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    Vivre et laisser mourir
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    234 critiques spectateurs

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    Le D.
    Le D.

    204 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2020
    "Vivre et laisser mourir" est le huitième opus de la saga des "James Bond" et aussi la première apparition de Roger Moore dans le rôle de James Bond. Un film plutôt sympa avec de bonne scènes d'action, une histoire plutôt intéressant et les personnages sont bien jouent par les acteurs.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 178 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 septembre 2020
    Après « Les diamants sont éternels », une page se tourne dans la saga James Bond jusqu’alors fortement imprégnée de la présence de Sean Conney dans le rôle de l’agent 007. L’acteur écossais a effectué son dernier tour de piste lors d’un septième épisode (George Lazenby avait remplacé Connery sur le sixième) assez peu convaincant. Le nom de Burt Reynolds déjà envisagé résonne encore dans l’esprit de Guy Hamilton mais c’est finalement Roger Moore qui poursuivra la tradition jusqu’alors ininterrompue qui veut que l’interprète de Bond soir un natif de Grande-Bretagne ou du Commonwealth (George Lazenby est australien). Il s’agit donc de ne pas rater ce changement qui s’envisage dans la durée même si Roger Moore est plus âgé de trois ans que Sean Connery. L’acteur londonien doit sa notoriété essentiellement à la télévision où son charme désinvolte a fait successivement mouche dans « Ivanohé » (1958-1959), « Le Saint » (1962-1969) et plus récemment dans « Amicalement vôtre » ((1971-1972). Il sait que la comparaison avec son ami Sean Connery ne sera pas à son avantage s’il s’aventure à vouloir lui emboîter trop systématiquement le pas. Plus raffiné et moins viril d’apparence il ne pourra rivaliser dans le domaine de l’animalité et de la puissance physique que dégageait l’acteur écossais. Les producteurs tout comme Roger Moore ont bien conscience de cet écueil. Tout sera donc fait avec l’apport de Tom Mankiewicz au scénario pour renouveler sensiblement l’univers dans lequel évoluera l’agent au service de sa majesté, sans toutefois trop déboussoler le spectateur. C’est « Vivre et laisser mourir » écrit par Ian Fleming en 1954 qui sera choisi pour cette mise en route d’un Roger Moore dont on peut immédiatement observer les efforts qu’il a fait pour se mettre physiquement à la hauteur du rôle mais aussi la nervosité qui imprègne quelques fois son jeu. Tout le monde joue gros sur cette affaire. Pour donner un élan supplémentaire à ce pari osé, Albert R. Broccoli et Harry Saltzman sont allés chercher Paul McCartney qui a composé et interprété avec son groupe Wings, la chanson éponyme du générique. Le reste du score a été confié à George Martin, le légendaire arrangeur surnommé le « cinquième Beatles ». Le retour à l’exotisme allant peut-être puiser à la source du séminal « Docteur No » emmène le spectateur à la Jamaïque avec un détour par la Louisiane et le Bronx. Trois agents du MI6 qui enquêtaient sur un dictateur (Yaphet Kotto) d’une petite île des Caraïbes sont assassinés. L’enquête de James Bond lui fait comprendre que des liens évidents sont tissés entre le dictateur sanguinaire et un trafic de drogue de grande envergure. L’intrigue plutôt banale cherche à jouer du contraste entre un James Bond aux manières policées et des gangsters débridés qui utilisent le rite vaudou comme écran de fumée à leurs règlements de compte. Malgré tous les efforts visant à le mettre dans les meilleures conditions, Roger Moore très appliqué semble hésiter en permanence entre son tempérament naturel qui le pousse à la dérision et le respect des canons imposés par l’ombre tutélaire de Sean Connery. Il parvient néanmoins à passer l’obstacle, aidé par le charme diaphane de Jane Seymour et celui plus pétillant de Gloria Hendry mais aussi par la truculence roborative des Yaphet Kotto, Clifton James, Julius W. Harris et Geoffrey Holder. Les somptueux décors et les cascades très imaginatives feront le reste. Cette application à tous les niveaux sera payante. « Vivre et laisser mourir » battra assez largement le record de recettes établi par « Goldfinger ». Rassénéré par ce succès, Roger Moore prendra toute la dimension de son rôle dès « L’homme au pistolet d’or » mis en chantier un an plus tard. Il faut faire vite, « Le saint » a désormais 47 ans. On en verra les effets dans ses trois dernières prestations (sept au total) .
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    82 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 septembre 2020
    Visant une fois de plus le marché américain, EON Productions se vautre dans une sorte d'hybride de film de genre blacksploitation. Mais malgré les apparences il s'agit bien d'un nouveau James Bond et ce dernier change une nouvelle fois de visage hors Roger Moore fait bien plus dandy aventurier qu'agent secret ayant le permis de tuer (fumant le cigare et avec ses initiales brodées sur sa robe de chambre, non mais franchement). C'est nanardesque, affligeant et raciste. Une étoile pour Yaphet Kotto, classe en antagoniste (et ça change du SPECTRE que l'on se tape depuis le début de la franchise).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 août 2020
    J'adore. Vivre et laisser vieillir. Évidemment que c'est des démodé... mais c'était un petit bijou pour l'époque. Jane Seymour est sublime. La musique indémodable et il y a plusieurs scènes incroyables comme la scène avec le petit serpent dans la douche, le faux enterrement avec le sorcier vaudou (excellent) qui sort du cercueil et surtout la fuite sur le dos des des alligators et la course poursuite en bateau. C'est indémodable ça. Cinq ans après je retrouve le même plaisir.
    Florentin Drugmand
    Florentin Drugmand

    8 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juin 2020
    Première apparition de Roger Moore dans James bond, Vivre et laisser mourir montre un assez bon successeur à Sean Connery. Hormis l'histoire que j'ai trouvé sans rebondissement spectaculaire, elle n'est pas dans l'exagération et la BO interprété par Paul MC Cartney est assez plaisante à entendre
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 octobre 2022
    Après le décevant « Les diamants sont éternels », ce huitième opus de la saga James Bond ne relève vraiment pas le niveau. Réalisé une nouvelle fois par Guy Hamilton, en 1973, ce film s’apparente davantage à une mauvaise série B. Certes, on découvre pour la première fois, en tant que James Bond, un Roger Moore encore un peu emprunté. Mais les scènes d’actions sont tellement pathétiques et le scénario indigent, qu’il est difficile d’être séduit. Bref, seule la bande originale, composée par Paul et Linda McCartney, présente un intérêt.
    youtube champions
    youtube champions

    45 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 avril 2020
    Vivre et laisser mourir est le 8eme James Bond et le premier de Roger Moore. On suit donc James Bond, essayant de débusquer un trafic d’héroïne à Saint Monique. Le film commence par une scène assez unique et originale (M vient chercher James Bond chez lui la nuit pour lui confier sa mission) qui introduit assez bien Roger Moore en James Bond. Par contre, la scène d’introduction n’est que très peu utile et n’a qu’un faible apport à l’histoire. L’histoire, elle, est assez bien tournée et bien développée. Les méchants principaux sont aux nombres ahurissant de 3, plus 3 sous-fifre qui reviennent fréquemment. On regrettera d’ailleurs certains personnages assez peu développés (Baron Samedi). Le film a un côté assez mystique avec les pouvoirs de Solitaire et du Baron Samedi (à « mourir de rire »). Roger Moore, tout en charme, est moins sarcastique et un peu plus jeune qu’à l’accoutumée. Le méchant est pas mal sans pour autant être impressionnant et Solitaire (la James Bond Girl) passe d’un jeu original a lamentable quand il faut exprimer des sentiments. Les cascades quant à elle sont réussies même si elles sont parfois trop longue. Les représentation des noirs sont un peu trop étranges parfois. La musique est elle peu originale. On se rappellera surtout la musique thème de Paul McCartney.
    selenie
    selenie

    6 233 abonnés 6 183 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2020
    James Bond est donc incarné pour la première fois par Roger Moore. Le fond de l'histoire manque clairement de densité mais le scénario est assez bien troussé pour nous le faire oublier. Le méchant manque un peu d'envergure mais ses deux seconds couteaux compensent, l'homme crochet en impose même si son crochet manque de réalisme, et le gourou est aussi magnétique que psychopathe. On peut par contre tomber dans le risible avec le shérif rednek un peu trop caricatural, comme le serpent en caoutchouc et surtout la mort du dictateur-narcotrafiquant beaucoup trop surréaliste. Néanmoins, pour un début Roger Moore assure et offre une alternative tout aussi séducteur mais avec un flegme british plus prononcé et un brin d'autodérision qui ne fait pas de mal. Le récit aurait pu laisser plus de place au vaudou encore mais le charme opère.
    Site : Selenie
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    154 abonnés 1 196 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mars 2020
    Un James Bond old school récréatif. A l'heure des blockbusters épileptiques actuels, c'est un plaisir particulier de revoir ces vieux films d'action au montage à l'ancienne. Tout est plus lent et moins efficace à l'image de la scène de visite du magasin voodoo où rien ou presque ne se passe. De ce rythme se dégage néanmoins un charme certain nourri de jazz, de tarot divinatoire, de communauté black, de bayou et de voodoo. Pour ma part j'ai surtout apprécié ce "Live and Let die" pour les gadgets désuets, la sublime Jane Seymour et surtout Roger Moore, sa classe et sa voix suave so british distillant des jeux de mots avec une expression espiègle. Quoique le machisme de cet opus n'est pas total, le film ploie sous un "male gaze" appuyé en phase avec son époque. Les scènes d'actions sont souvent longues et chiantes (cette poursuite en bateau) quand elles ne frôlent pas le ridicule (James qui bondit de crocodiles en caïmans). On a aussi droit au méchant caricatural et ses invraisemblables plans machiavéliques pour tuer notre héros jusqu'à un duel final franchement nanardesque. Un divertissement agréable quoique un peu longuet.
    Fabien S.
    Fabien S.

    544 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2020
    Un très bon James Bond avec Roger Moore et Jane Seymour. Un générique composé par la musique de Paul McCartney.
    Rorechar
    Rorechar

    7 abonnés 815 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2020
    Bond est envoyé aux Etats Unis pour mettre fin à l'hécatombe des agents britanniques. Ce Bond marque le renouveau. En effet Roger Moore, qui avait été de base le premier choix pour incarner l'espion britannique, mais l'acteur était déjà engagé avec la série le Saint, succède ici à Sean Connery. Moore apporte des modifications au personnage, il incarne un Bond plus dandy, il range le chapeau au placard. Il boit du whisky. Il est un James Bond plus humoristique, avec la prestance du Lord anglais. Il nous montre le flegme britannique à l'écran. Au final, Moore dans le rôle de Bond est convaincant. Face à lui le Dr Kananga qui est tout aussi Charismatique. Par ailleurs, Bond semble en avoir finit avec le SPECTRE, ici le méchant est indépendant. On visite ici la Louisianne. Un Bond qui se laisse regarder, servi par une interprétation mémorable de Paul Mccartney, qui nous fait oublier l'opus précédent qui a été un peu décevant.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2020
    Et voilà le jeune premier (46 ans !!!) remplaçant de Sean Connery et de l’éphémère Lazenby, Roger Moore pour le meilleur et surtout le pire. Entre humour et détachement guignolesque, on perd tout le sel et le mystère apportés par Sean Connery. L’histoire est quelconque et racoleuse, surfant sur la vague de deux styles en vogue à l’époque : la blaxploitation et le polar urbain noir. La mise en place est poussive ; la seconde partie offre de belles courses poursuites en hors-bord dans le bayou qui tient par contre du film publicitaire. Même l’intronisation du Sergent Pepper comme caution comique du film est pathétique ; un ersatz de « Sheriff fais-moi peur ». Le pré générique et générique que l’on attend avec impatience à chaque James Bond sont ici guère travaillés. L’introduction des gadgets est aussi très empruntée. Reste de ce film, une seule scène ; le faux enterrement dans les rues de la Nouvelle Orléans. Un Bond sans grand intérêt.
    tout-un-cinema.blogspot
    Seb...
    Seb...

    9 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 janvier 2020
    De très loin, le moins bon des JB avec Roger Moore, dont le seul intérêt et de le voir endosser le rôle pour la première fois.
    Scénario indigent et indigeste.
    On frôle le ridicule sur quasiment chaque plan.
    La BO sympathique clin d'oeil.
    Bref...circulez y'a rien à voir .
    Sébastien T.
    Sébastien T.

    4 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2019
    Je suis en train de revoir tous les Bond, dans l'ordre, et celui-ci est le plus mauvais ! Très mauvais... Je deteste l'ambiance Voudou, ainsi que certains personnages totalement dingues... voudou + folie font vraiment passer les "noirs" pour des sauvages dans ce film. Peut être qu'à l'epoque ça passait mais personnellement ce film me choque quelque peu aujourd'hui. Enfin, quoi dire quand aux échappatoires de Bond aux "pièges" des méchants... sans spoiler : vraiment peu cohérent....
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 149 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2019
    Suite à son retour dans Les Diamants sont éternels, Sean Connery décide d’en finir définitivement avec James Bond (même s’il ne faut jamais dire Jamais plus jamais). Vu le peu de succès commercial rencontré par l’épisode George Lazenby, de son remplacement dépendait la survie de la série cinématographique.
    Heureusement, le choix de Roger Moore (qui avait été approché à deux reprises par le passé et qui avait déjà interprété 007 dans un sketch télévisé en 1964) pour Vivre et laisser mourir réussit à rencontrer les faveurs du public. Ce succès provient sûrement du fait que Moore ne cherche jamais à singer Connery et apporte sa propre personnalité : moins violente, plus distinguée et plus portée sur l’humour. Ce dernier, qui est caractéristique de cette période du personnage, est encore assez discret : si on excepte le personnage du shérif Pepper (qui reste cependant assez drôle), on ne tombe pas dans l’aspect guignolesque et lourd des derniers épisodes de l’ère Moore.
    La production choisit également de marquer une différence claire avec les derniers épisodes. Ainsi, M se rend directement chez 007 pour lui annoncer sa mission, le personnage de Q disparaît (mais est cité) et les gadgets sont réduits au minimum, ce qui est assez drôle quand on connait leur déluge qui marquera les autres films interprétés par l’acteur. De même, l’action est globalement plutôt réaliste, si on excepte la course-poursuite nautique finale, mais reste palpitante.
    Le changement est aussi à l’ordre du jour d’un point de vue musical. John Barry est donc oublié au profit de George Martin, le producteur des Beatles, qui confie la chanson-titre (une des plus mémorables de la série) à l’ancien membre du groupe, Paul McCartney. Quand on pense que dans Goldfinger, Bond estimait qu’il fallait écouter les Beatles avec des boules Quiès, on comprend que les temps ont changé.
    Autre différence notable, le méchant ne possède strictement aucun lien avec le Spectre (seul Goldfinger était dans ce cas). Il ne possède d’ailleurs aucun lien non plus avec l’U.R.S.S. comme dans le roman (dont il est tout de même assez éloigné) mais le dictateur d’une île fictive étant à la tête d’un réseau de trafic de drogue et adepte des rites vaudous.
    Le film possède donc une légèreté qui évite le ridicule assez plaisante mais cela ne l’empêche pas d’avoir certains points négatifs. On pourra ainsi regretter, vu d’aujourd’hui, que la volonté de coller à la Blaxploitation entraîne une vision assez maladroite de la question raciale qui touche de plein fouet les États-Unis à cette époque (nous sommes en pleine période des Blacks Panthers) : à l’exception de deux personnages très secondaires (dont Quarrel junior, qui est visiblement le fils du Quarrel présent dans James Bond 007 contre Dr No), les personnages noirs sont tous méchants ou sous l’emprise de Kananga (même la 1ère James Bond girl noire, Rosie Carver, se révèle agir par peur de ses répressions). De même, certains effets spéciaux peuvent paraître ridicules de nos jours (l’explosion finale du méchant).
    Ainsi, même si le film comporte certains défauts, l’arrivée de Roger Moore dans le rôle est plutôt réussie (il sera d’ailleurs l’acteur ayant interprété le plus souvent le personnage dans la série officielle). Désormais, les choses sont claires : James Bond will return.
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