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    La Nuit des morts-vivants
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    337 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 juin 2011
    C'est dégueulasse ! Noter aussi mal un film culte...
    Mais bon, chacun ses goûts. Je l'ai mal noté car j'ai trouver l'ambiance soporifique, je me suis ennuyé en voyant ce film, c'est mou, les dialogues n'ont aucune intensité et les survivants n'ont presque pas de personnalité... Mais j'ai tout de même mis deux belles étoiles car c'est le tout premier vrai film de zombie ou on y trouve les règles de base pour arrêter un mort-vivant... alors George A. Romero mérite le respect.
    moonboots
    moonboots

    58 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2009
    Le début est excellent, ensuite il y a des défauts, notamment dans le rythme, mais c'est un film à voir, historique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 mars 2010
    Un classique du film d'horreur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 octobre 2011
    Tres bon film de suspense et d'horreur, les acteurs sont bon, Romero réalise son tout premier film et de zombie.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 novembre 2009
    Un film culte tout simplement avec une scène d'ouverture gravée dans les mémoires et des scènes tout de méme choquantes et une fin réussie bref une réussite!!!!!!!!!!
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 726 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 août 2021
    Film clè du film d'horreur qui bouleversa les codes à jamais et qui fit frissonner plusieurs gènèrations de cinèphiles! Conçu comme une adaptation libre du roman culte ("I Am Legend") de Richard Matheson, Georges Romero s'impose à seulement 28 ans comme un grand du 7ème art! Non seulement "Night of the Living Dead" (1968) a ètè tournè en noir et blanc pour un budget dèrisoire mais en plus le cinèaste a su apporter des trouvailles ètonnantes à son histoire, à sa fin cruelle, avec finalement très peu d'effets spèciaux! Nombre d'auteurs et de rèalisateurs se revendiquent même de leur filiation envers Romero! il y manque ni le rèalisme ni l'ambiance oppressante ni le souffle de la peur! La gènèration post-68 applaudissaient dans les drive-in cette oeuvre fondatrice de Romero! En quelques minutes, le contact fut ètabli! D'un bon dans l'espace temps à un autre, c'est dix ans après "Night of the Living Dead" qu'il faut se transporter pour retrouver un Romero au sommet : "Dawn of the Dead" (1978)...
    Florian Malnoe
    Florian Malnoe

    120 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juillet 2016
    Le chef-d'oeuvre du film de morts-vivants qui a popularisé le genre aux yeux du grand public. Romero a amené avec lui son approche très jusqu'au-boutiste dans l'illustration du côté gore, le tout agrémenté d'un cinglant et édifiant parallélisme sur les vices de la nature Humaine d'époque. Car oui, la bonne idée du réalisateur c'est effectivement de choisir le cadre du huis-clos pour d'avantage s'attarder sur la notion de survie en groupe et donc précisément sur ses limites. Le film verse donc dans un penchant dramatique et psychologique qui nous épargne pratiquement toute nuance dans son introspection de l'être-Humain face à une menace grandissante et de plus en plus oppressante. Des partis-pris qui, on doit le dire, paient constamment tant le tout nous offre une atmosphère singulièrement sombre et macabre. Par ailleurs, le noir et blanc est vraiment et inconsciemment approprié car cela renforce cet aspect. Comme avec également cette lancinante et angoissante mélodie principale vraiment bien trouvée. La direction d'acteur est en plus franchement convaincante, ce qui renforce la crédibilité du métrage et de ses enjeux. Alors, dans tout ça on peut évidemment constater que le film a bien évidemment vieilli sur certains points comme sur les effets spéciaux ou bien sur cet immobilisme de mise en scène dans les plans et les cadrages, mais cela apporte finalement un certain charme désuet pas désagréable à l'ensemble. Bref, une page importante du cinéma de genre que cette nuit des macchabés.
    selenie
    selenie

    6 250 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2008
    Film surestimé mais c'est pourtant bien un must. Pas assez pour avoir ce culte à son égard mais assez pour qu'on ait grand plaisir à revoir le premier film de zombie réussi. La mise en scène est nerveuse et onne s'enuie pas 1 seconde. Les personnages sont dispatchés comme il se doit (le lâche, le dur, l'héroïne, le petit couple). Quelques bons morceaux d'angoisse bien servis même si les zombies sontr trop faibles et pas assez méchants pour convaincre complètement.
    Shékiinä .
    Shékiinä .

    52 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 octobre 2012
    Il est vraiment pas intelligent ce film. Les morts-vivants sont mal faits et ne sont pas du tout crédibles, j'y ai pas cru une seconde, en plus le film a pris un bon coup de vieux.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 069 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 janvier 2007
    De l'horreur pure, aucun des réalisateurs actuel traitant du même sujet n'ont encore réussit à atteindre ce niveau. Bien que le film soit en noir et blanc et que les effets spéciaux ne sont pas très developpé, ce film met directement dans une ambiance glauque. Rien que la scène du début entre le frère et la soeur dans le cimetière. La fin est très bonne, pas de happy end douteux.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2015
    Cette Nuit des morts-vivants laisse une impression saisissante qui va au-delà de la peur cultivée par les ficelles thématiques et stylistiques de l'épouvante ou de l'horreur. Une impression de l'ordre du malaise qui naît du champ d'interprétation qu'ouvre le film. À la différence de Massacre à la tronçonneuse (1974), autre classique du genre, simplement mais efficacement horrible et rigolard, cette nuit zombiesque, d'une pure noirceur, présente un possible sous-texte social et politique assez troublant, qui fait sa richesse. Pourtant, à en croire George A. Romero et ses complices, aucun message n'était prémédité et l'objectif se limitait à faire un bon film de genre, rentable avec peu de moyens (mission réussie, au passage, avec 114 000 dollars investis en 1968 pour une recette qui a atteint 12 millions de dollars aux États-Unis et 30 millions à travers le monde, en 2000). L'équipe du film reconnaît toutefois qu'elle était forcément imprégnée par le contexte de l'époque. Et c'est ce contexte que l'on peut voir transpirer à l'écran, inconsciemment ou métaphoriquement, via le sort réservé au héros noir du film et via la symbolique des zombies, la peur qu'ils inspirent, la chasse et l'extermination dont ils font l'objet.
    La couleur de peau de Duane Jones qui interprète le personnage principal n'avait peut-être pas d'importance particulière au moment du casting (toujours selon Romero), elle induit toutefois des tensions dans le récit, au sein de la maison assiégée, et illustre d'une certaine façon la situation des Noirs aux États-Unis en 1968 : une ombre d'inquiétude, un vague sentiment de menace se lisent dans le regard du personnage de Barbara (blanche) au moment de l'arrivée de Ben (noir) qui se sent d'abord obligé de justifier qu'il n'a pas volé la camionnette avec laquelle il est arrivé (!) et va ensuite entrer dans un rapport de force et de pouvoir avec l'un des deux hommes blancs de la cave. Son sort final, marqué par une terrible ironie tragique, rappelle par ailleurs les pires heures des crimes commis contre les Noirs aux États-Unis et peut facilement faire écho au sort tout aussi tragique de Martin Luther King, disparu le 4 avril 1968. Concernant la menace des zombies, faut-il y voir l'expression d'une peur d'invasion des communistes ou celle d'une mauvaise conscience à l'égard de "morts-vivants" vietnamiens furieusement bombardés à cette époque ? Tout est imaginable. L'idée d'associer ces zombies à l'actualité est appuyée par la forme même du film, très réaliste ou, du moins, qui entretient l'illusion d'une prise directe avec la réalité via l'insertion dans le récit de flashs d'info radio, de journaux télévisés avec intervention d'un expert scientifique et, à la fin, d'images fixes qui ressemblent à des photos de presse. Tout cela est renforcé, dans les scènes d'action, par l'utilisation d'une caméra à l'épaule, instable, aux effets quasi "documentaires". Et par un casting d'acteurs inconnus, personnages lambda auxquels il est facile de s'identifier.
    Ce premier long-métrage de Romero, qui est surtout l'oeuvre collective d'une bande de potes cinéphiles (et travaillant, pour la plupart, au sein d'une même société de production audiovisuelle), est donc un petit coup de maître qui transcende le film de genre pour l'ouvrir, même de manière plus ou moins involontaire, à une forme de critique sociopolitique. Tout n'est bien sûr pas parfait dans la réalisation (parfois maladroite), dans la narration (avec une partie centrale un peu longue et bavarde) ou dans l'accompagnement musical (envahissant au début). Mais dans ce bricolage d'amateurs doués, il y a des moments de vraie inspiration horrifique (notamment la scène de cannibalisme), des contre-plongées bien flippantes, une bonne gestion des espaces entre l'intérieur et l'extérieur (avec un intérieur qui, de refuge, devient maison de l'horreur) et un superbe noir et blanc. On notera enfin, sur le fond, l'audace d'une histoire bien cruelle à l'égard des "gentils" et dévoyant l'image angélique de l'enfance au cours d'une séquence souterraine assez monstrueuse.
    Rapidement devenu film culte, puis classique de son genre, ce film de zombies a initié une mode durable dans la production de films d'horreur, une mode que Romero a continué lui-même à alimenter avec différents ersatz, participant aussi à sa façon au Nouvel Hollywood.
    Vivien19
    Vivien19

    63 abonnés 443 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mai 2012
    George A. Romero fonde au début des années 1960 une petite société de production sans grand avenir. Voulant surfer sur la mode du « sexe, violence, horreur » naissant de l'époque, il choisit, en s'inspirant du roman de Matheson Je suis une légende, de mettre en scène des morts-vivants. Tourné avec un budget quasiment inexistant, La Nuit des Morts-Vivants deviendra l'un des films les plus rentables de l'histoire. Film amateur devenu film mythique, succès commercial indéniable et source d'inspiration infinie, le film de Romero a traversé l'histoire et est encore aujourd'hui l'une des références du genre. Là où on voit toute la portée sociale du propos, c'est bien dans la présence d'un noir-américain en personnage principal, dans l'Amérique de la ségrégation raciale de l'époque, en pleine montée des Civil Rights Movements.
    Si on peine à ne pas voir le manque de budget par certains moments, il faut dire que La Nuit des Morts Vivants (Night of the Living Dead en anglais) est véritablement un film marquant, et surement l'un des films d'épouvante les plus aboutis du XXè siècle : des personnages forts et marquants, des acteurs excellents, une montée en puissance tout le long et un final mythique. On oserait presque dire que le film n'a pas pris une ride. L'image la plus marquante du tout restera le cadavre ambulant de la jeune fille, avec un regard qui marque à jamais.

    Alors il est clair qu'un spectateur lambda actuel, fan absolu de 28 semaines plus tard et de Zombieland, considérant que le zombie comme un être ayant toujours existé dans l'inconscient public, trouvera que La Nuit des Morts Vivants n'est rien de plus qu'un vieux film d'horreur mal fait pour vieux : mais là n'est pas la profondeur du propos, car le film de Romero est bien plus futé qu'il n'y parait, notamment dans sa critique de la société américaine des années 60 (et le message de Romero n'a pas tant vieilli que ça), avec notamment un traitement du racisme. Car en y réfléchissant bien, La Nuit des Morts Vivants est peut-être l'un des premiers films, voir le premier film américain avec un noir dans le rôle principal. Sans oublier bien sur le développement des relations entre personnages et des réactions de ceux ci, d'un réalisme rarement vu dans le cinéma d'horreur. Bref, d'une certaine façon, La Nuit des Morts Vivants fait parti des ces intouchables du cinéma, indétrônable dans son statut de référence et de chef d'oeuvre absolu.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    155 abonnés 974 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2022
    Avec ce film, George A. Romero invente la figure du zombie toujours actuelle (les morts vivants étaient déjà présent au cinéma dans les 30s). Avec des moyens ridicules et des acteurs presque amateurs, La nuit des morts-vivants est tou de même plaisant à regarder. Les dialogues font artificiels et un peu trop bavard mais les personnages sont assez bien écris et variés. Le discours politico-social sous-jacent, incarné principalement par Ben, révèle la profondeur d'un récit qui ne peut être réduit à un simple divertissement horrifique. Le film se veut assez réaliste, notamment dans les origines des zombies. La tension est surtout concentrée dans le dernier 1/4 d'h, vraiment réussi selon moi.

    Un premier film invitant à se plonger dans l'œuvre de Romero, réalisateur ayant basé la majorité de sa carrière sur ses morts-vivants.
    Top of the World
    Top of the World

    67 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 janvier 2015
    Une poignée d'humains réfugiés dans une maison, des zombies qui rôdent aux alentours, et les autorités qui cherchent des explications à ce soudain réveil des morts: ce classique de George A. Romero établit les bases du genre avec une imparable efficacité. Le tour de force du film réside dans la capacité de Romero à donner une ampleur politique et sociale stupéfiante à un modeste récit fantastique. Les séquences où interviennent les médias sont particulièrement fortes (la longue scène où des journalistes tentent d'obtenir des informations d'un militaire et de deux scientifiques est sidérante) en ce qu'elles créent une proximité brûlante avec l'actualité de l'époque. Le réalisme tout entier du film s'avère saisissant, de la sobriété de la mise en scène à la caractérisation percutante des personnages en passant par le subtil maquillage des morts-vivants. Et pour ne rien gâcher, le film, grâce à son rythme haletant, parvient à gagner en intensité au fil des minutes, jusqu'à un final d'une ironie et d'une cruauté inoubliables.
    Shephard69
    Shephard69

    334 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 juillet 2014
    Pourtant techniquement mauvais avec ses cadrages maladroits, sa mise en scène mal rythmée et son interprétation d'un niveau amateur, un film d'horreur culte qui pose à la perfection les jalons d'un genre bien particulier : les zombies. A l'instar de "Nosferatu, le vampire" ou "Amityville, la maison du diable" de Stuart Rosenberg, un long-métrage à la tension constante, un huis-clos étouffant qui marque les esprits. Puissant, anthologique.
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