Un thriller bien mener, une trame intelligente et haletante. Anthony Hopkins est au top dans son rôle de méchant et la réalisation est réussi. Un bon film dans l'ensemble même si le scénario reste un peu plat tout de même.
Un très bon film, qui parfois traine en longueur, mais qui nous fait passer un excellent moment. D'excellents acteurs. La fin du film est un peu brouillonne, alors que le début est soigneusement mis en place.
Un thriller bien ficelé et bien mené. Le jeu entre Anthony Hopkins et Ryan Gosling est plutôt bon mais dans l'ensemble le scénario manque de surprise et on s'attend, tout le long, à un rebondissement qui n'arrivera jamais.
"La faille" est un bon thriller car on a droit à un bon rebondissement final, et à une excellente interprétation d'Anthony Hopkins, parfait comme d'habitude. Mais dans le même genre, il y a de biens meilleurs films à découvrir !
Fracture est un thriller juridique plutôt ingénieux , mené avec talent par Ryan Gosling et Anthony Hopkins , dont les dialogues brillent particulièrement par moments , loin d'être un chef d'oeuvre c'est un divertissement assez agréable .
Très bon thriller. Mise en scène efficace, intrigue halletante et personnages magnifiquement interprétés. Le duo Hopkins/Gosling est d'une efficacité remarquable dans un monde judiciaire américain où chacun peut manipuler le système légal à son avantage. La bande son ponctue avec brio chaque moments clés du film. Il montre aussi un système a deux vitesses : les pauvres et les riches avec leurs ténors du barreaux. Le rythme va crescendo et le final est surprenant. On a quand même de la sympathie pour ce jeune procureur, méritant et travailleur. Le film démontre que le travail aboutit toujours sur des résultats d'une façon ou d'une autre. Il est très bien ficelé. A voir et a revoir.
Semi thriller, semi policier, ce film vous fait réfléchir jusqu'au bout dans un excellent scénario qui vous amène à une fin renversante. On retrouve ici une très bonne performance d'Anthony Hopkins.
Bon thriller dans l'ensemble, avec un Anthony Hopkins en grande forme, dans un rôle qu'il connaît forcément bien. Le crime parfait semble vraiment parfait jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'on découvre la faille. Une histoire bien trouvée, donc, avec un conflit des générations que Anthony Hopkins gagne sans problème (même si Ryan Gosling se débrouille bien).
Pas mal comme film. Évidemment on signe pour Anthony Hopkins avant tout, bien que là il nous fasse un peu le prof avec l'avocat élève. D'une certaine façon ça reprend le couple qu'il formait avec Jodie Foster dans le "Silence des Agneaux", mais version light car avec une aura moins pénétrante, en jouant un mec moins inquiétant. Ceci dit il tient bien son rôle, quand à son crime parfait, il l'est pour de bon, j'ai adoré aussi sa façon de se défendre au tribunal, en mouchant le jeunot prétentieux. Par contre la course poursuite à la vérité, avec un rythme inégal, le fait de suivre le jeune homme de loi qui essaie de s'en sortir dans la dure réalité du monde consumériste des avocats... ça saoule. On suit bien le mécanisme de pensée de l'avocat et d'Hopkins, pas de soucis, mais en dehors de ça pas grand chose dans le film. D'ailleurs, par moments, ça ressemble plus à une série policière du genre de New York section criminelle, dommage. La fin est un peu inattendue par contre, dans les grandes lignes non, mais la façon de faire, la faille... pas mal. Néanmoins ça reste un petit film sympa, sans plus, qu'on ne peut trop revoir une fois que l'on connait la fin, le mécanisme perd de son charme. A voir tout de même, surtout si vous aimez Hopkins car il joue bien sa partition (même si on a bien l'impression de déjà vu).
Revenant sur un sujet qu'il avait développé des années auparavant dans "Peur Primale", Gregory Hoblit retrouve le chemin des salles d'audience américaines. On y retrouve une fois n'est pas coutume le concept du crime qui était presque parfais et dont "La Faille" ressortira progressivement avec les minutes. Tenus en tête d'affiches, Anthony Hopkins et le jeune Ryan Gosling forment malheureusement un duel assez plat dont les rares pics d'intensité semblent trop artificiels pour réellement intéresser. Comme à son habitude, Hopkins nous livre ses expressions toutes faites avec son oeil gauche à demi fermé tandis que Gosling cherche ses marques avec un tantinet plus de réussite que son collègue. Se donnant à un jeu du chat et de la souris plus stimulant sur le papier que sur écran, le deux superstars glissent sur un scénario redondant où les rebondissement sont rares et où le temps tend à ralentir. Permettant malgré tout de rester en haleine jusqu'à la fin, "La Faille" remplit son devoir avec certes, quelques difficultés mais avec de bonnes intentions et deux ou trois bonnes idées plus appréciables.