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    Les cent et une nuits de Simon Cinéma
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    halou
    halou

    118 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2008
    Un bel hommage au cinéma faite par une très grande réalisatrice donc légitime. Le choix de Piccoli est intelligent mais le tout reste évidemment en-dessous de nos attentes. Loin d'être déçu.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    154 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2021
    "Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma", film anniversaire pour les 100 ans du cinéma franco-britannique réalisé par Agnès Varda.et sortie en 1995. Un film hommage, un film choral, un bel hommage au cinéma avec une pléiade d'acteurs et d'actrices qui se sont prêtés au jeu. Avec Michel Piccoli en Monsieur cinéma centenaire et tout ceux et celles qui se rendent à son chevet : Julie Gayet, Mathieu Demy, et la ribambelle de célébrités (Mastroianni, Belmondo, Delon, De Niro, Depardieu, Deneuve ... la liste est longue.
    Une succession de clins d’œil, d'anecdotes, d'allusions, de références cinématographiques et d'extraits des plus grands classiques et des plus belles scènes et des plus belles musiques. Un beau film, pas si mal que ça.
    Cthulhu Mantis
    Cthulhu Mantis

    26 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 août 2015
    spoiler: Ma seule curiosité de ce film et son seul intérêt c'est son incroyable casting d'acteurs qui défilent à mesure que le film avance. Cela alterne entre fiction et documentaire mais très mal mis en scène et pas assez recherché. [spoiler]Une Julie Gayet aussi bête que ses pieds, cruche et ne respire pas l’intelligence mais plutôt le contraire portant le sexe sur le visage que la féminité.
    Cela à beau être un hommage au cinéma il n'y apporte rien au cinéphile initié et non initié.[/spoiler]
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 541 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 avril 2021
    J'ai toujours soupçonné que l'œuvre de Mme Varda devait être mystique. Prenez les acteurs par exemple ils sont connus pour avoir des moteurs comme la cupidité ou la jalousie. Le monde du cinéma demande cela et c'est la demande du public donc il n'y a aucune chance que cela s'arrête. Alors l'enfantin Michel Piccoli de M. Simon Cinéma toujours fidèle toujours génial ne mourra jamais il est un homme toujours jaloux toujours sentimental né pour jouer cette métaphore qu'est le cinéma dans son ensemble qui est essentiellement un langage et pas une image. Il y a quelque chose de plus sordide dans ce film d'une certaine manière (curieusement la touche de Varda) un enfant de cinq ans pourrait voir ce film et l'apprécier pourquoi pas c'est ludique et au-delà des plus grands moments et citations de films c'est sa croyance en la nostalgie qui le ferait l'aimer. C'est choquant quand on pense que ce film a été pensé essentiellement comme un hommage. Il joue avec vos nerfs et votre cerveau même s'il vous donne le sentiment que vous n'étiez pas là mais nous y étions. Non vous étiez juste assis là mais c'est comme si vous n'étiez jamais là et c'est passer à côté d'une grande partie des objectifs initiaux du film ainsi que du public fou de cinéma en premier lieu. Ce film est donc un manque de respect jouant pour ce qu'il n'a jamais été et ne jouant qu'avec les mentalités des spectateurs fous de cinéma qu'il devrait respecter en premier lieu...
    ferdinand75
    ferdinand75

    547 abonnés 3 866 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2023
    Un très bel hommage au cinéma, aux grands classiques du 7eme art. Une ambition énorme qui consiste à introduire des extraits de ces grands films et de créer un récit romanesque autour des beaux films qui ont marqué les cinéphiles. C’est plutôt réussi, même si il y a quelques longueurs, mais il y a vraiment des moments uniques, avec de grands acteurs qui viennent interpréter leur rôle pour rencontrer le Monsieur Cinéma, Mr Loyal, joué magnifiquement par Michel Piccoli, absolument parfait , tour à tour drôle , cocasse ou délirant .Le passage de Belmondo en torero déchut est énorme, hilarant , Delon fidèle à lui -même , tout le monde y est . Même De Niro qui fait un passage superbe, sur un petit bateau de canotage, accompagné de la sublime Deneuve. Mastroianni le clown blanc du M. Loyal est aussi très bon. Il y aussi la jeune Julie Gayet , dans un de ses premiers rôles, en assistante et meneuse de revue , elle est délicieuse , exquise de naïveté ,de fausse ingénue perverse, et on ne comprend pas pourquoi elle n’a pas fait une plus grande carrière , dans de beaux films. Il y a aussi le caméo touchant de Harrison Ford qui n’est pas « gratuit » , mais rappelle l’amitié sincère qui nouait les deux artistes , datant des années 60, quand Ford n’était pas encore une star mais un simple charpentier en galère à Hollywood. Les extraits de film sont formidablement choisit et on retrouve tous ceux que l’on aime, un inventaire impeccable ,à la Prévert, incluant aussi les classiques américains, de l’âge d’or Hollywoodien à Welles avec parfois un peu d’ironie et de malice, et on se prend à un petit jeu pour essayer de reconnaitre les musiques, bandes originales ( parfois facile mais parfois plus difficile ) ou les scènes choisies. Le film ne manque pas de moyen, et les décors et costumes sont à la hauteur du projet, ce qui n’était pas gagné d’avance, il ne fait jamais « cheap », mais plutôt chic. Bien sûr il faut être cinéphile pour l’apprécier à sa juste valeur. Un projet unique en son genre. Mais Agnès Varda prouve une fois encore qu’elle était une cinéaste majeure.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 146 abonnés 5 130 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 février 2017
    Le cinéma dans son entièreté, personnifié par un personnage. Il s’agit de revivifier l’art du rêve et du mouvement. Petit plaisir de cinéphile avec de nombreux clins d’oeil aux plus grands films, des jeux de mots assez fins et des rencontres formidables. Mais malheureusement, l’ensemble est assez fourre-tout et comme un gâteau…. trop de crème….. Elle invente ce qui a été déjà inventé, elle « surinvente ». C’est parfois bien trouvé mais assez monotone. Dommage.
    Santu2b
    Santu2b

    248 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2018
    Pour les cent ans de l'invention du cinéma, Agnès Varda décide de lui rendre hommage en convoquant un parterre de stars à son chevet. L'idée en soi était assez originale : Monsieur Cinéma, souffrant, reçoit tour à tour chacun des éléments ayant fructifié son patrimoine. Malgré une distribution plus que prestigieuse, on ne peut pas dire que le résultat soit à la hauteur. Le choix de faire incarner le cinéma par Michel Piccoli s'avère judicieux mais les jeunes acteurs en face n'affichent aucun répondant. Julie Gayet est insupportable en assistante nunuche, jouant faux tout le long du film. s'apparente à un film à sketches assez désarticulé dont quelques fragments seulement s'avèrent touchants. Pour le reste, c'est assez ennuyeux et ce film de commande ne constitue pas le plus représentatif de Varda.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    120 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 juin 2019
    Une absurde quantité de noms reconnaissables au générique est un de ces signes pan-cinématographiques annonciateurs d’une création qui ne peut pas rater. Et en termes de signes cinématographiques, Les cent et une nuits savent de quoi elles parlent : des frères Lumière à Robert de Niro, en passant par la capture presque voyeuse de Daniel Auteuil à Cannes et de Harrison Ford dont on a soutiré une poignée de main journalistique, c’est à se demander si Varda ne résume pas le cinéma à ces artéfacts, et aux stars.

    Il est intimidant de pérorer son opinion sous une aussi grande liste de noms, mais heureusement, l’œuvre ne consiste pas qu’en un étalage de cinéphilie sans but : si seulement Piccoli tenait son rôle de malade imaginaire avec un peu plus de cœur et moins de monsieur-loyalisme, tous les éléments seraient réunis pour en faire une dissertation cultivée et harmonieuse sur le cinéma. Le reste est là : Julie Gayet en pilier de l’actrice « vraie », Mathieu Demy qui est la trace vivante du passage de son père que le film commémore, et Mastroianni qui est… ma foi, lui-même, tout ce monde tournoie dans un vent d’automne chargé de feuilles qui sont des figures de style, formant une expérimentation contemporaine à Last Action Hero (oui, mes références se répètent, qu’y peux-je ?) où la spontanéité dans l’étude filmique du cinéma fait aussi de ce dernier un acteur à part entière.

    Tout fonctionne tant que Depardieu, Schygulla, Moreau et Belmondo ont un apport comique et qui cimente l’alternance jour-nuit dans une belle superposition de la vie « normale » d’impétrants cinéastes face à celle de baraque hantée où Piccoli accueille ses « 13 fantômes » (j’ignore pourquoi je me rappelle de ce navet). Mais ailleurs, c’est d’une consistance qui se délite, une tentative de fermer la malle à coups de fesse et d’emboîter deux pièces de puzzle en les taillant en carré.

    Les sentiments liant le couple Demy-Gayet s’en vont, à peine soutenus par le mouchoir blanc agité par un énième parallèle de ce monsieur Cinéma qui lance ses piques au lit, mais sa démence n’a plus de socle et la malhonnêteté mal placée qui entoure doucement ses vieux os n’arrange rien. Peut-être bien que les promesses du générique se résumaient à faire apparaître un visage pour tous ces noms.

    septiemeartetdemi.com
    Ratafia
    Ratafia

    5 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2024
    Délicieux voyage (à la Varda), d'une pétillante jeune fille (Julie Gayet) au pays de Monsieur Cinéma. Le tout doté d'un casting incroyable : Piccoli, Mastroianni, Moreau, Shygulla, Belmondo, Delon, Deneuve, Depardieu, De Niro, Lollobrigida, Ardant, Aimée, Ferréol, etc,...
    caro18
    caro18

    172 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 novembre 2011
    Intriguée par le casting mais le film ne tient pas la route et n'est qu'une succession de clins d'oeil et d'anecdotes sans interet.
    Teresa L.
    Teresa L.

    19 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 mai 2014
    Dame Agnès, à court d'inspiration, se réveilla un beau matin en se demandant ce qu'elle pourrait faire de son temps (sans doute, un film). Un autre hommage à son Jacquot de mari? Peut-être pas, déjà fait il y a peu, ça risque de lasser les gens, ne nous galvaudons pas. Vlà t-y pas qu'elle se rend compte que l'année prochaine, le cinéma aura cent ans. Youpi, bon anniv' à lui. On en profitera donc, en faisant glisser le thé du matin dans la tasse, pour griffonner un scénario sur un post it. Simon Cinéma? Adjugé! Tiens, et si on rappelait Michel P, celui qui jouait Monsieur Dame dans un film de Jacquot? Tenir le premier rôle lui fera plaisir, incarner le Cinéma encore plus. Et on va convoquer tout le gratin du cinéma mondial pour faire une apparition, parce qu'on parle de Cinéma, là, grand argument. Cracher dans la soupe personne ne peut se le permettre. Du coup je te caste Jane Birkin en Jeanne d'Arc (héhéhé), je t'invente une love story controuvée entre fifils et Julie Gayet, et tout un tas de trucs piochés à l'aléatoire dans la mémoire cinématographique universelle. Démagogie? Ce terme serait encore trop doux. Cette femme n'est qu'un tas de graisse égocentrée. Et lorsqu'elle parle du reste du Monde, ça fait encore plus peur.
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    36 abonnés 2 360 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2024
    La façon très personnelle dont Agnès Varda célèbre, en 1995, un siècle de cinéma, à la fois par l'admiration et par le souvenir, tient de la fantasmagorie. Si une partie parallèle du film raconte très prosaïquement la création d'un premier film, l'assentiel du récit consiste en un vagabondage poético-farfelu à travers l'Histoire du cinéma et celle de Simon Cinéma qui en personnifie la mémoire.
    Michel Piccoli trouve là un rôle foisonnant et déroutant par sa volubilité, dont la dialectique rend les dialogues souvent confus et vagues. Agnès Varda choisit la rêverie plutôt que le cours magistral, le style baroque plutôt que le témoignage austère ou didactique. Elle met en scène un défilé de stars (dont la participation amicale donne au film un vrai air de commémoration et, accessoirement, un générique fabuleux), lesquelles font un petit numéro fugitif entre d'innombrables références visuelles ou orales.
    Plus qu'un film directif, l'oeuvre de Varda invoque une discussion où chacun testera ses souvenirs et connaisances cinéphiliques.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Jouissive évocation du premier siècle de l'art cinématographique. On prend plaisir à voir ces visages aimés qui nous accompagnent et nous réconfortent au fil des générations. Malheureusement, le film n'échappe pas au défaut majeur et incontournable des films à sketches : l'irrégularité. On passe sans transition du merveilleux à l'insupportable. L'intrigue parrallèle et inutile menée par Julie Gayet et Mathieu Demy n'arrange rien à l'affaire.
    Nicolas B
    Nicolas B

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2014
    Un film charmant... Quoi qu'il soit difficile de vraiment parler de film; il n'y a pas cette force narrative, ni réellement cette construction de l'image qu'on pourrait attendre d'un Film, f majuscule, comme en a fait Varda. Ce film est peut-être à l'image de son personnage principal, nébuleux, parsemé d'anecdotes, de visions, pas très vigoureux, même assez faible, mais poétique, parfois précieux, ou parfois grandiose, plein d’évocations, légères, mais assez justes. L'on est pas réellement captivé, en somme, mais charmé. Et puis,bien sur, c'est un catalogue, un très beau catalogue, riche et varié, réunissant, sans les étouffer, beaucoup des splendides images, visages, musiques, paroles, ayant habité les écrans du 20eme siècle...
    Un film loin d’être vain.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 juin 2007
    bon film.
    Les meilleurs films de tous les temps
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