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Un visiteur
5,0
Publiée le 4 février 2007
Ce film est pour moi le meilleur de la série de Romero. L'effet du noir et blanc nous mets facilement et rapidement dans l'ambiance très sinique et macabre du film. NOTLD est pour moi le plus terrifiant et réaliste de tous. C'est vrai que dawn of the dead par exemple, est beaucoupe plus gore. Mais, night of the living dead n'a besoin de beaucoup de gore pour son histoire qui tient debout du début à la fin(malgré certaines scenes assez gore).
Remarquable film de George Romero. Le premier du réalisateur et peut etre le meilleur! L'histoire d'une poignée de personne tentant de survivre et se réfugianr dans une maison est excellente. Certaines scènes on fait fureur à l'époque, on voit pire maintenant, mais il faut dire que la réalisation est très efficace. La fin est d'une ironie foudroyanre!
Ne vous arrêtez pas au titre racoleur et ridicule pour certains de ce film, valant bien plus qu'il n'y paraît au premier abord. Tourné en 1968 avec une pellicule 16 millimètres, "Night Of The Living-Dead" jouit d'un style et d'une réputation d'amateur flippant. Je reste assez réservé sur ce point, l'inquiétude étant déjà un grand mot pour des séquences se voulant paroxystiques. Cependant, force est de reconnaître la maîtrise de Romero pour tenir un scénario finalement basique une heure trente durant, faisant monter ou redescendre le suspense et la tension à sa guise. Cela démarre assez fort avec une ouverture qui restera dans les annales du genre, mise en musique aisément et bien montée, bénéficiant de cadrages hésitants donnant une réelle efficacité au film, notamment dans son ambiance et ce qu'il est censé dégager : la peur. On se dirige vers un "survival" somme toute assez commun avant que le cinéaste ne nous prenne à contre-pied, lâchant presque entièrement le style horrifique pour se permettre une peinture sociale au vitriol, traduisant très bien les faiblesses d'un monde trop vite destabilisé par des menaces inconnues. Je ne vais pas parler de métaphore car cela saute aux yeux, mais on va dire que l'oeuvre se rapporte assez bien aux conflits de l'époque ainsi que de la paranoïa générée par ces derniers. La lâcheté, la traîtrise, l'individualisme, voilà ce qui selon l'auteur nous conduit à notre propre perte. La distribution est intéressante car elle permet d'éviter tous les clichés possibles. L'attribution du rôle principal à un Noir est par exemple l'une des caractéristiques de l'évolution des moeurs de la période, s'écartant de toute discrimination possible. La jeunesse était en mal d'identité et voulait changer la face de notre planète : Romero en faisait visiblement partie et il expliquera tout cela avant de se lancer dans un final assuré, avec sa dose de gore et de scènes-chocs.
Sobre, beau, prenant, le premier volet de la saga des morts-vivants est à voir pour son utilisation du noir et blanc qui rend une atmosphère angoissante et intimiste au film. La nuit des morts vivants est le premier film d'épouvante (je n'aime pas le terme "horreur", il ne m'inspire rien) que j'aie vu et l'un des rares à utiliser un vrai genre cinématographique, en omettant les images sanguinolentes, gores, George A. Romero a évité les clichés type du genre d'horreur (souvent catalogué pour les films de série B ou Z) et a crée un véritable culte autour de la saga. Comme quoi, on peut très bien faire peur aux spectateurs avec un noir et blanc sublime, une mise en scène en huis-clos et dramatique, des comédiens non-professionnels et un budget inexistant. TU AS GAGNE TON PARI GEORGE :-)
La nuit des morts-vivants est non seulement un bon film d'horreur mais aussi une critique de la société américaine des années 60. Le film à une atmosphère assez angoissante grâce notemment à un sérieux travail du côté de l'image (Le Noir et Blanc et les ombres sont très biens utilisés) ce qui nous donnes vraiment l'impression (et c'est rare dans un film) de nous trouver dans cette maison isolée avec les héros.Le scénario est plutôt imaginatif: les morts reviennent à la vie des suite d'un accident nucléaire provenus dans l'espace. Et un groupe de personnes se retrouve face à ces zombies en pleine campagne et se barricadent dans une maison pour la nuit. Le film a beau être un huis-clos Romero arrive à nous faire un compte rendu des évenements et à faire monté la tension, grâce à la télé des protagonistes. Pour ce qui est de la critique sociale, les personnages sont issues de milieux sociaux différent et ses milieux s'affrontent symboliquement dans cette maison( plus que l'homme et le mort-vivant). En plus ce film dénonce les dangers du nucléaire et le racisme qu'il y avait dans la société américaine des 60's.(peut être même toujours aujourd'hui.) Les acteurs livrent une bonne prestation pour des amateurs et Romero réalise ici un mythique premier film malgré le fait qu'il est vieilli. Bref , Night Of The Living Dead est le film d'horreur des 60's à voir absolument.
Alors là wouah quelle gifle. Passée la première impression, qui je dois l'avouer n'est pas des plus fatteuses pour cette oeuvre, on se régal. Chapeau bas Monsieur Romero. Magnifiée par une réalisation exelente et une idéé originale et novatrive ( à l'époque ) la nuit des morts vivants qui est un tournant du cinéma d'horreur est devenu culte. Jouant sur un réalisme impréssionant, de superbes effets d'ombres et une musique angoissante Romero compense l'amateurisme de certains de ces acteurs. Il couvre touts les états qu'engendre la peur; paranoïa, tétanie, colère, stupidité à travers les différents protagonistes et nous envoute litéralement, tant l'impression d'être dans la maison est réelle. Conclu par une fin ironique géniallissime et un générique de fin habilemment fait ce film reste le classique du genre.
De l'horreur pure, aucun des réalisateurs actuel traitant du même sujet n'ont encore réussit à atteindre ce niveau. Bien que le film soit en noir et blanc et que les effets spéciaux ne sont pas très developpé, ce film met directement dans une ambiance glauque. Rien que la scène du début entre le frère et la soeur dans le cimetière. La fin est très bonne, pas de happy end douteux.
Ce n'est plus un film, c'est une histoire. Le premier film de la saga Romero qui a posé des règles bien définies concernant les invasions de zombies. Si vous recherchez des émotions fortes, ce n'est pas ici que vous les trouverez. Ici, il est question de survie, de stratégie et (surprise! surprise!) de développement des personnages. Elle est loin encore l'époque du CGI avec le monstre tout puissant qui surgit avec un BOUH! et le son bien haut pour s'assurer que le spectateur saute de son siège malgré lui. "Night of the Living Dead" est une innovation. Curieusement, c'est le seul film où je vois un zombie assez intelligent pour user d'outils afin de briser des portes et des fenêtres.
Night of the living dead est à prendre avec des pincettes. Le premier des classiques de Romero, il pose des bases sur les films de zombies qui vont persister longtemps. Je dois dire que ce film est le premier des quelques films de zombies que j'ai vus où on a des zombies qui font un peu plus que marcher, pardonnez l'hyperbole, à 3 cm/hr. En plus, ils sont assez intelligents pour user de pierres et de bâtons. Ce film s'adresse surtout aux cinéphiles et à ceux qui s'intéressent aux classiques qui ont marqué leur territoire cinématographique. Night of the living dead se regarde pour ses personnages pas pour son côté d'horreur, car ce facteur risque de décevoir énormément les générations actuels étant donné que ce n'est pas encore l'époque du CGI, des ados qui se font trancher la tête et du fameux BOUH avec le son vien haut pour que tu sursautes malgré toi. Romero et ses films auront leur place dans le musée des oeuvres qui ont apporté une petite révolution. Ce n'est plus un film d'horreur, mais c'est une grande source d'inspiration.
Bon film. Très moderne 1970), bon c'est vrai les maquillages sont vraiment pas au top, les armes sont en polystirène mais la realisation est franchement pas mal, visionnaire même. De plus, Romero a une nouvelle fois toute ma symapthie pour donner le premier rôle a un black, ce qui à l'époque aux Etats Unis, était loin d'être évident. C'est un grand classique, qui a révolutioner le monde du cinéma. Il faut le voir.
Autant certains films dits cultes me laissent de marbre, autant je reconnais que la réputation de celui-ci est plutot justifié. Tourné sans aucun doute avec quelques euros (même quelques centimes d'euros), il n'empêche que l'ensemble passe étonnament bien, puisuqe Romero à eu l'intelligence de justement ne pas se focaliser sur le coté grand guignolesque des zombies, mais plutot celui de l'angoisse, avec un coté huit-clos opressant bien rendue, avec des personnages tout à fait classiques, ce qui renforce le coté "réaliste" du film. De plus, quelques scènes font quasi-documentaire et c'est de nouveau une idée intéressante du film, qui est d'ailleurs assez critique d'un certain nihilisme américain. Pour un aussi petit budget, c'est tout de même assez étonnant d'avoir réussi à faire passer tant de choses (surtout que le film ne dure qu'une heure et demi.) Comme quoi, le talent n'est pas une question d'argent...
Le premier film de la célèbre trilogie des zombies de Romero est presque une réussite absolu. Ce film fait peur à certains moments et le gore bien que gentillet est présent (nottament dans la scène où la fille zombiefiée tue sa mère et mange son père). Je trouve que le fait qu'il soit en noir et blanc renforce encore plus la terreur donnant une sensation de ténèbres permanente. Mais pour moi il a un grand défaut : son âge. L'image n'est pas superbe et le son laisse à désirer (c'est là que je trouve que sa remastérisation gagne un point) et certaines autres scènes sensées être effrayantes en deviennet marrantes. Mais ce ne sont que quelques petits défauts par rapport à de grandes qualités qui font que ce film est culte. Et pour finir cela, une fin vraiment pessimiste pour les personnages qui clôture un bon film à posséder en DVD.
Romero réinvente un genre, et marquera toute une génération grâce à ce film. Les secrets du succès de « La Nuit des Morts-vivants » se tiennent essentiellement à son histoire complètement nouvelle et les maquillages surprenants et effrayants. Une tension englobe le film, produite par un décor restreint, les personnages sont recherchés (la fille est tellement agaçante quon a envie de lui donner des baffes et le père de famille égoïste appuie sur le stress, puis par-dessus le marché, un homme avec des ambitions pour survivre ne peut les satisfaire à cause des autres) et soutiennent cette tension avec dextérité, puis lhistoire très spéciale, presque jamais vue, augmente elle aussi langoisse (ce dont on a le plus peur, cest ce que lon nexplique pas, ce que lon ne comprend pas, et donc : comment savoir riposter éviter ce danger inconnu est une réponse à laquelle on ne peut répondre. C'est une situation absolument atroce). Du début à la fin, le film est une série de catastrophes complètement inattendues (aucunes possibilités de survie ne soffrent aux protagonistes : il ny a pas de solutions de sen sortir) ce qui accroît dautant plus la frayeur. Bravo également à la photographie, car réussir à instaurer la peur et l'angoisse dans un endroit sombre avec une caméra noir et blanc nest pas une tâche simple. Dans le genre, on lui préfèrera peut-être « Zombie » (toujours de Romero), un peu plus divertissant que celui-ci, mais ce qui nempêche surtout pas « La Nuit des Morts-vivants » de rester un grand classique de lhorreur.
Point de départ de la trilogie puis de la tetralogie puis de la...et là stop!!!! Donc, premier film que Romero consacre aux morts vivants, et première charge virulente contre son pays. Il met en personnage principal un acteur noir envoie une petite troupe cloitrée dans une maison face à des hordes de zombies. Premier essai, premier coup de maître.