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Un visiteur
3,0
Publiée le 3 août 2011
Après "Les diamants sont éternels", Sean Connery donne son permis de tuer à Roger Moore (déjà connu pour les séries "Amicalement votre" et "Le saint"), plus classe et doté d'un humour bien à lui. Depuis "Les diamants...", Guy Hamilton est toujours à la barre et donne dans l'exotisme fou furieux dans ce cocktail tonitruant de bagarres, de poursuites (avec celle désormais célèbre tournée dans les bayous de Louisiane) et de courses contre-la-montre. Toujours basé sur Ian Fleming (scénario : Bond doit évincer un baron de la drogue), Hamilton embauche Jane Seymour pour l'interprétation de Solitaire, une James Bond girl vraiment expressive dans ses sentiments. En revanche, le méchant (Kananga), bien que manichéen, caractérise très bien le type de méchant auquel Roger Moore va se frotter dans les épisodes suivants. La chanson du générique ("Live and let die", mondialement connue aujourd'hui) est chanté par Paul McCartney et ses Wings. Que du bonheur ! Merci Paul. Un James Bond en bonne et dûe forme qui s'apprécie toujours antant les années passant. Roger Moore, merci et reviens vite !
L'ere Connery est passé voici l'ere Moore.Pourtant celui ci était pressenti pour interpréter le rôle titre dans JB contre Dr No.La combativité entre les deux producteurs étaient rude l'un voulait un américain et l'autre un britannique.Quand Roger Moore avait été choisis pour interpréter l'espion le plus célèbre de la terre,celui ci avait fini son contrat dans la serie Amicalement votre.Cette fois ci la production ne voulait pas faire la même erreur qu'avec Georges Lazenby; Roger Moore ne devait pas ressembler à Sean Connery.Le scénario est bien plus banal que dans le roman.Vivre et laissé mourir est le deuxieme roman de Ian Fleming écrit tout de suite aprés Casino Royale,Bond est envoyer en mission à New York précisément dans le quartier de Harlem pour chercher des renseignements sur un certain mystère Big(Kananga)un des membre du smersh etc..etc ce nom à été donnée à l'acteur Yafet Koto(Alien) en hommage à celui qui a élevée les crocodiles dans le film.Solitaire interprété par Jane Seymour est parfaite car elle ressemble énormément à c'elle du roman .Roger Moore ne correspond pas du tout à JB dans le roman (JB cheveux noirs,les yeux bleus clair(gris) 183 cm,76kl,assez sportifs,aime les boissons fortes,rejette les femmes mais souvent c'est elles qui cherche sa compagnie,mais parfois il est seul pou accomplir ces missions et démuni d'humour etc...etc roger Moore cheveux châtains clair,Yeux bleu clair,187 cm etc...etc.Felix Leiter est beaucoup plus présent dans ce roman que dans le film,On pourrait penser que Permis de Tuer saurait la suite de Vivre et laissé mourir. Ce film fait ressentir deux des romans de Ian Fleming,JB contre Dr No et Permis de tuer et certaines scènes du roman se trouve dans le Quantum of Solace(le passage des agents du FBY et de la CIA) et montre que l'Organisation est partout.ainsi Roger Moore est le JB de l'ere 70 sans qu'il le soit vraiment,car il a apporté sa propre touche a lui, ce roman est plutôt géopolitique et oui nous somme partout(QOS
"Live and let die"(1973).C'est avant tout la mythique musique de Paul Mc Cartney.Le 7ème Bond est aussi le premier d'une longue lignée avec Roger Moore.Apportant sa touche d'humour typiquement british,il fait de l'espion un mondain cynique et dragueur.Une évolution en phase avec le caractère de l'acteur.Le vrai effort pour l'époque,c'est de situer l'intrigue au coeur d'Harlem,avec uniquement des blacks pour adversaires.On verse donc dans le jazz de la Nouvelle-Orléans,aussi bien que la jungle caribéenne.Avec aussi un couplet sur les coutumes vaudou.Le plaisir est cependant altéré par un scénario indigent,et une interprétation à côté de la plaque.Sans parler des clichés sur les minorités.Ceci étant dit,on a bien sûr droit au lot coutumier de scènes aguichantes,comme Bond sautant de crocodile en crocodile,ou faisant bondir un hors-bord!C'est limpide,avec une fin volontairement grotesque.On a perdu le charme suranné des premiers épisodes.On se contente donc de ce Bond sans idées.
Ca y'est rideau Sean Connery et l'éphémère Gerorge Lazenby. Maintenant c'est Roger Moore qui reprend le rôle. Le contraste avec Sean Connery est assez saisissant : Moore préfère le smoking à l’action, et ses vannes portent moins que celles de Sean. Plus flegmatique voire aristo dans ses attitudes, moins physique et charismatique que Sean, Roger fait comme il peut pour trouver ses marques, le tout sur musique de Paul Maccartney. L’ambiance est très afro-américano-vodou, entre Harlem (« visage pâle dans Harlem ? très futé… »), l’Afrique et la nouvelle Orléans et son truculent policier US Billy Bob Pepper. Un épisode assez banal au final, voir ennuyeux, malgré un petit regain de forme vers 1h de film quand Bond est encerclé par les crocos et enchaine avec une interminable course de hors bord
Troisième James Bond réalisé par Guy Hamilton (le meilleur metteur en scène des aventures de l'agent secret), Vivre et laisser mourir est certainement le plus amusant de la série. La chanson de Paul McCartney, "live and let die", demeure dans l'esprit du spectateur longtemps encore après la fin du film. Mais Vivre et laisser mourir marque surtout la première prestation de Roger Moore dans le rôle de 007 (avec l'apparition d'un humour au second degré et un ton plus parodique), ainsi que la première apparition marquante à l'écran de Jane Seymour (dont la carrière se fera surtout sur petit écran), sans doute la plus jolie jamesbond-girl. Et l'histoire, bien que peu surprenante (mais ne demandons pas trop à un tel film), présente une dose d'originalité dans la manière dont les "méchants" suppriment les "gentils" : plutôt qu'une simple balle dans la tête, ils recherchent le moyen le plus sophistiqué qui, bien évidemment, se retournera contre eux.
Une histoire assez fade, des séquence d'une grande platitude, peu de rythme, heureusement que le shérif J.W. Pepper est là pour relever l'ambiance..............
Roger moore n'est pas mauvais,il fait plus bcbg(attitudes,cigares,gants) mais avec moins de charisme que sean.Sinon le scénario et les seconds roles de ce volet son très bon,ambience afro-américano-vodou garantie.la james bond girl "solitaire" est trés belle et très mysterieuse,plus mention spéciale au sourire de l'homme a la main de fer.
1 er bond de roger moore , cet opus est relativement bon malgre un mechant qui ferait pas peur a mon chien!!!!! les crocos oui .....les gadjets oui......la fin non
Roger Moore fait son entrée dans le rôle, et on se rend tout de suite compte du changement de ton. Contrairement à Lazemby, Moore ne tente pas un seul instant d'être un nouveau Sean Connery. Bond sera desormais très british, un brin ironique, et d'un calme total face à toute situation, bref un Bond plus décontracté. Pour son 1er opus Roger Moore est convaincant et le film est bon. La bond girl jayne Seymour vaut surtout pour sa plastique, son jeu n'est pas inoubliable. Les méchants sont reussi, un seul regret le rôle peu etoffé du baron de samedi. Moore reussi son pari: les spectateurs envisage enfin une vie pour Bond après Sean Connery.
Premier Bond avec Roger Moore, qui endosse le rôle-titre après Sean Connery et George Lazenby, Vivre et laisser mourir est peut-être l'un des meilleurs avec l'acteur britannique. Son humour grinçant, ses blagues vaseuses et sa fausse gentillesse en font un James Bond aussi atypique qu'arrogant. Cependant, ce 8e opus reste un bon film d'espionnage/aventures avec tous les ingrédients nécessaires à un James Bond : de l'exotisme, des scènes d'action en pagaille, des jolies filles, des gadgets de plus en plus improbables et des sorciers vaudou, on a de quoi être dépaysé. Délaissant son rôle du "Saint" pour endosser avec aisance celui de Bond, Moore joue la carte de l'humour et des cascades horriblement mal doublées mais arrive néanmoins à rester attractif voire attachant dans ce scénario peu commun, très ancré dans la réalité des années 70 avec notamment le trafic de drogue des États-Unis. Bref, un premier film réussi pour Roger Moore, l'un des rares de sa filmographie, le reste de ses interprétations tournant plus à la parodie qu'à de vrais films d'espionnage...
Des agents secrets britanniques se font assassiner aux quatre coins du globe, l’agent 007 est missionné pour enquêter et trouver le coupable. Son enquête va le mener d’Harlem jusqu’en Louisiane…
Après Sean Connery et George Lazenby, c’est au tour de Roger Moore de leur succéder et pour ce 8ème opus de la saga, on y retrouve aux manettes (pour la 3ème fois) Guy Hamilton (il en réalisera 4), après Goldfinger (1964) et Les diamants sont éternels (1971).
Début des années 70 oblige, la blaxploitation bat son plein, est-ce une raison pour laquelle tous les méchants du film sont noirs ? Cela peut paraître anecdotique, mais c’est la première fois qu’ils sont en majorité dans l’univers bondien (ce qui n’est pas pour nous déplaire). Autre changement et de taille, vous l’aurez compris, c’est la présence de Roger Moore, avec son habituel flegme aristocratique british et un humour… que l’on aime (ou que l’on déteste). Ajouter à cela, la présence de M & Moneypenny, mais l’absence totale de Q, ainsi que de tous ses gadgets (hormis une montre électromagnétique), sans oublier l’absence du MI6 (puisque James Bond reçoit son ordre de mission à domicile), enfin, on pourra aussi signaler la superbe chanson du générique composée par Linda & Paul McCartney.
Pour le reste, le film s’avère assez inégal, soit il ne se passe pas grand-chose soit les scènes y sont étirées plus que de raison (la scène des hors-bords dans le bayou en est l’exemple parfait, la séquence dure 12min et on finit carrément par oublier que l’on est en train de voir un James Bond et pour cause, on ne le voit quasiment jamais au détriment du Sheriff Pepper qui est de chaque instant). Le film est clairement divisé en deux parties, une première qui prend (trop) le temps de poser les bases quand la deuxième s’avère bien plus soutenue. Ajouter à cela, tout le folklore de la Nouvelle-Orléans dont on aurait pu se passer.
Le film diverti mais se perd en longueur, cependant on appréciera grandement d’y retrouver le joli minois de Jane Seymour (22ans lors du tournage) en diseuse de bonne aventure.
Pour sa première incursion dans le rôle de l'agent secret, Roger Moore semble avoir beaucoup de mal à trouver sa personnalité, et il n'est pas aidé par Guy Hamilton qui ne semble avoir aucun désir de se renouveler.