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Entre l'imagerie d'un cinéma indépendant américain récent, oscillant entre "Garden State" et "(500) jours ensemble", et une construction qui s'empare de la ville avec intelligence, "Medianeras" signale idéalement le talent d'un jeune réalisateur et le côté foisonnant et fortement générationnel de sa première oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Un premier long-métrage et une très bonne surprise. Drôle, rythmé, intelligent. Sans céder au montage épileptique, Gustavo Taretto use de toutes les formes, de la photo au dessin animé, pour nourrir son propos. Et le résultat est aussi riche que ludique.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Malgré des coutures visuelles et narratives parfois trop voyantes, le charisme, l'inventivité et, on ne se refait pas, la gravité sous-jacente du spectacle produisent leur petit effet.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Joliment écrit, "Medianeras" impose une voix mélancolique et pleine d'une drôlerie décalée. Il jette aussi un regard acerbe sur une société où la technologie a échoué à rapprocher les humains.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
En plans nettement découpés qui soulignent la brutalité de l'architecture et de l'urbanisme, commentés par une voix-off qui respire le contentement d'avoir rassemblé toutes ces idées sur le mal de vivre du XXIe siècle, "Medianeras" termine sur une conclusion prévisible qui le fait accéder à la catégorie comique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cette comédie sentimentale architecturale possède un charme particulier empreint d'une certaine mélancolie. Les personnages sont attachants, les images soignées et l'humour affleure sans cesse.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Gustavo Taretto vient de la pub, il sait truffer ses images de symboles picturaux et pointe, à coups d'idées visuelles malicieuses, les défauts et les atouts de Buenos Aires. Mais bizarrement, il se sent obligé d'ajouter un texte explicatif et banal (...) Dommage : cela empêche le charme de cette fable urbaine d'opérer totalement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
On sent bien l'ambition à demi avouée du réalisateur de faire avec "Médianeras" un "Manhattan" argentin, mais ni le scénario ni la mise en scène ne creusent véritablement le postulat.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Représentatif de ce courant de la comédie douce-amère argentine qui s'épanche sur les problèmes existentiels de la classe moyenne trentenaire, le film fait part d'une tentative de lucidité qui peut séduire au début (...) avant de s'écrouler très vite pour se bercer des sempiternelles illusions doucereuses.
En découle le sentiment que l'univers extrêmement graphique du réalisateur (...) ne recouvre pas tant un syncrétisme fantaisiste que la transformation de tout propos véritable en mascarade formelle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
Entre l'imagerie d'un cinéma indépendant américain récent, oscillant entre "Garden State" et "(500) jours ensemble", et une construction qui s'empare de la ville avec intelligence, "Medianeras" signale idéalement le talent d'un jeune réalisateur et le côté foisonnant et fortement générationnel de sa première oeuvre.
L'Express
Un premier long-métrage et une très bonne surprise. Drôle, rythmé, intelligent. Sans céder au montage épileptique, Gustavo Taretto use de toutes les formes, de la photo au dessin animé, pour nourrir son propos. Et le résultat est aussi riche que ludique.
TéléCinéObs
Malgré des coutures visuelles et narratives parfois trop voyantes, le charisme, l'inventivité et, on ne se refait pas, la gravité sous-jacente du spectacle produisent leur petit effet.
L'Humanité
C'est croquignolet, ça ne mange pas de pain et c'est d'un ludisme extrême.
La Croix
Joliment écrit, "Medianeras" impose une voix mélancolique et pleine d'une drôlerie décalée. Il jette aussi un regard acerbe sur une société où la technologie a échoué à rapprocher les humains.
Le Figaroscope
Une comédie romantique un peu longue à prendre forme, mais pleine de moments originaux et charmants.
Le Monde
En plans nettement découpés qui soulignent la brutalité de l'architecture et de l'urbanisme, commentés par une voix-off qui respire le contentement d'avoir rassemblé toutes ces idées sur le mal de vivre du XXIe siècle, "Medianeras" termine sur une conclusion prévisible qui le fait accéder à la catégorie comique.
Paris Match
Cette comédie sentimentale architecturale possède un charme particulier empreint d'une certaine mélancolie. Les personnages sont attachants, les images soignées et l'humour affleure sans cesse.
Télérama
Gustavo Taretto vient de la pub, il sait truffer ses images de symboles picturaux et pointe, à coups d'idées visuelles malicieuses, les défauts et les atouts de Buenos Aires. Mais bizarrement, il se sent obligé d'ajouter un texte explicatif et banal (...) Dommage : cela empêche le charme de cette fable urbaine d'opérer totalement.
Brazil
On sent bien l'ambition à demi avouée du réalisateur de faire avec "Médianeras" un "Manhattan" argentin, mais ni le scénario ni la mise en scène ne creusent véritablement le postulat.
Cahiers du Cinéma
Représentatif de ce courant de la comédie douce-amère argentine qui s'épanche sur les problèmes existentiels de la classe moyenne trentenaire, le film fait part d'une tentative de lucidité qui peut séduire au début (...) avant de s'écrouler très vite pour se bercer des sempiternelles illusions doucereuses.
Critikat.com
En découle le sentiment que l'univers extrêmement graphique du réalisateur (...) ne recouvre pas tant un syncrétisme fantaisiste que la transformation de tout propos véritable en mascarade formelle.
Première
Le film reste à la surface de son sujet comme de ses personnages, avec lesquels on a du mal à sympathiser.