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Anaïs M
4 abonnés
53 critiques
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4,5
Publiée le 23 avril 2013
Ce film ne devrait même pas etre noté tellement il est culte, et même être directement surclassé. En même temps quand on se trouve devant LE film qui a lancé le genre zombie. En fait aucun film ne pourra je pense egaler celui-ci et de tout les films de zombie que j'ai pu voir aucun n'a été aussi percutant, vif, on est pris dedans, bien loin des grotesques films d'aujourd'hui! Et puis cette BO! Ce film c'est une torture psychologique tout simplement et puis la fin nous achève bien en beauté! Bref ... Un film à ne surtout pas manquer pour tout fan du genre zombie.
Attention, je vais parlé de MON chef d'oeuvre par excellence, La Nuit Des Morts Vivants du pape des Zombie, George Romero. Aucun films n'aura jamais le même impact, la même force et la même tension.
Pour faire simple, le premier chapitre de la "vrais" trilogie des morts est le plus grand film d'horreur que j'ai vue. De la musique, au acteurs parfait, des dialogues fort, des personnages attachant ou détestable, des effets juste incroyable vue le budget hallucinant du long. Bref que des qualités pour ce qui le film qui a donné vie au morts vivants contemporain.
Romero a écrit un grand chapitre du genre avec son chef d'oeuvre absolue. Et dire qu'il en a encore en réserve et lâchera quelques années plus tard, l'un des seul film qui mais tout le monde d'accord, Dawn Of The Dead; Merci dieux !!!
Un film émouvant et particulièrement immersif, où l'atmosphère compte plus que le reste. Cultissime, cet opus de Romero fait figure de référence et aurait posé les bases du genre. Il est vrai qu'en regardant la nuit des morts-vivants, on ne peut que saluer l’œuvre du maître : une bande originale glaçante, un son exceptionnel, une situation inextricable... tout est là pour une bonne tranche de terreur. La mise en scène est habile et efficace et immerge totalement le spectateur, piégé comme les héros. Tout cela est délicieusement cheap et lubrique et, même s'il ne se passe pas grand chose tout au long du film, l'atmosphère est là, et la bande son finira de convaincre les plus réticents. Il faut enfin le souligner, le dénouement, un vrai choc, est exceptionnel...
Attention: classique. Ce film reste sans aucun doute le film de morts vivants ultime. Et malgré les années, il a conservé tout son impact. A cela s'ajoute une subtile et intelligente critique de la société américaine de l'époque, ce que refera quasiment systématiquement George A. Romero par la suite dans sa filmographie, sans toujours parvenir à la faire de manière aussi habile.
Contraint au noir et blanc pour masquer son manque de moyens, Roméro parvient à nous livrer un film épuré, à l’esthétique certaine, ingénieux et novateur. A la foi simple et terrifiant, « La nuit des morts vivants » s’impose comme un classique de l’épouvante. En outre, l’intérêt du film est renforcé par la critique sociale et politique qu’il contient.
certes à l'époque çà a du faire un carton, encore que la mise en scène est raté. maintenant ce film fait rire....la prestation des acteurs est nulle avec une mention pour judith o'dea qui est à coté de ses pompes durant tout le film....!!!! à voir pour se fixer une référence des films de zombies.
"La nuit des morts vivants" est un film important das l'histoire du cinéma, car novateur et révolutionnaire à l'époque, mais son influence et son héritage continue de perpétuer et n'a même jamais été aussi florissant ce qui est assez contradictoire puisqu'à la base Romero se servait de la figure du zombie qu'il a crée pour dénoncer le capitalisme. Tourné en indépendant pour 114 000 dollars, "La nuit des morts vivants" est le premier film de zombies moderne, qui posa les bases du genre aujourd'hui encore très codifié malgré quelques ajustements dans l'air du temps. Tout le monde sait et s'astique sur la critique sociale du film, reflet de son époque, mais ce n'est pas pour ça qu'on continue de regarder "La nuit des morts vivants" mais parce qu'il est bien écrit et que la mise en scène sous influence, notament Hitchcock ou "Je suis une légende" avec Vincent Price, fonctionne malgré un côté brouillon et amateur mais qui lui donne son charme voir lui donne sa force parfois. Certains cadrages mal fait seraient sans doute moins immersif si ils avaient été bien fait, certaines scènes en théorie gore n'auraient sans doute pas le même impact sans sa mise en scène économique, usant et abusant du hors-champ.
Qui a peur de l'étrange Étranger ? Quand Romero pose les bases du film de morts vivants, eh bien ça fait date dans les annales du cinéma. Barbra et son frère Johnny vont se recueillir sur la tombe de leur père. Dans cet endroit particulier, ils vont être confrontés à l'étrange... Romero avec son budget famélique de 100000 dollars offre le premier chef d'oeuvre du genre et inscrit son nom dans le panthéon des maîtres de l'horreur. La Nuit des Morts Vivants n'est pas qu'un simple film d'épouvante, non, il est bien une critique virulente de la société. Dans cette maison qui impose le huis-clos étouffant, on remarque les différentes strates de la société américaine, la tension qui a lieu entre ses murs n'est-elle pas le reflet de situations réelles ? Et ces morts vivants à qui l'on veut échapper, ne sont-ce pas les étrangers qui font fuir ? L'image du héros a les traits d'un black qui se démène pour survivre, sans lui la petite communauté n'est-elle pas vouée à l'échec ? et cette télé, une illusion. Romero est un pessimiste, son métrage le confirme, Night Of The Living Dead est une tragédie sans concessions. Esthétiquement, la photographie est excellente, un noir et blanc ténébreux dont quelques fulgurances (le jeu sur les ombres) parviennent à rendre encore plus démonstratives. Il y a des défauts, des incohérences mais elles ne sont rien face à l'ensemble des qualités intrinsèques du motion picture. Des comédiens souvent amateurs, Romero ne s'est pas trompé en leur donnant leur chance. La Nuit Des Morts Vivants annonce le climax futur, le bien nommé Dawn Of The Dead... 5/5
Romero attaque sa carrière par le filon qu’il disséquera toute sa vie. Pour l’instant il n’a pas grand-chose à mettre sur la table, une bonne bande de potes, et un don certain pour tenir une caméra. Titubante, toujours inclinée dans des angles improbables, noyée dans un beau noir & blanc avare de lumière, elle suit l’histoire au plus près dans une atmosphère lourde évoquant largement Hitchcock. Mais le budget absent se fait sentir. On est en 1968, et certaines scènes paraissent dix ans de plus. Les zombies ne se reconnaissent qu’à une démarche mal assurée et quelques traces de talc sur le visage. Le scénario, cinq pages tout au plus, s’éloigne peu des trois unités, temps, lieu et action – c’est moins cher en décors. Les grandes règles du genre sont encore à l’étude ; certaines vont s’installer, d’autre disparaitre. On a beaucoup glosé sur la dimension politique du film. C’est vrai, à l’époque donner les commandes à un black est osé. Pour le reste, il s’agit essentiellement d’un groupe de personnages bigarré abordant une menace chacun à sa façon. Les caractères sont plutôt recherchés, mais enfin de là à initier une analyse sociale, il y a une marge. Reste que sans être le premier, on a bien là un des principaux modèles d’une mouvance à part dans le cinéma d’horreur.
Premier film de la saga Zombie du Maitre Romero, et franchement culte. Une ambiance très réussie, flippante (Même en 2012) et angoissante. Les 3/4 du film se passent dans la petite maison, totalement isolée fait alors penser a un huis clos. Les personnages par contre sont aujourd'hui assez stéréotypé (Le héros, la blonde qui fout rien, le bon gars amoureux sympa, le c*n buté et têtu), mais l'époque veut surement ça. De plus ils sont tout de même bien réussi (Palme d'or pour Ben). Ensuite, la réalisation ainsi que la musique sont tout bonnement géniale. J'ai franchement adoré la musique qui collait parfaitement aux moments d'actions. Le scénario quant à lui... Bah assez basique aujourd'hui, dans le sens où c'est l'un des pionniers en films de zombie. Mais innovant à l'époque, clairement. Quant au final du film... Bah on est un peu dégouté par ce qui arrive à Ben, bien qu'on s'y attendait. C'est là aussi où Romero est bon: Pas de Happy-End, pas de vraies fin. Ça se veut plutôt "réaliste" (Tout est relatif). On y est pris, on s'attache à certains personnages, et on est vraiment pris dans le film du début à la fin. Seul petit bémol: Barbara est juste énervante et ne sert strictement à rien.... C'est un ptit détail, mais on aurait voulu un personnage moins idiot. En tout cas, un classique du cinéma, un pionnier du genre Zombie, à voir et à revoir.
Bon film avec du suspense et une musique très stressante absolument géniale avec le film. Avec un petit budget ce film est très bien réussi. Certaines longueurs de temps en temps.
Considéré comme le véritable premier film de morts vivants, cette "Nuit des morts vivants" a tout de même pris un coup de vieux assez sévère. La réalisation est extrêmement brouillonne, les morts vivants ne sont pas du tout crédibles et pas spécialement effrayants. Malgré tous ces énormes défauts, le film parvient tout de même à instaurer un climat assez angoissant. Le film de Romero produit avec un budget dérisoire a connu un vrai succès ce qui en a fait l'un des films les plus rentables du cinéma indépendent. Mais attention, il y a autre chose derrière cette histoire de morts vivants. Un film d'horreur et d'épouvante qui malgré son âge reste encore honorable...
Je crains que mon cas ne soit incurable : même ce film d'horreur culte ne m'a donné aucune émotion. Bon, ce qui fait la grande faiblesse d'un tel film d'horreur, c'est que toute analyse des actions et réactions de la part des personnages ne peut avoir de pertinence. C'est toujours le même baratin insupportable d'un film qui commence par les propos : "ha, ha, ha. Tu comprends, les morts-vivants, ça n'existe que dans les films." Soit justifier la vraisemblance d'une fiction parce que pour les protagonistes ce n'en est pas une. Plus idiot que ce genre remarque de dans une fiction ? Je ne vois pas. Et ce n'est pas le caractère inédit et insolite pour l'époque qui lui fait mériter plus de considération. Bon. Comme de nombreux films d'horreur, on commence par suivre une voiture sur la route pendant que le générique défile. Quand ce n'est pas Dies Irae, c'est un équivalent. Donc, des cadavres ambulants commencent à se promener, d'abord un, puis deux, trois, dix et soixante-dix. Admettons. On finit par trouver l'intérêt du film : comment les personnages, retranchés dans une maison, vont-ils s'en sortir... Enfin, essayer... C'est là toute la puissance du scénario : trouver toujours de nouvelles stratégies, qui se trouvent toutes vaines, et vaincre les tensions qui naissent avec les caractères opposés, calmes ou belliqueux, impulsifs ou intrépides. Sans oublier le choix politique audacieux de placer un Afro-américain dans le premier rôle, alors que la ségrégation sévissait encore. Et le plus grand mérite est dans le succès d'une entreprise si risquée de la part du Cinéma indépendant : faire un film. Et la mise en scène étant tout ce qu'il y a de plus soigné, c'est tout de même un plaisir de voir La Nuit des morts-vivants. On regrette cependant l'inexpérience des acteurs qui se mue en incompétence pour la plupart. Et toujours, malgré l'influence qu'il a suscitée et suscite encore aujourd'hui, le manque de pertinence dans son propos.