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Un visiteur
1,0
Publiée le 8 août 2007
Anthony Hopkins est fidèle à lui-même, mais bon à part ça c'est longuet : plus de deux heures de film là où Conan (le héros du manga, pas Schwarzie !) résoud une affaire dix fois plus tordue en 3 chapitres !! Puis on s'en fiche un peu des états d'âmes d'un requin arrogant qui découvre que servir la loi ce n'est pas s'en servir à des fins personnelles ! Au final on ne sait pas si le film parle d'une enquête, ou de la façon dont on peut manipluer la loi, à force d'osciller il parvient à rendre les deux sujets ennuyeux. Un suspense quasi-inexistant, donc.
que dire de la faille? que tous simplement c'est un film ou tous et tres previsible,rien dans ce film ne me surprent ce qui et bien dommage,il n'enpeche que l'on passe un bon moment,c'est le film a voir une fois et a obliér rien de plus, a revoir a la rigueur quand celui ci passera a la télé ...
Franchement j'ai pas trop aimé ce film... la mise en scènes est médiocre. Les acteurs, ca peut allé mais il y mieu. Il y a queques scènes assez prenantes mais de courte durée, la plupart sont un peu ennuyantes. Et puis l'histoire n'est pas assez prenante. Film assez mou
C'est un peu mou du genou tout cela...de plus, on attend, on attend, et on se rend compte au final que la faille n'est pas si énorme qu'on aurait pu l'imaginer. Le côté ironique ainsi que la désinvolture du film le rendent plus sympathiques.
nous prendrait-on pour des idiots ? le rebondissement final est tellement prévisible et minable qu'on le devine longtemps avant la fin. de plus, il est improbable car il fait passé Hopkins du gars le plus intelligent du monde au type le plus stupide. ça ne tiens pas la route. c'est surtout décevant. on s'atend a être cloué sur place par cette fameuse faille mais au final, on se rend compte que toute l'histoire a été construite avec du vent, ou presque tant le scénario tiendrais sur un billet de banque. finalement la faille dans ce film, c'est le scénario en lui même.
La Faille est en fait une tout petite fêlure de rien du tout. On colmatera ce "blanc" cinématographique sans peine. Des acteurs secondaires de premier plan, une intrigue qui ne tient qu'à la sympathie pour son gros-méchant-tout-rusé, une réalisation qui date d'au moins dix années-lumières, le scénar' aussi... Pire ! Je me rappelle de chaque détail qui fut mauvais dans ce film. Extrêmement décevant.
A noter aussi l'épaisseur des personnages à l'écriture, ce bâclage laisse apparaître des blancs, des facilités incontournables pour masquer l'histoire débilitante. D'où vient l'amoureuse de l'avocat ? Pourquoi les billes ? Ces bêtises accumulées font sombrer le film dans un climat appauvri par la teneur faible de la mise en scène.
L’amorce du film a de quoi allécher sur le plan de l’intrigue tant elle nous laisse augurer des prouesses scénaristiques subtiles et pour le moins originales. Pourtant, il ne faut pas moins d’une demi heure pour se rendre compte que nos espoirs vont être déçus. Car au fond, cette "faille" se contente juste de nous resservir un personnage déjà maintes fois composé par Hopkins – celui d’Hannibal – dans une intrigue aux ressorts bien frêles. La vraie faille, c’est que le film ne cherche à se construire qu’autour d’une seule subtilité, qui en plus n’est pas très convaincante, et que l’histoire dilue péniblement pendant presque deux heures. Bref, vous l’aurez compris, cette « Faille » voulait se donner des airs de thriller vif et original, elle n’est en fait que bien trop légère et fort commune pour susciter un véritable enthousiasme.
Un nanar bien trop long vu le "rebondissement" final. On y parle beaucoup trop, l'histoire d'amour secondaire du procureur ne sert à rien qu'à rallonger inutilement le film (ou a nous montrer une jolie blonde!) et les retors judiciaires ont tirés par les cheveux (faurait voir si les arguments avancés sont valables en droit sinon ça casse un peu tout le film). Enfin quand on voit comment on peut échapper à la prison alors que tout le monde sait qu'on a tiré on se demande mais que fait la police ? (D'autant qu'hopkins à des caméras partout chez lui et que personne ne pense à les regarder!!) A réserver pour les soirs où on a du mal à s'endormir (ça pourra aider)!
Trop peu ambitieux pour un polar armé de Hopkins, le rythme va decrescendo, et la révélation finale est une vraie déception. L'affaire se tord dans tous les sens pour finir par se briser le cou. Le héros (Ryan Gosling)incarnant un procureur en pleine ascension finit par trouver les preuves dissimulées d'un meurtrier manipulateur, mais comme il le dit lui même : "trop tard", que le public s'est déjà lassé du récit et de la fade amourette de son personnage central qui gratte et embrouille plus qu'elle n'apporte lumière sur cette histoire déjà en dessous d'un épisode des Experts. L'once de morale sur l'orgueil et l'ascension des avocats aux usa sonne creux. Quant au face à face Hopkins/Gosling censé donner cette "tension psychologique" prend des airs "gamins" et tourne à un degré de superficialité qui fait honte au polar américain. Si il y a bien un film, qui mérite un procès ce mois ci, il a un nom, qu'il incarne d'ailleurs à la perfection : la faille.
En un mot déçu, beaucoup de blabla, peu d'action et surtout un manque trop important de suspence (qui devrait être plus que présent dans ce genre de film...).
Anthony Hopkins aussi ambigu et fascinant que dans "Le silence des agneaux", on en redemande. Mais, cette fois ci, il se fait voler la vedette par Ryan Gosling, fascinant dans sa vitesse de jeu et l'intelligence et la finesse dont il fait preuve pour contrer les attaques de son adversaire. Et puis, c'est tout .Une mise en scène plan-plan pour un scénario qui ne tient en haleine que l'espace d'une heure et dont le dénouement manque un peu de tenue. Idéal pour un dimanche soir seulement !