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    Caramel
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    289 critiques spectateurs

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    caro18
    caro18

    172 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 octobre 2009
    Il ne se passe rien d'interessant...
    Hotinhere
    Hotinhere

    548 abonnés 4 955 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2021
    Chronique féminine sensible et attachante sur le quotidien d’un salon de beauté à Beyrouth dans un Liban en pleine mutation, mais la multiplication des héroïnes nuit à l’interêt du récit.
    cinono1
    cinono1

    300 abonnés 2 054 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2017
    Film délicieusement sensuel, ode au féminisme, à la beauté, à la différence, au bavardage, à l'humour. Enveloppé dans une très belle lumière, ça ressemble un parfum ce film. Un parfum qui a tendance à s'évaporer un peu vite car la réalisatrice a un peu aseptisé son histoire. Pas mal quand même, la beauté sauvera le monde...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 septembre 2016
    Bravo les filles. J'adore, tout, la moiteur du salon, le sensualité du caramel, la tolérance la vie...
    Caine78
    Caine78

    6 692 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2012
    Quelqu'un écrivait à propos de « Caramel » qu'il était une sorte de « Vénus Beauté libanais ». J'ai trouvé cette comparaison très juste tant on trouve dans les deux films le même cadre, le même type de personnages, les mêmes préoccupations, les mêmes répliques bien senties... Et si cette version arabe est légèrement inférieure à son « modèle », elle n'en est pas moins une jolie réussite. Nadine Labaki (la plus belle réalisatrice-actrice de l'Histoire du cinéma?) dépeint en effet avec beaucoup de sensibilité la vie du quartier dans lequel ses héroïnes évoluent, le tout sans omettre de parler des « sujets qui fâchent ». La religion tient ainsi une place relativement importante dans le récit, mais n'est jamais moquée, Labaki semblant respectueuse de son pays et de ses coutumes. L'essentiel n'est toutefois pas là : il est plus dans le portrait que fait la réalisatrice des différentes femmes composant le récit, toutes attachantes et parfois très drôles, certaines situations s'avérant assez irrésistibles. Alors c'est vrai : le scénario reste assez simple et les héroïnes sont toutes plus sublimes les unes que les autres, mais cela n'enlève rien au plaisir ressenti durant ce délicieux « Caramel », véritable bouffée d'air frais au milieu d'un cinéma oriental souvent grave. Une réussite.
    ffred
    ffred

    1 695 abonnés 4 018 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2010
    Raté à sa sortie. Ce très beau film libanais est un vrai délice pour les sens. Une photo chaude et lumineuse pour des actrices formidables. Une très belle surprise.
    MaxPierrette
    MaxPierrette

    173 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 août 2007
    Comme bien souvent, les meilleures surprises du Festival de Cannes ne sont pas forcément là où on les attend. C’est-à-dire pas dans les films en compétition, mais dans les sections parallèles (Semaine de la critique, Quinzaine des réalisateurs, Un certain regard). L’une de celles de cette année nous est venue tout droit d’un des pays les plus présents dans les informations ces derniers mois : le Liban. C’est à Beyrouth, capitale de cet état alors en proie à la guerre, que Nadine Labaki situe l’action de sa première réalisation, une comédie lumineuse qui entrecroise cinq portraits de femmes se retrouvant dans un même lieu : un institut de beauté où deux d’entre elles sont employées, et qui pratique, entre autres, l’épilation au caramel. Chacune se débat comme elle le peut avec ses problèmes (amour, âge, orientation sexuelle, prise en charge d’un parent âgé au détriment de sa vie sociale…) et toutes se retrouvent au salon pour extérioriser tout ça, avec une liberté de ton aussi inattendue que réjouissante.
    Sans être exempt de défauts (notamment en ce qui concerne les traits de caractères un peu trop stéréotypés de certains personnages), “Caramel” est donc un long métrage tout à fait plaisant, que l’on peut voir comme une sorte de croisement entre Almodovar (notamment “Femmes au bord de la crise de nerfs” ou “Volver”, mais en moins sordide que ce dernier), “Venus Beauté (Institut)” et “Desperate Housewives”, même s’il ressemble surtout à lui-même.
    Maqroll
    Maqroll

    157 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2009
    Un petit bijou de Nadine Labaki, auteur et interprète de cette étude sur la condition des femmes au Liban. L’institut de beauté qui est le lieu principal de l’action du film est un microcosme bouillonnant, révélateur de la personnalité de chacune… Là, les corps s’oublient en même temps que les langues se délient, que les affinités se précisent ou que les amours naissent. La mise en scène est admirable de simplicité et de finesse, l’interprétation d’une homogénéité parfaite et les dialogues tombent toujours juste, sans emphase ni boniment. Un film touché par la grâce qui apporte la révélation d’une grande cinéaste et comédienne dont on attend les prochaines œuvres avec impatience..
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    112 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juillet 2012
    "Vénus beauté" version libanaise! C'est un joli 1er film de Nadine Labaki et même si le scénario ne décolle pas vraiment, c'est tout de même très agréable de voir le quotidien de ces esthéticiennes dévoilant quelques difficultés de la condition féminine dans ce pays. Beaucoup de grâce et de finesse dans la mise en scène ce qui fait tout le charme de ces plus en plus nombreuses oeuvres dirigées par des réalisatrices au regard si différent du masculin...
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2012
    Le caramel, nous le voyons dès le générique, filmé en gros plans alors que des mains de femmes chargées de bracelets le cuisinent et le malaxent. Il ne s'agit pas de le manger, ou alors incidemment ; il fait ici office de crème épilatoire, et Layale s'en sert deux fois comme instrument de sa vengeance, contre la femme coupable d'être l'épouse de son amant, et contre le policier coupable de la verbaliser, et accessoirement de l'aimer.

    "Caramel" se présente tout d'abord comme une succession un peu décousue de scènes montrant la vie des protagonistes de ce Venus Beauté Institut oriental. Le plus souvent filmé en intérieur et en plans serrés, ces scènes pourraient se dérouler dans n'importe quelle ville méditerranéenne. Nulle trace de bombardements, d'attentats suicides ou de tensions inter-communautaires. Au contraire, le salon Si Belle apparaît comme un microcosme de cette représentation du Liban d'autrefois, qu'on avait baptisé "la Suisse du Proche-Orient", et à qui la réalisatrice dédie le film par ces mots "A mon Beyrouth".

    Il y a bien une lettre affaissée sur l'enseigne du salon, symbolique du délabrement de la capitale libanaise, ou un milicien qui qualifie d'attentat à la pudeur la discussion nocturne de Nisrine et de son fiancé dans la voiture de ce dernier, ou encore l'opération de cette même Nisrine qui se fait recoudre son hymen avant son mariage (sous le pseudonyme "français" de Julie Pompidou !) Mais cette opération donne justement lieu à une mobilisation solidaire de toutes les femmes du salon, et si le choix de la scénariste-réalisatrice (et actrice principale) chrétienne de raconter cet épisode n'est pas innocent, la tendresse avec laquelle elle filme la discussion de la mère de Nisrine avec sa fille la veille de son mariage est là pour nous montrer qu'il n'y a pas de jugement.

    De même, si c'est bien entendu le point de vue des femmes qui prédomine, les hommes sont plutôt sympathiques, à l'exception de l'amant de Layale qu'on ne voit d'ailleurs jamais. Au fur et à mesure qu'avance le récit, l'impression de manque d'unité s'estompe, et malgré une musique un peu loukoumesque, les personnages finissent par prendre de la consistance, à l'image de Lili, que Nadine Labaki raconte avoir créé en s'inspirant d'une Madame Butterfly libanaise, amoureuse d'un militaire français reparti dans son pays et dont la famille interceptait les lettres. La scène finale du mariage fait contrepoint à un autre mariage du cinéma libanais, celui du "Cerf-Volant"de Randa Chahal Sabbag, où la frontière israélo-libanaise séparait les deux mariés. Dans cet Orient compliqué vers lequel De Gaulle volait avec des idées simples, Nadine Labaki a choisi la voie de l'optimisme et nous entraîne avec elle.

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 décembre 2020
    Caramel, premier long-métrage signé par Nadine Labaki, a eu les honneurs d’une sélection à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2007 et a remporté la même année plusieurs prix au festival de San Sebastián. Ici, la réalisatrice est aussi devant la caméra puisqu’elle interprète l’une des cinq femmes, d’âges, de confessions et issues de milieux distincts, habituées à se rencontrer régulièrement dans un institut de beauté au cœur de Beyrouth. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/festivals/travelling/travelling-2020/
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2020
    Drôle, sensible et émouvant, ce très beau portrait de femmes libanaises est autant une déclaration d’amour à Beyrouth et au pays du Cèdre qu’une satire en règle de l’hypocrisie d’une société patriarcale, avec son lot de traditions marquées par la domination masculine. Entre légèreté et gravité, rires et larmes, cette plongée dans le quotidien doux-amer d’un institut de beauté de la capitale libanaise se laisse suivre avec le plus grand des plaisirs, et l’on se prend à participer aux discussions des différentes protagonistes, qui gravitent souvent autour des histoires de cœur des unes et des autres. Les actrices sont toutes splendides, à commencer par Nadine Labaki elle-même, aussi remarquable devant que derrière la caméra. Délicieux.
    xavierch
    xavierch

    46 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2012
    Un film très esthétique (comme le salon où le film se passe), qui nous montre les sentiments de ses femmes libanaises, mais qui manque d'un scénario un peu plus conséquent, mais cela reste agréable à regarder.
    selenie
    selenie

    6 226 abonnés 6 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2007
    Superbe film sur les femmes... Almodovar a du aimer ce film. Ces 6 femmes (n'oublions pas les 2 anciennes touchantes comme tout) font un panel de charmes certains. La vie n'est pas facile et l'amour encore moins. Les petits clins d'oeil politique et social sont les bienvenus et nous font partager un peu de Liban. C'est beaux, exotiques et un peu triste...
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    350 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 octobre 2015
    Petite escapade de cinéma Libanais entre romance ambiguë et soins capillaires. Si le côté alléchant du caramel nous fait saliver durant le générique, la platitude du reste est une réelle déception. Une œuvre exclusivement féminine, faisant preuve de toute la délicatesse imaginable et d'une guimauve à couper le souffle. D'ailleurs ce souffle est coupé juste après la présentation des personnages; présentation pour le moins abstraite et dénuée de sens. On s’efforce ensuite de penser que l'actrice/réalisatrice Nadine Kabaki songera à passer en seconde, nous emmener au vif du sujet. Hélas ce n'est pas le cas. Cette romance en pente douce et sans réel enjeu, ne fait que grattouiller en surface des émotions humaines sans y apporter la moindre intensité. L'absence totale de rythme finit par nous terrasser d'ennui dès la 1ère partie. Dommage car les intensions étaient bonnes et le dépaysement oriental réclamait toute notre attention. En définitive, et sans vouloir paraitre misogyne, on se retrouve devant un film de "bonne femme" pur et dur, et mou du genou à l'extrême. Radicalement décevant. 1,5/5
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