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traversay1
3 645 abonnés
4 878 critiques
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1,0
Publiée le 20 décembre 2008
Un film qui se voudrait poétique et qui est d'un ennui pathétique. HHH s'endort derrière sa caméra, parfois réveillée par l'hystérie de Binoche (qu'est-elle venue faire dans cette galère ?)et le spectateur laisse son esprit vagabonder son esprit comme le ballon rouge du titre. Un scénario ? Ah, non désolé, il n'y a pas de scénario. Tristesse.
Le cinéaste Hou Hsiao Hsien propose avec LE VOYAGE DU BALLON ROUGE un moment d’apaisement et d’onirisme, émergeant de douces paroles, de belles personnes, de simples moments de la vie et d’une manière atypique de poser la caméra où il faut, de rendre chaque plan agréable à l’image en adéquation avec le propos et l’ambiance et surtout d’arriver à rendre son récit cohérent, fluide, décomplexé. Juliette Binoche pleine de retenue, de simplicité, naturelle et attachante, rayonne à chaque instant. Une œuvre qui déconcerte à l’image de son je-ne-sais-quoi qui la rend inclassable et son étrange et infinie captation de l’être humain, source de magie que l’on doit entre autre à la personnalité cinématographique d’un cinéaste empreint de douceur, d’un indéfinissable talent pour un film dont le charme et la magie opèrent et nous hypnotisent.
Avec ce film, le cinéma atteind le paroxisme du PNC (paris-nombrilisme-chiant). Il faut etre masochiste pour aprécier les dialogues entre le gamin qui mangent ses mot et la baby sitter qui peine a parler francais. Ensuite, il ne se passe RIEN, la vie banale d'artiste parisien n'interresse personne mais on fait des quantités de film sur ce sujet. Après, quelques critiques professionnelles nous vantent la mise en image et en lumière de l'ensemble, mon point de vue serait de proposer une exposition sur cet "oeuvre" mais pas le presenter comme un film. C'est aussi le premier film que je ne regarde pas en entier, d'habitude j'arrive à finir les pires navets. C'est pour dire.
On a pu apprecier l'univers poetique du cineaste taiwanais(remenber Millenium Mambo)qui sait a merveille insuffler de la grâce dans le quotidien de ses personnages. Pourtant, dans ce film initié par le musée d'Orsay, l'absence d'evenements dramaturgiques pose probleme et agace. Le ballon(fil) rouge ne suffit pas à rendre le film lyrique
Une pépite, qui peut je l'admets, dérouter ! Mais, si on prend la peine de s'installer, de se laisser envahir par la douceur de la caméra, pourtant intruse, de HHH, on a affaire à un film magnifique sur une cellule familiale éclatée. Quant à vous, Juliette, une nouvelle fois, vous resplendissez et HHH nous livre les radiations de votre jeu ! Joyce et juliette sont dans un bateau, Joyce tombe à pic, qui reste à quai ?
Le Voyage du ballon rouge de Hou Hsiao Hsien (Three Times - 2005) est une commande du Musée d’Orsay à l’occasion des 20ans du musée. Le réalisateur s’est d’ailleurs très largement inspiré du moyen-métrage Le Ballon Rouge (1956) de Albert Lamorisse. Avec son film, on se demande bien où a voulu en venir le réalisateur car on a beau se creuser la tête, si l’on ne sombre pas dans un sommeil profond, c’est que l’on est ailleurs. Car cette ballade parisienne est exténuante, car trop longue et lassante. La caméra scrute le ciel à la recherche du fameux ballon rouge, une fois qu’elle la trouvé, elle ne le lâche plus et c’est ainsi que l’on obtient des plans de 5 minutes sur un seul et unique objet volant. Que représente t-il et que signifie t-il au juste ? Nous n’en serons rien, si bien que seul les acteurs arrivent à nous tenir éveillés (merci Juliette Binoche), pour le reste, il faudra hélas voir ailleurs.
Je m'insurge en général derrière mon petit écran contre les critiques qui descendent en flamme, parfois avec une violence qui laisse pantois, ce qu'ils sont allés voir sur grand (écran, donc) Mais là, je ne peux que rejoindre ce qui a été dit par les 0 étoiles !! Pour moi aussi, une des rares fois où je suis partie en cours d'"histoire", si on peut dire !
Le petit Simon est vraiment craquant, mais c'est bien là le seul élément de charme de ce film soporifique au dernier degré ... Une insipidité léthargique rarement égalée, des dialogues beaucoup plus plats, creux et vides que dans la vraie vie, débités, notamment par la baby sitteuse (sic), en mode molle récitation. Non seulement il ne se passe vraiment rien, mais il n'y a pas non plus la moindre profondeur psychologique, Quant aux qualités cinématographiques, que dire par ex, de cette scène dans la mini de Binoche, qui se passe quasi intégralement à l'intérieur d'un tunnel !!! Allez plutôt voir pendant qu'il est encore temps le si beau "Ce que mes yeux ont vu" malheureusement si peu médiatisé !!!
Quel ennui ! Il n'y a aucune trame dans ce film, aucun fil conducteur, si ce n'est ce mystérieux ballon rouge. La poésie des images et les plans m'ont laissé de marbre. Et en plus j'étais mal installé dans mon fauteuil, je suis ressorti avec le dos en compote. Seul point positif : le beauté de Juliette Binoche
Certains passages sont un peu trop longs. Mais je pense que c'est le style de ce réalisateur car ces passages arrivent à donner un certain charme au film. Spécial, différent et stylé.
La 2ème fois de ma vie que je sors d'une salle obscure avant la fin du film ! Lent, ennuyeux à mourir, le personnage de la baby-sitter est d'une mollesse soporifique, son timbre de voix monocorde... bref, je ne recommande ce film à personne !
J'avais même oublié que Juliette Binoche était une aussi grande actrice. Elle est extraordinaire de naturel dans ce film qui nous parle mieux que nous ne le ferions nous-mêmes les Parisiens de notre vie quotidienne pleine de problèmes et de stress. Ce film me donne envie de redescendre sur terre pour refaire un film. Bravo, Monsieur HOU!
Un super-film que j'ai vu hier. Si le cinéma français produisait des films comme "Le Voyage du Ballon Rouge", on irait pas voir des films venus d'ailleurs....des Etats-Unis, d'Iran, de Chine,.....Je le recommande à tous.