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[Les films de Sokourov] s'organisent en visites à l'intérieur d'un espace qui ressemble à une galerie, au double sens d'un tunnel et d'un musée, avec ses portes et ses couloirs, ses fenêtres et ses toiles où peut toujours paraître quelque anamorphose.
Alexandra n'est pas un film à charge (...) et c'est sans doute ce qui rend son appréhension flottante et difficile. Mais c'est aussi ce qui en fait toute sa beauté.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Film intemporel sur une guerre contemporaine, "Alexandra" s'offre à la critique politique autant qu'à l'éloge esthétique (...) Malgré sa beauté formelle, sa dimension humaniste et son récit héroïque, "Alexandra" dérange par son nationalisme informulé (...)
La critique complète est disponible sur le site Elle
(...) la violence se soupçonne sans jamais éclater et tout l'amour d'une grand-mère se révèle pour devenir d'une façon plus universelle celui de la mère de tous les Russes et de tous les hommes. C'est ici où cette histoire dépouillée atteint toute sa grandeur et sa profondeur.
(...) l'essentiel (...) réside dans l'incongruité de la présence de ce personnage au beau milieu de l'atmosphère à la fois belliquense et désaffectée qui l'entoure, présence désarmante pour un film de guerre qui se veut contre l'inanité de la guerre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
A l'image de ces femmes, la fluidité de la caméra et la justesse du montage. Le chromatisme sépia et gris traduit la vérité du marron des robes, du kaki du camouflage, du canevas tendu, des décombres poussiéreux, de la chevelure sel et poivre.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) C'est dans la confrontation des femmes russes et tchétchènes que le film devient beau et fort, brûlant et touchant, la première partie se traînant trop complaisamment dans le camp, parmi les soldats.
Via la splendeur des corps et des yeux scrutés, Alexandre semble lire quelque chose de la vérité platonicienne ou, comme il le déclare, de "la vie russe éternelle".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Alexandre Sokourov demeure fidèle à une certaine esthétique (...) mais donne sensiblement plus de rythme à son montage, ce qui évite les longueurs qu'on a pu lui reprocher. Galina Vishnevskaya (...) une révélation.
"Alexandra" touche à l'universel par son discours profondément humain. Du côté de la réalisation, Alexandre Sokourov demeure fidèle à une certaine esthétique, avec une image impeccable et des choix chromatiques précis (...) mais donne sensiblement plus de rythme à son montage, ce qui évite les longueurs qu'on a pu lui reprocher.
Un rôle poignant pour Galina Vishnevskaya (...) L'image est superbe, mais elle habille un propos assez trouble, déconcertant et ambigu d'Alexandre Sokourov (...) sur le conflit tchétchène.
Paris Match
Chargée d'espoir, cette fable mélancolique est un vibrant appel à la réconciliation.
aVoir-aLire.com
(...) Sokurov au sommet de son art. Une oeuvre émouvante d'une force réflexive et esthétique formidable. Tout bonnement le film du mois.
Cahiers du Cinéma
[Les films de Sokourov] s'organisent en visites à l'intérieur d'un espace qui ressemble à une galerie, au double sens d'un tunnel et d'un musée, avec ses portes et ses couloirs, ses fenêtres et ses toiles où peut toujours paraître quelque anamorphose.
Chronic'art.com
Alexandra n'est pas un film à charge (...) et c'est sans doute ce qui rend son appréhension flottante et difficile. Mais c'est aussi ce qui en fait toute sa beauté.
Elle
Film intemporel sur une guerre contemporaine, "Alexandra" s'offre à la critique politique autant qu'à l'éloge esthétique (...) Malgré sa beauté formelle, sa dimension humaniste et son récit héroïque, "Alexandra" dérange par son nationalisme informulé (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) la violence se soupçonne sans jamais éclater et tout l'amour d'une grand-mère se révèle pour devenir d'une façon plus universelle celui de la mère de tous les Russes et de tous les hommes. C'est ici où cette histoire dépouillée atteint toute sa grandeur et sa profondeur.
Le Monde
(...) l'essentiel (...) réside dans l'incongruité de la présence de ce personnage au beau milieu de l'atmosphère à la fois belliquense et désaffectée qui l'entoure, présence désarmante pour un film de guerre qui se veut contre l'inanité de la guerre.
Les Inrockuptibles
(...) il y a dans "Alexandra" un sentiment qui l'enveloppe et le protège du grotesque : une vraie douleur.
Positif
A l'image de ces femmes, la fluidité de la caméra et la justesse du montage. Le chromatisme sépia et gris traduit la vérité du marron des robes, du kaki du camouflage, du canevas tendu, des décombres poussiéreux, de la chevelure sel et poivre.
Brazil
On sent derrière tout ça comme une ode à l'espèce humaine, mais c'est tellement plombé, tellement pesant...
Le Journal du Dimanche
(...) C'est dans la confrontation des femmes russes et tchétchènes que le film devient beau et fort, brûlant et touchant, la première partie se traînant trop complaisamment dans le camp, parmi les soldats.
Libération
Via la splendeur des corps et des yeux scrutés, Alexandre semble lire quelque chose de la vérité platonicienne ou, comme il le déclare, de "la vie russe éternelle".
MCinéma.com
Alexandre Sokourov demeure fidèle à une certaine esthétique (...) mais donne sensiblement plus de rythme à son montage, ce qui évite les longueurs qu'on a pu lui reprocher. Galina Vishnevskaya (...) une révélation.
MCinéma.com
"Alexandra" touche à l'universel par son discours profondément humain. Du côté de la réalisation, Alexandre Sokourov demeure fidèle à une certaine esthétique, avec une image impeccable et des choix chromatiques précis (...) mais donne sensiblement plus de rythme à son montage, ce qui évite les longueurs qu'on a pu lui reprocher.
Ouest France
Un rôle poignant pour Galina Vishnevskaya (...) L'image est superbe, mais elle habille un propos assez trouble, déconcertant et ambigu d'Alexandre Sokourov (...) sur le conflit tchétchène.
Première
Sokourov soigne l'esthétique (...) mais tient un discours politique ambigu. (...) "Alexandra" laisse un sentimant pour le moins mitigé.