apporte donc quelque chose de différent qu'on ne se privera pas d'apprécier.
Peut-être qu'avec Jack Nicholson et Morgan Freeman à l'affiche ,certains espéraient un grand film et sont donc logiquement déçu.
Si on est loin du chef-d'oeuvre, on est quand ici face à un bon film qui aborde la mort sans jamais tombé dans le pathos , et arrive à nous faire nous questionner sur le sujet, en passant malgré tout un moment agréable en assistant à des scènes sympathiques.
Puis il est à noter qu'il n'est pas si fréquent d'avoir comme protagonistes des gens âgés et que ça apporte donc quelque chose de différent qu'on ne se privera pas d'apprécier.
Très bon film, bien réalisé
Quelques longueurs parfois mais de très bon jeux d'acteurs et une bonne morale !
Ça permet de faire le point sur sa propre vie...
Un bon moment !
Quelques longueurs parfois mais de très bon jeux d'acteurs et une bonne morale !
Ça permet de faire le point sur sa propre vie...
Un bon moment !
Le discours du film de base, n'est pas le plus original ni le plus intéressant à traiter. De plus, le film insiste beaucoup avec de longue tirade sur l'amour, l'amitié, la mort etc... Ce qui rend presque cliché sur sa forme (en plus c'est Freeman qui le fait). En revanche, les personnages qui sont aussi clichés, sont agréable à découvrir grâce au talent des acteurs qui les campent. Le scénario, même si cliché comme dit plus haut, reste bien écrit et les dialogues sont intéressant à écouter. Dommage qu'il soit accompagné par des images moyennes et parfois même pas belle. Je suis désolé, mais quand on a la prétention de présenter un tour du monde, la moindre des choses est de présenter de belles images. Bref, un fond intéressant, mais une forme ratée.
Avec ces deux monstres sacrés que sont Jack Nicholson et Morgan Freeman, on se dit que ça peut être pas mal. Sauf que le scénario convenu et la présence de Rob Reiner qui n'a plus d'inspiration depuis "Misery", on se retrouve devant un film tellement prévisible et aseptisé que l'émotion ne passe pas. Dommage car Nicholson et Freeman semblaient y croire!!
Superbe film ! Drôle et émouvant à la fois ...
J'ai adoré le jeu des acteurs et leur connivence, malgré leurs différences de vie et de niveau social.
Je ne comprends pas que les critiques aient descendu ce film, souvent sous prétexte qu'il s'agit d'histoires de "vieux" et du cancer, sujet tabou par excellence.
Qu'ils attendent d'être à la fin de leur vie pour revoir ce film, ils raisonneront sans doute autrement.
Ce film m'a donné une lueur d'espoir pour l'avenir et j'ai commencé à dresser ma propre liste !
J'ai adoré le jeu des acteurs et leur connivence, malgré leurs différences de vie et de niveau social.
Je ne comprends pas que les critiques aient descendu ce film, souvent sous prétexte qu'il s'agit d'histoires de "vieux" et du cancer, sujet tabou par excellence.
Qu'ils attendent d'être à la fin de leur vie pour revoir ce film, ils raisonneront sans doute autrement.
Ce film m'a donné une lueur d'espoir pour l'avenir et j'ai commencé à dresser ma propre liste !
Rob Reiner, le réalisateur, nous avait habitué à mieux dans les films de ses débuts (« The Princess Bride », « Quand Harry Rencontre Sally » ...) mais on passe quand même un très bon moment car on assiste à une belle histoire d'amitié avec deux tempéraments forts. Un grand jeu d'acteurs au service d'un film qui raconte une belle histoire. Que ferions-nous de nos derniers jours si nous connaissions la date de l'échéance finale ? Quelles sont les priorités à court terme et à long terme de notre vie ? Nos objectifs individuels et collectifs (familial) sont-ils conciliables ? La réalisation fait, par moments, un peu trop dépliant publicitaire pour les grands sites touristiques du monde mais, heureusement, on n'y fait pas trop attention tant l'émotion passe entre les acteurs et le spectateur et c'est là l'essentiel.
Sans plus attendre n'aura finalement qu'un seul mérite avec son histoire de pépères cancéreux prêts à profiter des derniers instants de leur existence, celui de me faire dresser quelque peu en avance (car j'espère avoir encore le temps de voir venir le générique de fin) l'ensemble des choses que j'aimerais faire avant de mourir. Je n'ai malheureusement pas eu la chance comme certains d'avoir un prof de philo inspirant et l'idée d'une telle liste ne m'avait jamais effleuré l'esprit.
Il est clair que les deux acteurs sont formidables, néanmoins je n'ai pas mis ce film au rang de chef d'oeuvre. Cela dit ce film n'est pas un navet il se laisse regarder sans souci.
Opposer Nicholson & Freeman, c’était tout juste bon à faire une bonne affiche, tout comme le synopsis est tout juste bon à ramasser des clichés comme une toile d’araignée les moucherons : carpe diem, vivre sa vie à fond, blablabla. Sauf que.
Vu une première fois quand j’avais la moitié de mon âge actuel, j’avais trouvé Sans plus attendre marquant & il est resté pendant une décennie un coup de cœur d’arrière-plan, un souvenir assez vivace que je ne me remémorais tout bêtement jamais. Retrouvé par hasard & revisionné par curiosité, je le redécouvre dans sa courte entièreté.
Autemps pour le minimalisme donc : écrit en deux semaines, The Bucket List n’est certes pas un film qui remue ciel & terre même s’il traverse les deux tour à tour, mais il a la puissance d’un petit coup de génie. Pourtant il est mis en scène avec une humilité adorable qui consiste seulement à conforter les deux acteurs dans leurs habitudes. Leur compétence fait le reste, les rendant faciles à comprendre & le film facile à aimer.
À y réfléchir, les personnages secondaires de Beverly Todd & Sean Hayes sont même très convenus : la femme aimante, prête à supporter plus qu’il n’en faut, & l’assistant ultraperformant rigolo n’apportent rien aux mondes respectifs très plats des deux hommes, mais Reiner pose une question simple : “qu’est-ce que le film a besoin qu’on lui apporte ?” A-t-il besoin d’autre chose que le cadre qui lui sert de berceau & les coups de pouce scénaristiques rudimentaires qui font avancer l’histoire ?
Défilé de visages, de gros plans sur des microexpressions dont seuls Freeman & Nicholson sont capables, The Bucket List se contente de beaucoup voyager pour que la beauté de l’image se substitue de temps en temps à l’idéalisme de dialogues qui vireraient sinon très vite à la candeur dispensable. C’est une œuvre légère & fragile dont on n’attend absolument pas qu’elle s’attaque à des relations conflictuelles, ni à un tournage en globe-trotter (Tanzanie, Inde, Égypte, France…) & surtout pas autour du thème de la mort ; quand elle le fait, c’est avec une incroyable inconséquence, pour la bonne raison que, dans l’univers magique de Reiner où des hommes se battent pour leur vie, il n’y a plus rien d’autre pour quoi se battre.
→ https://septiemeartetdemi.com/
Vu une première fois quand j’avais la moitié de mon âge actuel, j’avais trouvé Sans plus attendre marquant & il est resté pendant une décennie un coup de cœur d’arrière-plan, un souvenir assez vivace que je ne me remémorais tout bêtement jamais. Retrouvé par hasard & revisionné par curiosité, je le redécouvre dans sa courte entièreté.
Autemps pour le minimalisme donc : écrit en deux semaines, The Bucket List n’est certes pas un film qui remue ciel & terre même s’il traverse les deux tour à tour, mais il a la puissance d’un petit coup de génie. Pourtant il est mis en scène avec une humilité adorable qui consiste seulement à conforter les deux acteurs dans leurs habitudes. Leur compétence fait le reste, les rendant faciles à comprendre & le film facile à aimer.
À y réfléchir, les personnages secondaires de Beverly Todd & Sean Hayes sont même très convenus : la femme aimante, prête à supporter plus qu’il n’en faut, & l’assistant ultraperformant rigolo n’apportent rien aux mondes respectifs très plats des deux hommes, mais Reiner pose une question simple : “qu’est-ce que le film a besoin qu’on lui apporte ?” A-t-il besoin d’autre chose que le cadre qui lui sert de berceau & les coups de pouce scénaristiques rudimentaires qui font avancer l’histoire ?
Défilé de visages, de gros plans sur des microexpressions dont seuls Freeman & Nicholson sont capables, The Bucket List se contente de beaucoup voyager pour que la beauté de l’image se substitue de temps en temps à l’idéalisme de dialogues qui vireraient sinon très vite à la candeur dispensable. C’est une œuvre légère & fragile dont on n’attend absolument pas qu’elle s’attaque à des relations conflictuelles, ni à un tournage en globe-trotter (Tanzanie, Inde, Égypte, France…) & surtout pas autour du thème de la mort ; quand elle le fait, c’est avec une incroyable inconséquence, pour la bonne raison que, dans l’univers magique de Reiner où des hommes se battent pour leur vie, il n’y a plus rien d’autre pour quoi se battre.
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shindu77
Malgré un joli succès box-office américain, ce film n'a rien d'extraordinaire. Certes porté par un casting intéressant sur le papier et surtout par ces deux acteurs majeurs, le film ne décolle pas. Il est porté par une lourdeur au niveau de la réalisation ce qui nuit grandement au film.
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