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Derrière le portrait universel de l'enfance que semble tracer Les Petites Fleurs rouges, on devine la volonté, documentée et documentaire, d'observer une institution d'enfermement et de dressage des corps. Ainsi s'entremêlent très bien ici un regard attendri et une douceur un peu cruelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Une comédie inspirée d'un récit semi-autobiographique pour dénoncer avec le sourire et dans la tendresse le système d'éducation qui enrégimente des bambins considérés comme des pions plus qu'il ne forme à la vraie vie des êtres humains.
Scènes de terreur, sketches hilarants, évasions dans la fable s'entremêlent, selon un rythme picaresque peu courant dans ce genre de "film de dénonciation".
La critique complète est disponible sur le site Positif
Qiang, interprété gaillardement par le (très) jeune Dong Bowen, échappe à toute mièvrerie. Rusé, paumé, bougon, un peu arsouille, un peu Calimero, il convainc comme un grand.
Il faut certainement connaître la société chinoise et son fonctionnement pour apprécier la portée subversive de cette oeuvre dans la rébellion et l'individualisme.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
(...) le réalisateur joue sur l'absence de dialogue, préférant toujours montrer qu'expliquer les réalités de cette vie en " mini société ", ainsi que sur la claustrophobie du lieu, le spectateur étant, comme les enfants, plongé dans la grisaille de cet internat.
Elle
Cette histoire d'abandon et de solitude qu'on devine en partie autobiographique nous touche par sa simplicité et sa justesse.
Le Monde
Derrière le portrait universel de l'enfance que semble tracer Les Petites Fleurs rouges, on devine la volonté, documentée et documentaire, d'observer une institution d'enfermement et de dressage des corps. Ainsi s'entremêlent très bien ici un regard attendri et une douceur un peu cruelle.
Libération
Jamais frontalement cruel ou accusateur, le film utilise l'espièglerie et la candeur comme des feintes.
Ouest France
Une comédie inspirée d'un récit semi-autobiographique pour dénoncer avec le sourire et dans la tendresse le système d'éducation qui enrégimente des bambins considérés comme des pions plus qu'il ne forme à la vraie vie des êtres humains.
Positif
Scènes de terreur, sketches hilarants, évasions dans la fable s'entremêlent, selon un rythme picaresque peu courant dans ce genre de "film de dénonciation".
Score
Une oeuvre à charge contre une éducation chinoise à la chaîne, fabriquant de bons petits soldats prêts à l'emploi.
Télérama
Qiang, interprété gaillardement par le (très) jeune Dong Bowen, échappe à toute mièvrerie. Rusé, paumé, bougon, un peu arsouille, un peu Calimero, il convainc comme un grand.
aVoir-aLire.com
Contant une histoire intemporelle, collé aux basques de ses jeunes protagonistes, Zhang Yuan signe un film singulier et personnel.
Brazil
Il faut certainement connaître la société chinoise et son fonctionnement pour apprécier la portée subversive de cette oeuvre dans la rébellion et l'individualisme.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Parisien
(...) un film aux couleurs de l'enfance: enlevé, parfois dur, mais souvent charmant et trés poétique.
MCinéma.com
(...) le réalisateur joue sur l'absence de dialogue, préférant toujours montrer qu'expliquer les réalités de cette vie en " mini société ", ainsi que sur la claustrophobie du lieu, le spectateur étant, comme les enfants, plongé dans la grisaille de cet internat.
TéléCinéObs
Une chronique autobiographique sans autre ambition ni véritable enjeu que la seule nostalgie.
Première
(...) Zhang Yuan capte quelques moments épars de grâce et de vérité.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com