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Votre avis sur Chrysalis ?
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🎬 RENGER 📼
On en attendait d’avantage de ce Chrysalis. Réalisé par un jeune et débutant réalisateur, Julien Leclercq, qui en est à sa première réalisation. Il pensait nous offrir un thriller futuriste novateur, mais il se trompe !
Et ses erreurs sont nombreuses, d’une part à causes de ses références aux classiques S.F qui sont bien trop flagrantes, tels que Bienvenue à Gattaca (1998) ou encore Minority Report (2002), et d’une autre, son scénario, qui a besoin d’être remanié, car sa trame est trop lente à se mettre en place, son histoire et son fil conducteur son tellement mou que l’ennui fait son apparition dès le début du film !
A la fois clinquant et trop surréaliste, avec ses nombreux décors high-tech et ses images virtuelles et holographiques peu plausibles. Certes, la qualité photo est acceptable mais ses acteurs sont décevants. Trop surjoués, pas assez crédibles, seul Albert Dupontel tire son épingle du jeu, ainsi que la mise en scène et le montage qui s’en sortent brillamment (utilisation de la "spidercam", du Motion Control, caméra à l’épaule ou encore des longs-travellings).
En conclusion Chrysalis a fait beaucoup parlé de lui et a bénéficié de moyens colossaux, mais le résultat final est en dessous de ce à quoi on pouvait s’attendre !
Et ses erreurs sont nombreuses, d’une part à causes de ses références aux classiques S.F qui sont bien trop flagrantes, tels que Bienvenue à Gattaca (1998) ou encore Minority Report (2002), et d’une autre, son scénario, qui a besoin d’être remanié, car sa trame est trop lente à se mettre en place, son histoire et son fil conducteur son tellement mou que l’ennui fait son apparition dès le début du film !
A la fois clinquant et trop surréaliste, avec ses nombreux décors high-tech et ses images virtuelles et holographiques peu plausibles. Certes, la qualité photo est acceptable mais ses acteurs sont décevants. Trop surjoués, pas assez crédibles, seul Albert Dupontel tire son épingle du jeu, ainsi que la mise en scène et le montage qui s’en sortent brillamment (utilisation de la "spidercam", du Motion Control, caméra à l’épaule ou encore des longs-travellings).
En conclusion Chrysalis a fait beaucoup parlé de lui et a bénéficié de moyens colossaux, mais le résultat final est en dessous de ce à quoi on pouvait s’attendre !
De la science-fiction à la française ratée.Pourtant,il est certain que le réalisateur connait ses classiques,et respecte les codes du genre.Principal atout:la plastique,orientée vers le gris anthracite,et une géométrie étouffante.Albert Dupontel en tête d'affiche,c'est aussi une bonne idée,mais il est clairement sous-exploité."Chrysalis" mise tout sur son emballage,qui pompe allègrement du côté de "Bienvenue à Gattaca".Il n'y a cependant aucun contenu scénaristique,et très peu de bonnes idées.ça manque d'originalité,avec ces clones et cette vengeance.A force de chercher la perfection clinique,Leclercq oublie de donner une âme à son film et une attirance pour des personnages monolithiques.On s'ennuit donc largement.Finalement,ce "Chrysalis" donne dans le cliché de la SF,sans s'affranchir d'une esthétique envahissante.
C'est dommage, la production n'a pas du tout mis les moyens pour tourner ce film. Si l'on veux que l'ambiance science fiction ressorte, il ne faut pas le faire en huis clos... C'est l'impression que j'ai eu, on ne voit que très peu de plans extérieurs, les magnifiques voitures du "futur" sont cantonnées dans le parking (une petite course poursuite avec ces bolides aurait pu être sympa). Les travellings sont bien fait, mais cela ajoute encore un peu de lenteur dans ce film, qui à part quelques passages n'est pas submergé par l'adrénaline. C'est dommage... Dupontel n'est pas mauvais, La docteur, très bien dans son rôle... Le scénario n'est pas mal trouvé, il aurait simplement pu être poussé un peu plus loin. On voit bien grâce à ce film la différence entre le cinéma américain et français, celui-ci ayant plus de mal à se faire une place dans le monde de la science fiction. Ce film reste tout de même un bon moment de détente, mais, attention à ne pas vous endormir :)
Paris 2025...c'est dans ce cadre futuriste que le jeune rèalisateur Julien Leclercq a placè l'intrigue de son premier long-mètrage, un polar d'anticipation aux effets spèciaux surprenants! Albert Dupontel y incarne un flic prêt à tous les excès pour mettre la main sur le meurtrier de sa femme! Pour ce faire, l'acteur, dont c'est ici la première incursion dans le domaine de la science-fiction, a donnè de sa personne, se pliant à une intense prèparation physique et s'illustrant dans des scènes de combat chorègraphièes par Alain Figlarz, que l'on retrouve dans la peau du mèchant de service! Dôtè d'un casting fèminin sexy, (Marie Guillard, Mèlanie Thierry) - oublions Estelle Lefèbure nulle et inutile - ce mixe avec son ambiance froide et sa dominante bleutèe, se situant entre "Les yeux sans visage" de Franju et "Minority Report" de Spielberg" dèçoit, avec une intrigue qui a tendance à s'enliser! L'image est très belle ,les acteurs sont noyès dans une sorte de solitude perceptible...mais malheureusement c'est un peu le syndrome des films de science fiction français, tout dans l'esthètique mais pas grand chose dans le scènario, alambiquè à souhait, si ce n'est la thèorie du complot, du clonage, des manipulations gènètiques, de la torture ou du lavage de cerveau! Vraiment dommage il y avait de quoi faire avec un tel sujet...
Le retour en force de la S-F à la française attendra encore...
Une étoile pour les effets spéciaux, décors et la photographie et le casting de grandes gueules.
Pour le reste, zéro : pas de mise en scène, pas de scénario, pas de personnages, aucune intrigue qui sous-tendrais l'ensemble du film.
Une très mauvaise copie mal torchée (presque scène pour scène) de Minority Report du grand Steven Spielberg.
En dépit d'une b-a alléchante et d'une réelle ambition de jouer dans la cours des grands, Chrysalis déçoit complètement. Pas aussi nul qu'un Luc Besson, mais on en est pas loin, Julien Leclercq reprend tous les stéréotypes américains, leur mise en scène, leurs combats et effets spéciaux, mais il s'avère incapable de faire illusion sur le vide astral de l'histoire.
Ce jeune réalisateur réalise peut-être un rêve de gosse, mais s'avère incapable de diriger ce casting prestigieux d'acteurs, de créer une atmosphère, de rendre ce polar d'anticipation crédible, prenant et intense.
Mêmes les décors sont laids à force de jouer toujours sur l'opposition noir/blanc, comme si plus aucun bâtiment du 20ème siècle n'existait à cette époque !
En somme, n'est pas Spielberg qui veut. Contentez-vous de la bande-annonce, les meilleurs moments sont dedans.
Une étoile pour les effets spéciaux, décors et la photographie et le casting de grandes gueules.
Pour le reste, zéro : pas de mise en scène, pas de scénario, pas de personnages, aucune intrigue qui sous-tendrais l'ensemble du film.
Une très mauvaise copie mal torchée (presque scène pour scène) de Minority Report du grand Steven Spielberg.
En dépit d'une b-a alléchante et d'une réelle ambition de jouer dans la cours des grands, Chrysalis déçoit complètement. Pas aussi nul qu'un Luc Besson, mais on en est pas loin, Julien Leclercq reprend tous les stéréotypes américains, leur mise en scène, leurs combats et effets spéciaux, mais il s'avère incapable de faire illusion sur le vide astral de l'histoire.
Ce jeune réalisateur réalise peut-être un rêve de gosse, mais s'avère incapable de diriger ce casting prestigieux d'acteurs, de créer une atmosphère, de rendre ce polar d'anticipation crédible, prenant et intense.
Mêmes les décors sont laids à force de jouer toujours sur l'opposition noir/blanc, comme si plus aucun bâtiment du 20ème siècle n'existait à cette époque !
En somme, n'est pas Spielberg qui veut. Contentez-vous de la bande-annonce, les meilleurs moments sont dedans.
Un thriller sombre et violent très bien réalisé, avec des scènes de combat extrêmement bien chorégraphiés. Albert Dupontel trouve un rôle à sa démesure.
Décidément, la science-fiction et la France ne font pas bon ménage. Après moult expériences ratées, Chrysalis entre parfaitement dans le rang, entre Eden Log, Babylon A.D. et Dante 01. Voici donc un énième scénario d'enquête futuriste classique et mou du genou où une organisation secrète contrôle la mémoire. Vient s'ajouter à ça une interprétation navrante ; il est en effet lassant de revoir sans cesse les mêmes visages dans des rôles récurrents : Alain Figlarz, Claude Perron, Francis Renaud, Cyril Lecomte, la clique d'Olivier Marchal en somme... Venez rajouter les improbables Patrick Bauchau et Estelle Lefébure dans une grisaille métallique (et oui, notre futur sera gris !) et vous obtenez la S-F tricolore. Mêmes combats chorégraphiés, même rythme lent, même décors claustrophobiques (Paris étant décidément l'unique de ville de France pour le cinéma français)... On fait donc toujours la même recette qui ne convainc hélas jamais, même en s'essayant à la mode ricaine avec des plans léchés, des prototypes de bagnoles futuristes prêtées pour l'occasion et une chanson de 30 Seconds To Mars au générique. Navrant de voir la même routine se proliférer dans le cinéma français.
Ce film manque clairement de rythme, à croire que c’était la priorité du réalisateur. Probablement pour mettre en avant le côté hyper sophistiqué et la lourdeur de l’atmosphère générale. Du coup les faces à faces musclés font taches. Pour ce qui est des acteurs, Dupontel est parfait dans ce rôle sombre, pour le reste du casting c'est plus que limite.
defleppard
Ambiance , scénario très métallique . Bien réalisé mais trop glacial sur la longueur .
Henrico
Les critiques qui ont étiqueté Chrysalis : film de science fiction à la française, sont tout simplement dépourvus de cervelle. Car, disant cela, ils sous-entendent que le film de Julien Leclercq ne pouvait qu'être moyen car en France on ne peut financer la production de films avec d'impressionnants effets spéciaux comme les américains, qui eux, grâce à leur argent peuvent produire des Oblivion, ou des Elysium. Cette idée, très répandue en France, est doublement crétine. Un, elle occulte que d'autres moins argentés que nous, comme c'est le cas de l'Angleterre, peuvent faire mieux que nous. Tout récemment, l'Espagne a produit un petit chef-d'Oeuvre de science fiction "Eva" avec deux trois bouts de ficelles. Deux, cela sous-entend que Chrysalis ne serait pas bon en raison d'un manque d'effets spéciaux, donc de moyens. La médiocrité du scénario, ses nombreux ressorts dramatiques éculés, ses scènes d'action, interminables, archi convenues, et parfois à la limite du saugrenu, ses acteurs qui surjouent, à l'exception de Thierry et de Keller, ses innombrables dialogues fades, voilà entre autres, ce qui objectivement fait que le film est chiant.
Ne me laissera pas un souvenir imperissable ...
Voila un film très décevant de la part du réalisateur Julien Leclercq. Hormis un Albert Dupontel qui s'investit bien dans son rôle, le reste du casting est franchement pitoyable, on n'a vraiment l'impression que les acteurs se foutent totalement du film. D'aileurs que fait Estelle Lefebure dans ce genre de film!!!!!!!!! Elle est franchement pathétique à chaque apparition. Sinon c'est sur que le film a certaines ressemblance avec le Minority Report de Spielberg, surtout au point de vue des images, mais l'histoire est vraiment différente. Par rappport au scénario, justement, personnellement j'ai pas compris grand chose à l'histoire. La mise en scène du réalisateur n'est pas non plus vraiment convaincante. Voilà donc un film français que je ne vous conseille pas. En tout cas ce film reflète quand France on n'est pas capable de faire un film digne de ce nom en matière de Science-Fiction, car c'est un film qui mélange Science Fiction et Policier. En tout les cas, ce film n'est pas de bonne augure pour le cinéma de genre dans notre beau pays.
Redzing
Pour son premier long-métrage, Julien Leclerq s'attaque à un genre habituellement mis de côté par le cinéma français : la SF. Ainsi, dans un futur proche, un flic dur à cuire traque l'homme qui a tué sa femme, et enquête sur de mystérieuses disparitions. On saluera l'ambition du jeune réalisateur, cependant "Chrysalis" ne convainc pas vraiment. Le scénario est développé de manière très maladroite et tortueuse, plusieurs idées évoquées sont à peine exploitées, et l'intrigue, finalement assez simple, semble étirée pour tenir sur 1h30. Question acteurs, Dupontel est le choix idéal pour le rôle principal. Mais il est malheureusement sous-exploité, et guère aidé par des seconds rôles très moyens, voire mauvais (plusieurs personnages sonnent faux, et semblent issus d'un téléfilm médiocre). Sur la forme, le film tente de se trouver une identité avec un style visuel américanisé très sombre (Leclerq aime visiblement beaucoup le noir et le gris !). Mais si les décors et les images sont soignés, l'ensemble repompe trop sur ce qui existe (on pense souvent à "Minority Report"), et les scènes d'action sont parfois confuses. Décevant.
Vinz1
Thriller d'anticipation mâtiné de scènes d’action monumentales et d’une ambiance froide due à sa photographie léchée, « Chrysalis » bénéficie également d’effets spéciaux hors normes pour une production française et d’un casting convaincant (Dupontel en flic revanchard est formidable). Mais il en paie le prix : un scénario qui s’essouffle en atteignant même parfois le prévisible de bas étage. C’est dommage, car cette œuvre sorte de mélange entre « Les yeux sans visage », « Minority Report » et « Renaissance » avec son esthétisme poussé et ses effets spéciaux probants, apparaissait comme atypique dans le petit monde très hermétique du cinéma français pourtant peu enclin à prendre des risques.
Esthétiquement soigné et épuré, ce polar français possède une ambiance futuriste et glaciale qui n'est pas sans rappeler le "Minority Report" de Spielberg. Mais la comparaison s’arrête là. L'intrigue policière n'est pas des plus originale mais il y a de très bonnes choses dans le scénario. Certes ce n'est pas le meilleur du genre, mais c'est une bonne surprise. (Pas mal)
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