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    La Nuit des morts-vivants
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    3,7
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    Votre avis sur La Nuit des morts-vivants ?

    337 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 octobre 2015
    Franchement, ce film est génial. Vous avez peut-être été déçu, mais si vous vous dites : "Cherchons les défauts", vous ne trouverez rien. Ca me suffit à dire que c'est est chez d'œuvre et que c'est un de mes films d'horreur préféré (même si ça ne dépasse pas Alien).
    The Claw
    The Claw

    63 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2015
    Un classique du cinéma d'épouvante, le premier film qui a fait apparaître les zombies tels qu'on les connait encore aujourd'hui. Si au niveau du scénario, de l'ambiance, du rythme et de la mise en scène, on reste bien accrochés au film, le son et l'image ont en revanche mal vieillis : un pétard que l'on entendrait le soir du 14 juillet ferait un bruit bien plus impressionnant que le son du shotgun de ce film!, quant à l'image... ça fait vraiment mal aux yeux. Voilà donc un film qui mériterait vraiment un remake, mais un vrai remake qui respecte le film de base : pas la peine de balancer des explosions partout et de filmer un méga carnage avec 500 zombies qui bouffent Leonardo Di Caprio, Brad Pitt et Cameron Diaz... Non!, le même film avec une trentaine de zombies, des acteurs principaux inconnus (mais qui savent jouer quand même!), et en gardant cette mise en scène sobre et ultra efficace.
    A voir tout de même pour sa culture personnelle.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 août 2015
    La Nuit des morts vivants est un classique. Sans aucun doute, Romero a construit ici les schèmes du film de zombies à base de plans en contre-plongé, et de personnages empotés comme rarement. Mais si Romero tombe à ce point dans le film culte, c'est qu'il n'hésite pas à placer dans son film, des éléments contestataires : son héros est noir, il s'oppose à un père de famille irresponsable. En plein mouvement des droits civiques au Etats-Unis, le film provoque. Bien que surestimé, la Nuit des morts vivants n'en reste pas moins un classique presque fondateur. Et il doit être vu dans cet optique. Certains films, comme les midnight movies, marquent une époque, et marquent également l'histoire du cinéma. La Nuit des morts vivants est de ceux-là.
    Roub E.
    Roub E.

    957 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 juillet 2015
    Les débuts de Romero avec ce qui fera sa gloire à savoir : les morts vivants est un coup de maître. Plus de 40 après sa sortie il reste toujours aussi fascinant. Avec son noir et blanc qui lui donne un aspect vieux film de monstre, mais en même temps une violence graphique et psychologique très élevée le film a gardé une modernité surprenante. Voulant dénoncer l égoïsme de la société américaine par le biais d un film d horreur ou chacun voulant défendre ses propres intérêt va entraîner la ruine de tout le monde Romero montre sa vision pessimiste de l homme et un sous texte qui fait selon moi les grands films de genre. Avec un final particulièrement réussi et marquant, je trouve la nuit des morts vivants en tout point remarquable si ce n est le jeu moyen de certains acteurs.
    Aymeric Defosse
    Aymeric Defosse

    9 abonnés 138 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 juillet 2015
    (…) Avec La Nuit des morts-vivants, premier volet de la saga des zombies, George Romero apportait une dimension sociale inédite à un sous-genre jusqu'alors cantonné aux productions de séries B (…) en dénonçant le racisme de la société US de la fin des années 60.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 juin 2015
    Certes, la nuit des morts-vivants est un très bon film sur la critique de la société et est le premier film de zombies, ce qui lui donne une place importante dans l'histoire du genre. Mais malheureusement, il a très très mal vieilli, on le disait terrifiant à l'époque du fait de son réalisme, mais aujourd'hui il ne fait plus peur, pas une fois durant le film j'ai sursauté! En même temps, avec la vitesse des zombies, on est pas sur les nerfs. Les morts sont relativement pitoyables spoiler: (rester dans une voiture en feu c'est pas très intelligent mais les zombies sont contents après parce qu'ils ont un barbecue sans s'embêter à faire du feu)
    spoiler: (l'autre qui recule devant sa fille zombifiée, qui tient une bêche ou quelque chose dans le genre, sans rien faire d'autre alors qu'elle a pleins d'armes autour d'elle (critique des valeurs familiales))
    etc. Mais bon, ça ne m'a pas empêché d'aimer ce film!
    elbandito
    elbandito

    344 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 juin 2015
    Chef d’œuvre intemporel et visionnaire qui fait toujours froid dans le dos, «La nuit des morts-vivants» est un pilier du cinéma fantastique signé George Romero. Souvent copié, il ne sera jamais égalé malgré plusieurs suites, un remake en 1990, pas si mauvais que cela, ou diverses copies ou inspirations plus ou moins grotesques. Pas de censure à l’époque, curieusement. Les acteurs, peu connus, sont réellement intenses, mis à part la blonde héroïne qui est réellement pénible, et l’on vit cette expérience extrême avec le réel souhait que les personnages sortent vivants de cette épouvantable nuit…De plus, la musique perturbante et l’image noir et blanc laissent libre cours à notre imagination lors de scènes de dégustation atroces. Un chef d’œuvre à redécouvrir en salles ou chez vous par une nuit d’orage.
    Sylvain P
    Sylvain P

    338 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 mars 2015
    Certes cultes, ce projet fauché invente le scénario du film de zombies qui n'est qu'à peine déclinés depuis dans des centaines de films. Néanmoins, il est difficile de voir que ce film culte est affreusement mal joué, mal filmé, mal monté, avec un son déplorable. On ne peut que retenir le scénario, image de l'Amérique des années 60 et efficace.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 février 2015
    Premier volet de la Saga des zombies de George Romero, La Nuit des morts-vivants est, sans conteste, un classique du cinéma d'horreur. En est-il pour autant un chef-d'oeuvre ? Pour moi, non. Il a bien évidemment de nombreuses qualités, mais comporte également des défauts.

    Au niveau scénaristique, bien qu'étant assez ordinaire dans sa conception, l'histoire est bien menée et révèle aux spectateurs de nombreuses surprises. on peut cependant regretter certaines longueurs, notamment lorsque les protagonistes barricadent les fenêtres et portes de la maison.

    Pour ce qui est des acteurs, mon avis est plutôt mitigé. Approuvant totalement l'idée de prendre des comédiens amateurs et inconnus, certains m'ont particulièrement impressionné, notamment Ben (Duane Jones), Tom (Keith Wayne) et Judy (Judith Ridley) ; tandis que d'autres m'ont laissé plus perplexe dans leur jeu d'acteur : Barbara (Judith O'Dea) et Mr Cooper (Karl Hardman). Les zombies, quant à eux, sont à mon sens très réussis, en prenant bien évidemment du recul par rapport à la date de réalisation (1968).

    L'atmosphère est très angoissante, pari gagnant pour George Romero.

    Les :

    - Histoire efficace et angoissante.
    - Ben, Tom, Judy et les zombies.
    - La bande-son.
    - Une fin très surprenante.

    Les - :

    - Barbara et Mr Cooper.
    - Certaines longueurs pouvant un peu assommer les spectateurs.

    Note : 4/5

    Très bon film de zombie, n'ayant pas du tout à rougir des prestations de ses petits frères, bien au contraire, durant ces quasi 50 dernières années. Pas parfait, mais à voir tout de même absolument.
    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    40 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 février 2015
    La Nuit des Morts Vivants n'est pas qu'un film sur une invasion de zombies. D'ailleurs le terme lui même n'est pas prononcé une seule fois dans ce précurseur du film d'horreur. Il traite avant tout de relation humaine, de confiance, et aborde des thèmes récurrents pour l'époque, comme le racisme. Le fond est bon, ce qui est une bonne chose. Mais pour le reste, ce qui est montré à l'écran, je ne trouve pas que le film innove non plus. En fait, le film tourne parfois dans la niaiserie la plus profonde : je citerai juste la scène du remorqueur enflammé, qui m'a profondément consterné, mais bon j'imagine que ça devait tenir en haleine les ados des 60'. Aucune explication n'est fournit quand à l'apparition de zombies cannibales dans le pays, ce qui aurait pu inciter les personnages à se remettre en question, au lieu d'avantage se focaliser sur une violence déjà omniprésente. Romero aurait pu faire mieux si il avait pousser la réflexion plus loin.
    Top of the World
    Top of the World

    68 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2015
    Une poignée d'humains réfugiés dans une maison, des zombies qui rôdent aux alentours, et les autorités qui cherchent des explications à ce soudain réveil des morts: ce classique de George A. Romero établit les bases du genre avec une imparable efficacité. Le tour de force du film réside dans la capacité de Romero à donner une ampleur politique et sociale stupéfiante à un modeste récit fantastique. Les séquences où interviennent les médias sont particulièrement fortes (la longue scène où des journalistes tentent d'obtenir des informations d'un militaire et de deux scientifiques est sidérante) en ce qu'elles créent une proximité brûlante avec l'actualité de l'époque. Le réalisme tout entier du film s'avère saisissant, de la sobriété de la mise en scène à la caractérisation percutante des personnages en passant par le subtil maquillage des morts-vivants. Et pour ne rien gâcher, le film, grâce à son rythme haletant, parvient à gagner en intensité au fil des minutes, jusqu'à un final d'une ironie et d'une cruauté inoubliables.
     Kurosawa
    Kurosawa

    585 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2015
    On ne peut voir dans "La Nuit des morts-vivants" qu'un simple film d'horreur où les vivants retranchés dans une maison font face aux terribles créatures prêtes à les dévorer. Il faut aussi prendre en compte la dimension politique du film, présente à travers les figures des médias et des policiers. La peur des survivants alterne donc avec la tentative d'explication des scientifiques relayée par les journalistes. Ce n'est que dans la dernière demi-heure que les deux vont converger et donner lieu à un final cruel, nihiliste et forcément dérangeant. Avant cela, Georges A. Romero se sera comporté tel un maître de la peur. Une gestion parfaite de l'espace, avec une variation entre plans larges et d'autres plus rapprochés qui renforcent l'oppression et le suspense; une musique forte et perçante pour souligner la situation effrayante; ou encore un formidable travail sur le son, qui nous fera trembler en exagérant le bruit du sang qui coule sur le plancher. Et si le moment de la maison en train d'être barricadée est trop long, il est le seul vrai temps faible de ce film fort qui exerce avec brio le passage du mythe (les morts-vivants ne sont qu'une légende) au documentaire.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    269 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2015
    Cette Nuit des morts-vivants laisse une impression saisissante qui va au-delà de la peur cultivée par les ficelles thématiques et stylistiques de l'épouvante ou de l'horreur. Une impression de l'ordre du malaise qui naît du champ d'interprétation qu'ouvre le film. À la différence de Massacre à la tronçonneuse (1974), autre classique du genre, simplement mais efficacement horrible et rigolard, cette nuit zombiesque, d'une pure noirceur, présente un possible sous-texte social et politique assez troublant, qui fait sa richesse. Pourtant, à en croire George A. Romero et ses complices, aucun message n'était prémédité et l'objectif se limitait à faire un bon film de genre, rentable avec peu de moyens (mission réussie, au passage, avec 114 000 dollars investis en 1968 pour une recette qui a atteint 12 millions de dollars aux États-Unis et 30 millions à travers le monde, en 2000). L'équipe du film reconnaît toutefois qu'elle était forcément imprégnée par le contexte de l'époque. Et c'est ce contexte que l'on peut voir transpirer à l'écran, inconsciemment ou métaphoriquement, via le sort réservé au héros noir du film et via la symbolique des zombies, la peur qu'ils inspirent, la chasse et l'extermination dont ils font l'objet.
    La couleur de peau de Duane Jones qui interprète le personnage principal n'avait peut-être pas d'importance particulière au moment du casting (toujours selon Romero), elle induit toutefois des tensions dans le récit, au sein de la maison assiégée, et illustre d'une certaine façon la situation des Noirs aux États-Unis en 1968 : une ombre d'inquiétude, un vague sentiment de menace se lisent dans le regard du personnage de Barbara (blanche) au moment de l'arrivée de Ben (noir) qui se sent d'abord obligé de justifier qu'il n'a pas volé la camionnette avec laquelle il est arrivé (!) et va ensuite entrer dans un rapport de force et de pouvoir avec l'un des deux hommes blancs de la cave. Son sort final, marqué par une terrible ironie tragique, rappelle par ailleurs les pires heures des crimes commis contre les Noirs aux États-Unis et peut facilement faire écho au sort tout aussi tragique de Martin Luther King, disparu le 4 avril 1968. Concernant la menace des zombies, faut-il y voir l'expression d'une peur d'invasion des communistes ou celle d'une mauvaise conscience à l'égard de "morts-vivants" vietnamiens furieusement bombardés à cette époque ? Tout est imaginable. L'idée d'associer ces zombies à l'actualité est appuyée par la forme même du film, très réaliste ou, du moins, qui entretient l'illusion d'une prise directe avec la réalité via l'insertion dans le récit de flashs d'info radio, de journaux télévisés avec intervention d'un expert scientifique et, à la fin, d'images fixes qui ressemblent à des photos de presse. Tout cela est renforcé, dans les scènes d'action, par l'utilisation d'une caméra à l'épaule, instable, aux effets quasi "documentaires". Et par un casting d'acteurs inconnus, personnages lambda auxquels il est facile de s'identifier.
    Ce premier long-métrage de Romero, qui est surtout l'oeuvre collective d'une bande de potes cinéphiles (et travaillant, pour la plupart, au sein d'une même société de production audiovisuelle), est donc un petit coup de maître qui transcende le film de genre pour l'ouvrir, même de manière plus ou moins involontaire, à une forme de critique sociopolitique. Tout n'est bien sûr pas parfait dans la réalisation (parfois maladroite), dans la narration (avec une partie centrale un peu longue et bavarde) ou dans l'accompagnement musical (envahissant au début). Mais dans ce bricolage d'amateurs doués, il y a des moments de vraie inspiration horrifique (notamment la scène de cannibalisme), des contre-plongées bien flippantes, une bonne gestion des espaces entre l'intérieur et l'extérieur (avec un intérieur qui, de refuge, devient maison de l'horreur) et un superbe noir et blanc. On notera enfin, sur le fond, l'audace d'une histoire bien cruelle à l'égard des "gentils" et dévoyant l'image angélique de l'enfance au cours d'une séquence souterraine assez monstrueuse.
    Rapidement devenu film culte, puis classique de son genre, ce film de zombies a initié une mode durable dans la production de films d'horreur, une mode que Romero a continué lui-même à alimenter avec différents ersatz, participant aussi à sa façon au Nouvel Hollywood.
    Benjamin A
    Benjamin A

    713 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2015
    Tout commence lorsque Johnny et Barbara viennent fleurir la tombe de leur père dans un petit cimetière de campagne. Mais ils sont attaqués par un étrange vagabond et Barbara arrive à s'enfuir et se cache dans une maison où elle est bientôt rejointe par Ben, un noir lui aussi fugitif...

    Passé un début intrigant, Romero met peu à peu son récit en place et le film prend tout son sens lorsqu'ils commencent à être plusieurs dans la même maison. En plus de la dangereuse et mystérieuse menace extérieure, Romero analyse la vie en communauté et les réactions de chacun face au danger et à la peur. Il maîtrise bien son scénario et nous emmène dans divers sentiers plus ou moins attendus (dont une excellente fin). Il met en scène des personnages intéressants au caractère bien différents entre un peureux, un qui est prêt à faire face pour s'en sortir ou encore une femme totalement paralysée par ce qu'elle a vu. Le scénario est aussi intéressant par l'analyse que l'on peut faire et ses différentes interprétations comme une critique de la société américaine et des liens avec la guerre du Vietnam.

    Néanmoins, si le film est intéressant sur plus d'un point et captivant, je n'ai pas trouvé son atmosphère si angoissante, sombre et prenante que cela. Le côté frisson et horrifique ne fait pas systématiquement son effet malgré des zombies vraiment réussis, pas forcément bête et plutôt rapide, contrairement à leur "légende". Sans être transcendante, l'ambiance oppressante et claustrophobe ne se fait que présente dans la deuxième partie du récit et manque à la première.

    Malgré un manque de moyens évident, Romero s'en sort très bien, il préfère axer son film sur les protagonistes et la façon dont il vont ensemble s'en sortir plutôt que sur un côté monstre et démonstratif. Les effets/trucages sont dans l'ensemble réussi mais on peut néanmoins regretter une musique un peu trop présente. Les acteurs sont quant à eux plutôt bon et notamment Duane Jones dans le rôle de Ben.

    Si on peut regretter un léger manque d'atmosphère, "La nuit des morts-vivants" restent intéressants sur plusieurs points et captivant de bout en bout, notamment grâce à la direction prise par Romero d'axer son film sur les protagonistes et leur réaction face au danger.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 janvier 2015
    La Nuit des morts-vivants est un très bon film d'horreur réalisé par George A. Romero qui va marqué l'histoire du cinéma de ce genre.. car le film est marqué par les convictions politiques comme la ségrégation (Encore très forte aux États-Unis a cette periode) car le héros est noir (Car non seulement il doit subir, en plus des assauts de zombies, les critiques de Harry Cooper (un blanc) et sera abattu par la police (blanche) à la fin du film, ils l'on pris pour un zombie)... Mais aussi comme une métaphore de la guerre du Viêt Nam... A noter que George Romero avait écrit une nouvelle qu'il décrit comme une sorte d'allégorie inspirée par Je suis une légende de Richard Matheson, mettant en scène « une masse informe revenue d'entre les morts et poussée par un besoin irrépressible de se nourrir de la chair et du sang des vivants ».... Mais aussi parce qu'il est gore (ce qui était très rare a cette periode, malgré un cinéaste comme Herschell Gordon Lewis qui avait réalisé en 1963, Orgie sanglante (Blood Feast) le premier film gore de l'histoire du cinéma)... Une grande date dans l'histoire du cinéma a voir absolument... En attendant Zombie (Dawn of the Dead) le chef d'oeuvre du genre.
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