Le premier James Bond avec Roger Moore, le meilleur avec lui. Roger Moore reprend le costume de l'agent secret et nous fait changer de décor avec le 007 de Sean Connery. Moore nous mène dans un James Bond qui suit l'histoire, les actualités, les nations...Avec Roger Moore, l'agent secret a plus d'humour, des scènes d'actions très bien maîtrisés pour l'époque et justes excellentes (je pense à la scène de la course-poursuite en bateau, qui, avec la musique, est sublime, dans un décor magnifique). Vivre et Laisser mourir nous transporte dans l'histoire des Etats-Unis, commençant par le quartier noir de Harlem à New York, développant le racisme (1er et seul Bond raciste d'ailleurs, n'ayant que des ennemis noirs) et dans l'univers de la drogue et des contrebandes qui s'y déroules. Puis au fin fond de la Louisiane, on voyage avec lui, dans les rues de la Nouvelle-Orléans où règnent "Jazz" et "Soul". Les décors sont magnifiques dans cette partie du film (scène de la course-poursuite en bateau). Le scénario, lui, est bien mais il faut avouer qu'il manque quand même un petit quelque chose. Jane Seymour est excellente, très intrigante. La musique est excellente, se démarquant des autres Bond en changeant un peu le thème (ou plutôt le thème est assez rare), la chanson de Paul McCartney est génial aussi. Vivre et Laisser Mourir au final est un très beau voyage aux Etats-Unis des années 70. Excellent.
Vivre et laisser mourir est probablement l'un des meilleurs James Bond grâce à son intrigue prenante ,des gadgets inventifs et surtout grâce à une James Bond girl magnifique (Jane Seymour ♥)
Un des meilleurs James Bond avec un vrai scénario et des scènes d'action incroyables pour l'époque. Ce James Bond est une réussite car il contient de l'humour,de l'action et un James Bond ahurissant. Les méchants sont vraiment tres méchant et déjanté et l'héroine est très belle. Roger Moore est un excellent James Bond.
Un volet de facture vraiment banale avec son intrigue simpliste, ses scènes d'action sans fond, son interprétation molle. Roger Moore est certainement l'acteur qui a fait le plus de mal au mythe James Bond tant il n'a aucune classe par rapport à Sean Connery. Sans saveur. Inintéressant.
Premier James Bond sous la houlette de Roger Moore qui imprime d'emblée sa personnalité facétieuse au célèbre agent secret après plusieurs épisodes fatigués sous l'égide de l'écossais Sean Connery. Le pli est pris, ce Bond moorien se roule dans les jokes et plaisanteries de bureau, clins d'oeil grotesques plus ou moins navrants tandis qu'il dérouille les méchants avec sa montre magique à l'issue d'une dernière vanne (il a toujours eu une enflure du moi" ou "le bras m'en tombe"...).
A cet égard donc, Vivre et laisser mourir fait presque la concurrence à Benny Hill mais ce n'est bien sûr qu'un rodage, car Roger Moore va améliorer sensiblement son répertoire de cocasseries dans les films suivants. Les méchants, cela dit, s'en donnent également à coeur joie et cabotinent à n'en plus pouvoir (et effectivement, on n'en peut plus non plus).
Toutefois, le film se révèle très regardable, la réalisation est solide et quasiment sans temps mort grâce à ou malgré l'histoire réduite à sa plus simple expression puisque double-zéro-sept "boule de neige sur tas de charbon" est poursuivi par les malfaisants vaudous du début à la fin alors qu'il traîne derrière lui la jolie potiche divinatoire Jane Seymour.
Voilà donc qui passe le temps sans génie (James, les vannes qui tuent) tout en divertissant sans trop de mal pourvu qu'on reste le cerveau au ralenti.
Le passage de flambeau le plus attendu de l'histoire du cinéma Roger Moore devient James Bond agent 007. Si l'acteur se fond parfaitement dans le personnage le succès international du film est également à porter au crédit de l'incroyable Jane Seymour et de l'incontournable bande-originale du film chef-d'oeuvre de Paul Mc Cartney.
Terminé le chapeau et les cigarettes, place aux cigares et seventies dans cette nouvelle ère de la saga James Bond. Roger Moore est le nouvel agent 007 et le sera pendant 7 épisodes ! Moins viril que Connery et moins charismatique que Lazenby, Moore dégage néanmoins beaucoup de sympathie et est en harmonie avec son personnage. Certes "Vivre et laisser mourir" manque de punch et laisse des longueurs sur son passage quand il n'abuse pas des situations risibles, mais on retiendra au moins la chanson de Paul McCartney.
Sean Connery s'en va pour laisser place à Roger Moore, acteur populaire reconnu pour son humour britannique si particulier. Le changement de style s'opère dès les premières minutes du film et Moore s'impose dès le départ. Un bon point pour lui, un mauvais pour la saga ; tout simplement parce que l'humour rocambolesque de l'acteur entache désagréablement le personnage de Fleming. L'impartialité et la force tranquille qu'avaient ses deux prédécesseurs disparaissent pour faire place à un héros s'apparentant d'avantage à Brett Sinclair d'Amicalement Vôtre qu'à James Bond. Un beau gâchis car, il est une chose indéniable, le film offre au spectateur une palette de personnages intéressante et bien garnie. Hormis cela, le scénario en lui-même ne relève pas le niveau. Vivre et laisser mourir n'arrive pas à décoller et traine en longueur. Le film flirt péniblement avec les thèmes du spiritisme et du vaudou sans pour autant les exploiter. Et c'est bien dommage car le film part pourtant d'un postulat scénaristique alléchant, intriguant et potentiellement effrayant. Ce sont les décors, les costumes et la photographie qui sauvent le film de la catastrophe car il faut bien admettre que l'œuvre est, dans sa forme, plutôt belle et soignée. Quoi qu'il en soit, Vivre et laisser mourir reste une déception car le film avait au demeurant un potentiel énorme. Mention tout de même à Julie Harris pour les costumes, ainsi qu'à Ted Moore, directeur de la photographie.
Roger Moore succède à Sean Connery dans ce huitième opus des aventures de James Bond. Moore apporte son charme flegmatique et son sens de l'humour au personnage dans cette aventure exotique qui contient son lot de scènes d'action, le tout teinté d'un certain charme, entre magie vaudou et divination avec cartes. Si le scénario est plutôt bien écrit, il se laisse aller à faire durer le plaisir lors de certaines scènes (la course-poursuite en bateau) et manque parfois de crédibilité. Mais qu'importe puisqu'on n'a pas le temps de s'ennuyer et que Jane Seymour, bien qu'un peu nunuche compose une James Bond Girl qui ne manque pas de charme. A l'opposé, Yaphet Kotto est moins séduisant mais le méchant qu'il compose est plutôt intéressant. Un épisode qui se voit avec plaisir.