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CarpeDyem
15 abonnés
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4,5
Publiée le 26 mars 2015
"Billy Elliot" est une oeuvre importante du cinéma britannique puisqu'elle a permis l'éclosion de deux talents : Jamie Bell devant la caméra et Stephen Daldry à la réalisation. Ce dernier nous emmène au milieu des années 1980 à Durham, ville minière du Nord-Est de l'Angleterre où la famille du petit Billy se bat pour ses droits, pour préserver son travail contre la politique drastique du gouvernement Thatcher qui prévoit de fermer progressivement les mines de charbon du pays. Initialement destiné à être boxeur, c'est tout naturellement, mais contre l'avis de son père, que Billy va se tourner vers la danse pour laquelle il a un don. Le point fort du film est d'appuyer ce contraste entre d'un côté des personnes qui se battent pour vivre et de l'autre un petit garçon qui ne demande qu'à vivre sa passion. L'histoire est très touchante et servie par un jeu d'acteurs brillant, notamment Gary Lewis qui campe le père de Billy, tiraillé entre ses convictions et l'amour et l'espoir qu'il porte pour son fils. Poignant !
Fascinant. C'est une très belle œuvre. Un joli plaidoyer sur les convenances et les clichés. Le père qui est ému de voir son fils danser c'est superbe, le copain émerveillé par son talent et admiratif. Un très bon film avec des personnages très humains
Ce film est une véritable cure de jouvence survitaminée pleine de générosité et d'émotion, sous fond de climat social rude chez les mineurs anglais, Stephen Daldry offre une belle leçon sociale en musique. Même si parfois c'est un poil mielleux, on ne résiste pas à quelques pas de danse avec ce talentueux Billy Elliot.
C’est un film grand public, et un brin mélo. Il y a aussi un petit côté conte de fées avec son happy end prévisible. Mais « Billy Elliot » n’est ni « Dirty dancing » ni « Flashdance . S.Daldry évite le gnangnan et arrive à faire un film sympathique, avec pleins de bons moments. Les acteurs sont bien (surtout Gary Lewis qui joue le père). Un bon divertissement.
Ce film est culte pour-moi! Ce n'est peux-être pas le plus connue, mais! On aurait dit pratiquement la vraie vie d'un danseur! C'est un peu triste à la fin, mais je le recommande!
Là où l'Amérique en aurait fait des tonnes à grands renforts de kleenex, la perfide Albion s'attache à se défaire de ce pathos superflu pour retranscrire sans fausse pudeur les combats personnels que mènent les personnage pour préserver leur droit à (sur)vivre librement. La prestation de J. Bell est majuscule.
Premiers instant du premier film de Stephen Daldry. Le nom "BBC" s’affiche sur un air de T-Rex. Voilà qui est prometteur déjà. Mon amour envers les films anglais ne se trouvera pas entaché par la vision de ce « Billy Elliot ». Porté par une mise en scène élégante, « Billy Elliot » est une belle œuvre traitant surtout de la famille et de la différence. Billy, jeune anglais, est un garçon qui est différent des autres, un garçon qui a en lui la fibre artistique. Dans un monde où le mâle se doit d’être viril et fort pour travailler à la mine comme papa, l’envie de Billy de rejoindre un ballet de n’est pas acceptée. De belles scènes apportent une illustration saisissante du contraste opposant le jeune garçon à sa famille. La violence du père lors de ses manifestations contre la douceur qui émane du jeune garçon lorsqu’il danse. Il s’agit surtout d’assumer ses passions, et de les défendre coûte que coûte. Billy, c’est un Jamie Bell adorable et terriblement doué pour son âge. À seulement quatorze ans, le gamin donne l’impression d’avoir déjà eu de nombreuses expériences cinématographiques. Pourtant, Billy Elliot est son tout premier rôle. L’une des grandes forces de « Billy Elliot » est que son intrigue ne se focalise pas seulement sur la danse classique. Ne se contentant pas de présenter simplement le destin de Billy, le film se place dans un contexte social appréciable. Les conditions de travail des mineurs donnent lieu à une grève majeure impactant la famille de Billy, et donc la possibilité pour le jeune garçon de se vouer à son art. C’est émouvant sans jamais tomber dans le pathos ou le tire-larme gratuit. Les émotions arrivent subtilement, n’en sont donc que plus appréciables. On est heureux, on vit et on pleure pour ce jeune héros, et pour sa famille aussi. La bande-son du film est détonante et vacille habillement entre rock british et musique classique. T-Rex et les Clash se doivent de cohabiter avec le grand Tchaïkovsky et son "Lac des cygnes". Étonnamment, cela fonctionne. Et très bien même, n’accentuant que plus la dualité de l’existence de Billy, partagé entre ses cours de boxe et sa leçon de danse. Une très belle œuvre. Mais est-ce vraiment une surprise venant d’un film britannique ?
Billy Eliott est le premier film de Stephen Daldry et de Jamie Bell et pour les deux, le premier chef d'œuvre d'une longue liste. Premièrement le scénario est génial, le fond de grève des mineurs est très bien représenté et ne prend pas le dessus sur le reste de l'histoire. Le film commence bien, le contexte y est rapidement établi et on s'attache rapidement au personnage de Billy, formidablement bien interprété par Jamie Bell qui transmet de grandes émotions. La bande originale est également très bonne. Du début à la fin, le film est très émouvant.
Billy Elliot : Un drame social juste et crédible ou l’espoir et croire en ses rêves sont les deux fils conducteurs. Ce film est loin des grosses productions malgré son casting solide (Jamie Bell : Tintin, Gary Lewis, Julie Walters : Harry Potter). Car, il fait très « film d’auteur » et c’est ce qui donne ce coté simple et poignant du film. Car, il y a certains film qui en fond de trop mais pas la. Ensuite, le scénario a beau être simple mais il se suit très bien car on est avec les personnages puisqu’ ils sont bien développés et ça c’est très importants car cela permet l’attachement et le partager de leurs émotions. La, on suit un garçon de 11 ans qui se voit découvrir un plaisir de faire de la danse plutôt que de la boxe. Et il va trouver en lui un vrai talent et il va être soutenu par la professeure mais pas par tout le monde : son père, son frère… Donc, il va persévérer et devoir s’attaché et cela tout en gardant les problèmes du a la situation familiale… On peut dire que le scénario est accrocheur malgré qu’il est un peu long a ce mettre en place, il trouve son souffle qu’a partir d’une bonne demi-heure. Coté réalisation, c’est comme un film d’auteur, c’est sobre, bien filmé et cadré. De plus, la bo est vraiment excellente, on a le droit a des chansons souvent connus. Et pour finir, un des gros points positifs du film sont ses acteurs qui sont d’une justesse impeccable. Donc voila, un film que je vous recommande.
Dans un petit village minier du Nord-Est de l'Angleterre, Billy, onze ans, découvre avec stupeur qu'un cours de danse partage désormais les mêmes locaux que son club de boxe. D'abord effaré, il devient peu à peu fasciné par la magie de la gestuelle du ballet, activité pourtant trop peu virile au regard de son père et de son frère Tony, mineurs en grève.
Billy abandonne les gants de cuir pour assister discrètement aux leçons de danse professées par Mme Wilkinson. Repérant immédiatement un talent potentiel, elle retrouve une nouvelle énergie devant les espoirs que constitue Billy
Les frustrations larvées explosent au grand jour quand son père et son frère découvrent que Billy a dépensé l'argent consacré au cours de boxe pour des cours de danse.
Partagé entre une famille en situation de crise et un professeur de ballet têtu, le jeune garçon embarque alors dans un voyage à la découverte de lui-même.
Le réalisateur s'est appliqué à retranscrire les émotions des personnages, notamment l'angoisse de l'enfant, la détresse des parents mais aussi l'amour d'une famille malgré les apparences. Le thème principale de la danse, portant pas censé attirer les foules, est mis en valeur par le jeu des acteurs, et donne une lueur d'espoir dans cet avenir si sombre et en apparence irrémédiable.
Un film pour tous les âges, à voir et à revoir, sublimé par une bande son du tonnerre et les qualités de danseur indéniables de Jamie Bell (Billy Elliot).
Un très bon film interprété avec brio par le jeune Jamie Bell. Le scénario est original, très bien écrit, et montre une page de l'histoire de la Grande-Bretagne à travers les grèves de mineurs. Julie Walters est étonnante en prof de danse. La musique est rythmée, accrochant parfaitement au film. Le petit boxeur deviendra grand danceur !
Je ne suis pas fan des comédies dramatiques. Mais cet enfant qui refuse de travailler à la mine, comme son père et son frère tous les deux mineurs, a retenu mon attention. Si son père le destine à la boxe ; le jeune garçon bouscule les préjugés en s’orientant secrètement vers une activité qui lui plaît vraiment : la danse. Dans cette ville minière typique du Nord de l’Angleterre avec ses maisons en briques toutes identiques au milieu d'une région économiquement sinistrée ; pratiquer la danse comme les filles n’est pas chose aisée. Au prix de certains sacrifices (rupture avec sa famille), notre jeune héros ira au bout de son rêve en ralliant même son père à sa cause. Voilà une (trop) belle histoire emmenée par le jeune Jamie Bell très convaincant. Même si le réalisateur flirte parfois avec le pathos et un certain angélisme.