Premier bond avec roger moore et belle réussite et avec une séduisante james bond girl il faut le souligner.Toujours aussi bien réalisé que les autres films de bond,on ne peut que resté cloitré devant le téléviseur sans voir passer le temps a voir le film.
Film assez banal. A la fin c'est tellement long qu'on s'endort. Assez déçue. j'ai bien aimé tout de même la James Bond girl, la poursuite en bateau et le truc avec le shérif.
Un film pas franchement mémorable que ce premier Bond option Roger Moore. Faut dire que le contraste avec Sean Connery est assez marquant : faudra s'y habituer, Moore porte bien le smoking, lache ses vannes avec détachement, et traîne la patte question action. Le script est tellement tarabiscoté qu'on en oublie presque de remarquer que Jane Seymour est pas mal du tout !
Un de mes james bond préféré avec jane seymour, très belle (surtout très jeune). Ce james bond est plutot "eau" avec poursuite sur eau et combats avec des animaux d'eau, ainsi que des combats contre des africains dont un méchant plutot sympa avec une main...du capitaine crochet !! Un vrai régal, on se demande d'où viens l'imagination de ian fleming !
Premier role du James Bond pour Roger Moore on voit qu'il s'y plait beaucoup.Je ne vais pas répété toutes les memes caractéristiques,juste que c'est un film génial bien ficelé!
Bonderie numéro 8. Ce qui étonne le plus dans la prestation de Roger Moore, c'est cette impression que l'acteur a toujours été James Bond. Un agent secret qui pour le coup y gagne pas mal en classe et en prestance grâce au flegme aristocratique inhérent à Roger Moore. Résultat, Bond perd en vulgarité ce qu'il gagne en charisme et se retrouve par ailleurs correspondre beaucoup mieux aux attentes du scénariste Tom Mankiewicz. Et cela se ressent énormément dans le film, seventies à souhait, qui fait la part belle aux acteurs et à leurs dialogues pour changer un peu de l'action et des gadgets. Bond ici devra se contenter d'une montre munie d'un aimant surpuissant, ce qui n'est déjà pas si mal. Par ailleurs, bien que moins nombreuses qu'à l'accoutumée, les scènes d'action en question sont de très bonne facture comme celle, mémorable car digne d'un Steven Spielberg sauce Indiana Jones, où l'agent secret échappe de justesse à la menace de crocodiles et autres alligators en utilisant ces derniers comme de vulgaires ponts suspendus aux mâchoires claquant sur son passage express. Autre point fort, une réjouissante galerie de personnages essentiellement afro-américains (Yaphet Kotto et Geoffrey Holder en tête), ambiance vaudou oblige, qui loins des accessoires habituels contribuent réellement à développer le récit. A noter également, une première dans la saga, puisque la James Bond Girl et quasi débutante Jane Seymour... est vierge ! Au final, un très bon cru « bondien ». Roger Moore s'approprie le personnage avec une aisance remarquable et profite au passage d'une intrigue pour une fois à la hauteur des ambitions affichées. Et cerise sur le gâteau, la chanson titre de Paul et Linda McCartney est elle aussi une des meilleures de la saga.
Pour sa première incursion dans le rôle de l'agent secret, Roger Moore semble avoir beaucoup de mal à trouver sa personnalité, et il n'est pas aidé par Guy Hamilton qui ne semble avoir aucun désir de se renouveler.
Une nouvelle air commence: Roger Moore prend donc la relève dans le costume de James Bond! Présenté comme il se le doit au début du film par M en personne, cette nouvelle figure a du style, très british, et un humour prenant à la légère tout (trop?) ce qu'il lui arrive! Un nouveau cru qui est donc adopté au bout de 10 mn nous faisant rapidement oublier le Sir Connery! Mais justement, peut être trop vite oublié! Car de l'aspect espionnage de l'entreprise, ici, il ne reste plus grand chose! Dans un certain esprit, on repart un peu dans ce qu'avait déjà été GOLDFINGER: un film à l'américaine! Effectivement, l'action est non stop, on visite la Floride, on retrouve des personnages d'antan: Leiter, Quarelle... La nouveauté c'est l'histoire dans l'histoire: celle du sherif américain gaffeur à qui il arrive moult problèmes. Certaines scènes resteront dans les annales comme celle de la marche funèbre du début revue également plus tard, celle du pont de crocodiles, celle du tarot.. Mais l'ensemble bien que jamais ennuyeux, ne décolle jamais vraiment à cause d'une intrigue (trafic de drogue!) des plus anémiques poussant le vis à remaker des scènes comme celle du train final, celle de l'antre du méchant (en a t il de besoin?), un homme à main d'acier qui comme l'homme au chapeau de GOLDFINGER est impressionnant mais inutilisé... Reste donc l'arrivée d'un nouveau héros très crédible qui rajeuni fortement l'entreprise et une Jane Seymour qui restera parmi les plus belles James Bond Girl de la série.
Quel étrange paradoxe que le meilleur générique des James Bond, à savoir le "live an let die" de Paul Mc Carthney appartienne à l'un des plus mauvais James Bond. N'étant pas un fan inconditionnel de l'agent 007, j'ai malgré tout vu tous les James Bond dans un immense désordre au cour de ma vie. Et quelle surprise de découvrir que ce film est en fait le 8ème James Bond et le premier de Roger Moore. Pourquoi ? Tout simplement parce que Moore semble déjà si à l'aise dans le rôle que je n'aurais jamais imaginé que c'était la première fois qu'il incarnait James Bond. En effet, il immpose tout de suite son style avec son humour so british, son flegme incroyable et son côté pantouflard dans les scènes d'action (on ne peut pas tout avoir). L'autre élément qui justifie ma surprise, c'est que ce film est très peu ambitieux aussi bien sur le plan scénaristique que sur les scènes d'action. Je trouve en effet étrange que les producteurs n'aient pas mis en place un scénario plus fort pour l'arrivée d'un nouvel acteur dans la peau de James Bond (surtout lorsque l'on se souvient du fiasco avec Lazenby). Mais bon, pour parler du film en lui même, il se base sur le vaudou, donc un peu de fantastique dans ce James Bond. Sauf que comme toujours au cinéma quand ce genre de thème est abordé, c'est traité de façon caricaturale. Côté action, en plus de Roger Moore qui est pantouflard (effet secondaire de son incroyable flegme britannique certainement), les scènes d'action sont peu ambitieuses et manquent de dynamisme. La meilleure scène du film étant une poursuite en bateau plutôt sympa et bien construite mais moins impressionnante que ce que nous avait offert la série auparavant. Des point positifs malgré tout notamment Kananga, un méchant bien interprété et plutôt convaincant. Par contre sa mort où il explose en se remplissant d'air est kitchissime. Une des plus belles James Bond girl de la saga en la personne de Jane Seymour, sublime. Bref, Moore est convaicant, pas le film. Juste moyen
Premier Bond avec Roger Moore,"Vivre et laisser mourir" est aussi le premier à introduire une bonne dose de fantastique à l'histoire avec le vaudou. Tourné en Louisiane et avec des cascades monumentales,le dépaysement est garanti!
Le 1er Bond de Roger Moore est aussi un des moins bons (le moins bon ?) de la série. Le film a le tort de s’éloigner de l’esprit de la franchise pour surfer sur la vague blaxploitation de l’époque (à travers une histoire de sorciers vadou pas franchement terrible). Un style pas assez « british » donc mais aussi une pelletée d’erreurs avec une mauvaise séquence pré-générique, un méchant peu mise en valeur, une Jane Seymour certes belle mais particulièrement cruche, une 1ere partie assez molle et surtout l’absence des gimmicks habituels (pas de smoking, pas de casino, pas de vodka-Martini, pas de Q...). De bonnes choses pourtant sont à retenir comme la chanson-titre signée Paul McCartney, la scène des crocodiles, des 2nds rôles originaux (le sergent Pepper, le tueur à la pince de fer Tee Hee, le Baron Samedi…) et un Roger Moore qui campe un James Bond à part entière et très différent. Plus dans l'humour (et la p'tite vanne), il réussit à s'affranchir du modèle imposé par Sean Connery (qui était quand même meilleur...) ce qu'il confirmera dans les films suivants. Dommage qu'il commence sa série par son moins bon film...