LE film que l'on ressort au moins une fois par an.... Des acteurs EXTRAORDINAIRES : que dire de Terence Stamp, Hugo Weaving et Guy Pearce. Des moments hilarants, inoubliables, les répliques de Bernadette (ne l'appelez pas "Ralph..."), les instants de poésie dans le désert australien en cie des aborigènes, les collections insolites de Felicia (grand amateur du groupe Abba...), en résumé un film culte.
Second long-métrage pour Stephan Elliott qui retrouve pour l’occasion l’acteur Hugo Weaving, après l’avoir dirigé dans Frauds (1993). Priscilla, folle du désert (1995) est un étonnant road-movie qui relate les aventures de deux drag-queens (travestis) et d’un transsexuel traversant l'Australie à bord d’un bus. La première chose qui nous surprend ici, c’est de constater que les trois premiers rôles ont été confié à des acteurs qui durant toute leur carrière n’auront eu que des rôles d’hommes virils, de brutes ou de salauds. De Terence Stamp à Hugo Weaving (la trilogie Matrix - 1999/2003) en passant Guy Pearce (qui démarrait tout juste sa carrière d’acteur), on ne cessera durant tout le film d’être surpris de retrouver ces acteurs grimer en femmes (tout en chantant, dansant, voir se trémoussant). Quant au film en lui-même, il est loin de toutes les caricatures qu’ont pu nous abreuver les films traitant de l’homosexualité ou de la transsexualité. Loin de tout cliché, on se prend au jeu et on apprécie ce voyage dépaysant se déroulant en plein cœur de l'Outback australien.
Voir Hugo Weaving et Guy Pearce au générique m'a surpris ; comme beaucoup je pense. Le film est drôle, gai et sans à priori (on sait à quoi s'attendre); il fait aussi parfois référence à Abba. Il y a des scènes inoubliables et des répliques qui font mouche. Le trio d'acteurs est incroyable, méconnaissable . Un road movie vraiment vraiment spécial qui peut dérouter ; faut être tolérant et ouvert à ce genre de personnages hauts en couleur sinon c'est mort.
Un très bon film que je vient de voir , il est très cliché et en même temps pas du tout c'est très sympas comme style . J' était a 1000 lieues de me douter de ce que j’allais voir . Mais une fois le dvd en route c'est une crise de rire du début a la fin , et les acteurs ... waaaaaa !!!! Bref un grand classique a voir absolument . Seul petit bémol le titre australien est "The Adventures Of Priscilla, Queen of the Desert" alors que la traduction en france est "Priscilla, folle du désert" Pourquoi folle ? pourquoi pas renne du désert ? enfin c'est la seule petite ombre sur ce film .
Alternant des moment drôles avec des passages plus dramatiques, "Priscilla..." est un hymne à la tolérance qui nous fait passer par toutes les émotions. Les acteurs, sur qui repose tout le film, sont absolument géniaux, et l'intensité n'est pas absente. Un film à conseiller.
Un road movie épique qui ne laisse pas indifférent de part le message de tolérance qu'il essaye de véhiculer. Des acteurs incroyables qui jouent leur rôle à la perfection, des situations cocasses et vraiment très drôle. Bref un de mes films fétiches qui même au bout de 16 ans est toujours un réel plaisir à voir.
Ce road movie australien est un petit bijou d'humour portée par 3 acteurs grimés en drag queen qui s'avèrent absolument géniaux, surtout que ces rôles sont surprenants pour 3 acteurs (Hugo Weaing, Guy Pearce et Terence Stamp) plutôt habitués à des rôles plus musclés.
Road Movie culte auquel je n'ai trouvé aucun intérêt. Il verse un peu dans la comédie et un peu dans un ton plus sérieux de façon à ce qu'on arrive à rentrer dans aucun des deux styles. Par conséquent je n'ai pas ri une seule fois et la cause de ces bons hommes à vouloir vivre femmes ne m'a pas du tout toucher. J'aurais pu trouver le film sympa, mais même pas. Leur histoire m'a ennuyé, puisque rien n'est vraiment bien traité. Le mec a une femme, on s'en fou, le mec a un gosse, idem on s'en fou. Ça finit à la "va vite" avec une petite chanson de ABBA et fin. En plus j'ai jamais aimé ABBA et le musique disco en général mais vu que le film ne tourne qu'autour de ça, ça a rendu le visionnage encore plus chiant. Je mets quand même deux étoiles pour le jeu des acteurs et pour leur prestation en plein désert, ça doit pas être facile de tourner dans la poussière autralienne avec des talons aiguilles.
J'ai pas accroché, le film de Stephan Elliott est trop facile. On évite aucun des clichés sur les homosexuels/transsexuels, tout y est : le rose, le bonbon, les paillettes, les discours très sexuels, l'humour particulier. Difficile d'accrocher à cela. Se présentant comme un road movie, Priscilla tourne vite en rond, en raison d'un manque flagrant de scénario qui plus est, est ultra kitsch. Le trio d'acteur n'aide pas vraiment à rendre le film plaisant. Mais ce qui le sauve de la noyade, ce sont les 2/3 gags drôles et bien trouvés. Heureusement qu'ils sont là, sinon c'est le néant.