AlloCiné
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Votre avis sur La Clef ?
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ned123
J'ai vu un film... pas jusqu'au bout. en fait, j'ai hésité longtemps entre fermé les yeux et imaginer ce qui se passait à l'écran, et et fermer le yeux... Je crois avoir été bercé par le jeu des comédiens, mais finalement endormi par la lenteur des situations... Parfois la curiosité m'a fait ouvrir un oeil, mais jamais plus... Il est quand même incroyable qu'un film qui réunit autant de talents (dont je suis fan, pour la plupart) ne réussissent pas à attirer mon attention... C'est dommage...
Film en forme de puzzle, assez ennuyeux et déroutant en premiere demie-heure, puis le film prend tout doucement une allure de thriller ou les histoires se regroupent et arrivent à nous captiver. La mise en scène me semble trop lente mais notre attention nous maintient en haleine gràce aux acteurs tous impeccable. Du cinéma contemporain intéressant et pas complètement inaccessible.
Bon film dans l'ensemble. Au niveau des acteurs : rien à signaler c'est à dire bon jeu d'acteur voire très bon ! (surtout Guillaume Canet bien sûr et Marie Gillain). Le parti pris de mise en scène parait astucieux à première vue mais il se révèle d'autant plus compliqué à l'arrivée... Le spectateur se perd dans l'effet "passé/présent". De plus certain détails sont à noter comme par exemple certaines différences entre deux plans de scène identiques. Pour ce qui est de la musique, je dois être honnête : je ne m'en rappelle plus. Ce qui veut dire à quel point ça m'a marqué... Enfin le personnage que joue Thierry Lermite (qu'il joue trés bien) ne m'a paru essentiel à l'histoire... Je ne vois pas vraiment en quoi il aide à avancer dans l'histoire - à part à faire quelques liens de temps à autres- mais sans plus ...
Dernière étape de la trilogie policière de Guillaume Nicloux, et fin des mésaventures macabres de ses héros précédents, le privé Manieri (Lhermitte) et la femme flic Varin (Balasko), rejoint pour l'occasion par Guillaume Canet dans le rôle d'un trentenaire issu de la DASS. Un prétexte pour le plonger dans une histoire rocambolesque à laquelle on a bien du mal à croire ou à s'identifier, tant ce personnage est antipathique et mutique, multipliant les mauvaises décisions de façon inexplicable.
spoiler: Il semblerait que la grande idée de Nicloux ait été de rester flou sur les 2 espaces temps, tentant ainsi de twister le spectateur lors de la scène finale à l'hôpital ; je n'ose y croire tant c'est évident dès le départ...
Le constat implacable, c'est que cette trilogie aura suivi une trajectoire déclinante, depuis le très réussi "Une affaire privée", le médiocre "Cette femme-là", jusqu'au fumeux "La clef". Quelle déception!
spoiler: Il semblerait que la grande idée de Nicloux ait été de rester flou sur les 2 espaces temps, tentant ainsi de twister le spectateur lors de la scène finale à l'hôpital ; je n'ose y croire tant c'est évident dès le départ...
Le constat implacable, c'est que cette trilogie aura suivi une trajectoire déclinante, depuis le très réussi "Une affaire privée", le médiocre "Cette femme-là", jusqu'au fumeux "La clef". Quelle déception!
Well, que dire...
Je dois revoir ce film, car très fatiguée lors de son visionnage premier, je n'étais guère en état de toutes les façons d'apprécier quoique ce soit...
Mon impression fut: "très intimiste", tous ces visages (heureusement agréablement ou moins joliment...,connus pour certains )filmés en gros plan, pousseraient à s'interesser à leur psychologie, leur état d'esprit :GLAUQUE pour beaucoup selon ma perception malgré les sourires ...
Histoire étrange de ce jeune homme de la D.A.S.S., dont le passé vient faire irruption dans une vie affective un peu difficile à mener à son terme...
Beaucoup de mélanges entre passé et présent, ne rendent guère aisé la compréhension d'une intrigue complexe et sombre à souhait !
Les vieux dinausores BALASKO, LHERMITTE, et ROCHEFORT, ont ici pris un gros coup de vieux, et en paraissent fort inquiétants (surtout ROCHEFORT) et son regard vitreux, qui s'introduit dans la vie de CANET, sans crier gare, pour lui transmettre les cendres de son défunt et inconnu père...
PARADIS est pour ma part de retour, et son rôle de fille perdu faisant pendant à celui de GILLAIN, femme officielle et néanmoins malheureuse donc hypersensible, sans empathie pour les nouveaux déboires de son mari, est... relativement convainquant §§§
A revoir un peu plus réveillée afin de bien saisir la portée philosophique voire métaphysique, que l'accroche du film, ne peut manquer, c'est à espérer, d'évoquer §§§
Je dois revoir ce film, car très fatiguée lors de son visionnage premier, je n'étais guère en état de toutes les façons d'apprécier quoique ce soit...
Mon impression fut: "très intimiste", tous ces visages (heureusement agréablement ou moins joliment...,connus pour certains )filmés en gros plan, pousseraient à s'interesser à leur psychologie, leur état d'esprit :GLAUQUE pour beaucoup selon ma perception malgré les sourires ...
Histoire étrange de ce jeune homme de la D.A.S.S., dont le passé vient faire irruption dans une vie affective un peu difficile à mener à son terme...
Beaucoup de mélanges entre passé et présent, ne rendent guère aisé la compréhension d'une intrigue complexe et sombre à souhait !
Les vieux dinausores BALASKO, LHERMITTE, et ROCHEFORT, ont ici pris un gros coup de vieux, et en paraissent fort inquiétants (surtout ROCHEFORT) et son regard vitreux, qui s'introduit dans la vie de CANET, sans crier gare, pour lui transmettre les cendres de son défunt et inconnu père...
PARADIS est pour ma part de retour, et son rôle de fille perdu faisant pendant à celui de GILLAIN, femme officielle et néanmoins malheureuse donc hypersensible, sans empathie pour les nouveaux déboires de son mari, est... relativement convainquant §§§
A revoir un peu plus réveillée afin de bien saisir la portée philosophique voire métaphysique, que l'accroche du film, ne peut manquer, c'est à espérer, d'évoquer §§§
Une réalisation que je trouve est globalement assez bâclé, ce qui m'a empêché de savourer un scénario certes un peu complexe mais d'autant plus prometteur.
aie!...moi qui croyait voir un bon thriller (surtout qu'il y a le très sympathique Guillaume Canet), cette fin de trilogie m'as beaucoup déçus car pour ce que l'on découvre a la fin n'est qu'un ramassis de clichés vu 1000 fois dans d'autres films...très décevant!
reste la prestation de Guillaume Canet et Jean Rochefort
reste la prestation de Guillaume Canet et Jean Rochefort
Un assez bon film de genre policier... Les acteurs ne sont pas mals, mais le film manque d'action, le scénario n'est pas génial, et on se demande pendant un long moment quel est le lien entre tous ces personnages qui s'entre-tuent et se mentent...On a vu mieux!
Suite des sombres "Une affaire privée" et "Cette femme-là", "La clef" est un thriller noir et poisseux où chaque personnage prend forme au fur et à mesure que le scénario relie les péripéties. En reprenant les personnages principaux des deux premiers épisodes de sa trilogie, dont "La clef" est censé être le final, Nicloux tisse une triple enquête dans le monde de la drogue. Eric Vincent, dont le père n'est qu'un inconnu, tout au mieux un vague mystère depuis sa disparition, voit son paternel réapparaître en cendres, et soudain à ses trousses une horde de tueurs dont on se demande ce qu'ils veulent. Michèle Varin (le personnage meurtri de "Cette femme-là"), enquêteuse au coeur broyé, cherche à élucider le meurtre d'un homme aparemment lié à la drogue. Et enfin, François Manéri (le personnage d' "Une affaire privée"), détéctive privé à la recherche de sa fille. Et, à travers tous ces destins qui se relient, se dessinent les personnages secondaires (Marie Gillain, Jean Rochefort, Vanessa Paradis, etc...). Et le brio scénaristique de Nicloux impressionne : si le début peut gravement perturber quant au sens de l'intrigue, le film se met en place peu à peu dans un montage sec et nerveux, développant chacun des personnages en nous expliquant qui sont-ils, quel rapport entretiennent-ils entre eux, bref, qui est qui. Pas besoin, donc, d'avoir vu les deux précédents épisodes de la saga policière de Nicloux pour saisir. Mais, hormis la capacité de retour entre chaque personnage que le metteur en scène parvient à transmettre sans fioritures, il y a du fort dans ce cinéma-là : le découpage brut, les alternances clairs/obscurs, la densité et la virtuosité qui s'installe dans le scénario, la partition saisissante des comédiens (Canet, Lhermitte et Paradis en pôle position), et les gammes d'ambiances. On ne pourra pas dire que la mise en scène soit novatrice en elle-même, mais elle remplit son quota d'effets traditionnels pour un suspense garanti, et surtout, créée une atmosphère d
quelle mouche m'a piqué de vouloir voir un film français ... 2h d'attente ou le meilleur moment fut surement celui de la découverte de la passion du "méchant" pour le saucisson d'âne ...
encore maintenant je me demande quel était le rôle de la police dans ce film ...
encore maintenant je me demande quel était le rôle de la police dans ce film ...
La clef est un film dont les deux principales caractéristiques sont la froideur et la sobriété. La première étant loin d'être une qualité. L'intrigue est plutôt originale, et toute l'histoire, malgré parfois certaines brouilles, est plutôt bien ficelée. Les acteurs sont plus ou moins bons (le mieux Josiane Balasko, toute en retenue), avec, heureusement ici, un happy end, bien mérité.
Déjà, juste le casting fait plaisir. Ensuite, un scénario que je n'ai encore jamais rencontré jusque là ! Mauvais point : troublante ressemblance avec Ne le dis à personne bien que...
Pas mal. Un peu long à démarrer, un peu déconcertant au départ. On ne comprend pas tout tout de suite mais peu à peu le mystère s'éclaircit et l'histoire est bien ficelée, bien menée. La fin aurait néanmoins besoin d'être un peu plus développée. La musique n'est pas toujours justifiée, les transitions sont un peu brutales. Par contre, le jeu des acteurs est excellent, l'ambiance bien restituée par l'image et le son. Dans l'ensemble, un bon film, malgré quelques maladresses.
Sourire... c'est une critique un peu spéciale car ce film je l'ai vue dans une salle avec pour seuls autres spectateurs un jeune couple venu pour toute autre chose que le film (je ne vous fait pas de dessin..). Alors peut-être que la complexité du scénario ajouté aux ébats de mes jeunes "collègues" a détourné en partie mon attention... Parfois, un scénario trop riche peut nuire...
Pourquoi avoir compliqué une intrigue au point de déstructurer le récit et nous égarer quand on tente de comprendre la motivation des personnages ? Pourtant les ingrédients de la réussite étaient là avec de bonnes idées, une atmosphère digne des meilleurs films noirs, et une distribution excellente. À force de vouloir nous surprendre, le scénario se disperse, et passe à côté de son but. Notons néanmoins quelques belles trouvailles avec le contre-emploi de Jean Rochefort et la prestation surprenante de Vanessa Paradis.
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