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Votre avis sur Camping 2 ?
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maintenant je me souviens pourquoi je ne m'en souvenais plus. ça se laisse regarder mais ça s'oublie aussi vite, un peu poussif. Gérard Lanvin n'ayant pas voulu reprendre son rôle, Anconina a été appelé en sauveur, il est sympathique mais justement trop ce qui atténue effet comique entre le campeurs et celui qui se retrouve là par hasard.
soniadidierkmurgia
Le cinéma de Fabien Onteniente pourrait sans doute avec celui de Dany Boon représenter l'archétype de la comédie populaire française d'aujourd'hui tant au niveau des sujets choisis que de la façon de les traiter. La nuance n'est donc pas le moyen d'expression privilégié du réalisateur qui tombe plus souvent qu'à son tour dans une outrance qui handicape ses films les moins réussis comme "Jet Set", "Disco" ou "Turf". Profondément humaniste et jamais méprisant avec les milieux et les gens qu'il dépeint, Onteniente peut être parfois inspiré comme dans "Grève party" (1997) où son portrait des habitants d'un quartier de Paris (la place Ste Geneviève) lors d'une grève des transports est particulièrement sincère, juste et souvent touchant. La saga "Camping" se situe de façon presque miraculeuse au point d'équilibre de l'univers narratif d'Onteniente. C'est sans doute ce qui explique le succès populaire rencontré par chaque épisode. La présence de Franck Dubosc à l'écriture aux côtés du réalisateur n'y est assurément pas étrangère. Connaissant parfaitement les mœurs des campeurs pour avoir lui-même été longtemps un des leurs, le comique normand trouve avec le personnage de Patrick Chirac la transposition rêvée de son personnage de beauf dragueur qui habite ses spectacles. Le tour de force réussi par les deux hommes est d'avoir su dès le premier opus laisser apparaître les fêlures de cet adolescent trop vieux qui est resté définitivement scotché sur ses dix sept ans. Souvent mal utilisé au cinéma, Dubosc livre avec "Camping" une interprétation qui prend ses sources chez les grands acteurs de la comédie italienne qu'étaient Nino Manfredi et Albert Sordi. Tellement impliqué, sincère et véridique, Dubosc fait bizarrement ressortir l'outrance de certains des personnages secondaires comme Jacky Pic le retraité ronchon et alcoolique joué par Claude Brasseur ou encore Sophie Gatineau l'épouse insatisfaite du droguiste (Antoine Duléry) jouée par une Mathilde Seigner dont ce n'est visiblement pas l'emploi. C'est sans doute la relative faiblesse du film, mais l'apport de l'intrus campé cette fois-ci par Richard Anconina à la place de Gérard Lanvin la compense largement grâce au plaisir que l'on prend à voir un réfractaire se laisser gagner peu à peu par la gentillesse désarmante de Patrick Chirac qui emporte tout sur son passage. Ceux qui ont un jour fréquenté les campings savent que le scénario vise souvent juste et se retrouvent donc en terrain connus. Mais on l'a dit, l'humanité de Fabien Onteniente ne blesse jamais personne et permet à chacun de s'identifier sans se sentir humilié. Les campeurs sont sans doute restés de grands enfants qui aiment passer devant la tente de leurs copains d'un été pour aller à la plage comme ils le faisaient autrefois devant la maison des parents de leur pote d'école pour passer ensemble le mercredi après-midi. Le film s'approprie donc en la moquant gentiment une des conquêtes les plus marquantes du Front Populaire que sont les congés payés et dont le camping est devenu à partir des années 60 l'expression la plus démocratique. Dans ce deuxième épisode, les locataires du" camping des flots bleus" vont devoir lutter contre un édile corrompu qui entend vendre à des espagnols (clin d'œil à la destination favorite des campeurs français dans les années 60 et 70) "leur" terrain pour y édifier un spa. L'unité, un moment menacée comme souvent au sein des groupes, va jouer à fond pour faire capoter le projet. Onteniente moins à l'aise avec cette intrigue surajoutée, s'embourbe un peu pour conclure de manière crédible son film mais l'essentiel qui tient dans la description des mœurs de la petite équipe a été assuré. En route hardiment pour un troisième épisode !
Sans doute l'épisode le mois convaincant de la trilogie. Sans doute que l'appât du gain aura trop tuer la créativité du projet. L'histoire s'articulant autour d'une mission pour sauver le camping de sa fermeture est pas terrible. Retrouver les personnages est satisfaisant oui, mais comme ils ont pas spécialement évolué, c'est long et ennuyant de les revoir en vacances à la plage.
Pas vraiment un must-see, même pour les fans inconditionnels.
Pas vraiment un must-see, même pour les fans inconditionnels.
2ème plus gros succès au box-office de l’année 2010 pour un film français avec près de 4 millions de spectateurs et pourtant c’est du niveau de Camping 1, c’est-à-dire très mauvais.
L’histoire est digne des réalisations de Max Pécas ou de Robert Thomas et d’ailleurs, c’est peut-être pour cela que l’on a droit cette fois à une incursion dans le camping des nudistes !
N’y allez pas et pourtant cela ne dure que 99 minutes !
L’histoire est digne des réalisations de Max Pécas ou de Robert Thomas et d’ailleurs, c’est peut-être pour cela que l’on a droit cette fois à une incursion dans le camping des nudistes !
N’y allez pas et pourtant cela ne dure que 99 minutes !
"Camping 2" est une suite quasiment identique à l'œuvre originale, et je dois dire que les deux volets ont plus ou moins le même niveau, avec les mêmes qualités et les mêmes défauts. À savoir qu'ils sont des films moyens, mais sans plus. Je sais que beaucoup de gens n'aiment pas vraiment cet épisode et je peux parfaitement les comprendre, car certains défauts sont très visibles. Tout d'abord, on a l'impression de revoir un peu trop le premier volet à certains moments. Le scénario est très ressemblant à celui du précédent, il ne propose rien de bien nouveau à ce niveau-là. Par conséquent, on est un peu trop en terrain connu, on aurait aimé un peu plus de nouveautés. Déjà que le premier n'était pas très prenant, c'est donc encore pire ici. Par conséquent, le rythme est très inégal, avec une première partie très lente et une fin (les vingt dernières minutes) qui est pliée beaucoup trop rapidement, étant donné que le point central de l'intrigue arrive au bout d'une heure de récit ! Comme le film n'a rien à raconter, il se contente de meubler, et ce n'est clairement pas comme cela que l'on remplit un film. Mais sinon, pour le reste, le film reste quand même assez drôle par moments. Ce n'est rien de bien incroyable, mais on retrouve plus ou moins la même démarche que le premier. Les relations entre les personnages restent intéressantes, et leurs interprètes arrivent encore à faire fonctionner leurs alchimies. Cependant, il est important de préciser que c'est encore, et évidemment, destiné au grand public. Ne vous attendez donc pas à des gags très recherchés. C'est écrit de façon très classique, l'humour va bien plus venir du montage ou du jeu des acteurs, que de l'écriture en elle-même. Ce second film est donc assez moyen dans sa globalité, mais j'ai tout de même passé un moment plutôt sympathique devant celui. Je ne le recommanderai pas forcément, à part pour le grand public, mais c'est une suite acceptable. Pour conclure, une suite dans la lignée de ce que l'on connaît déjà.
AV ciné
Une suite plutôt moyenne de Camping !
L'histoire est passable mais elle est moins bonne que dans le premier film, l’univers du camping reste par contre satisfaisant.
Franck Dubosc est toujours aussi bon dans son rôle mais en revanche Richard Anconina qui interprète le petit nouveau n’est pas très marquant, Mathilde Seigner, Antoine Duléry, Claude Brasseur et Mylène Demongeot sont par contre encore sympathiques.
Les décors restent corrects, le camping est toujours aussi appréciable et le bassin d’Arcachon est encore plaisant.
La voiture de Patrick est amusante et l'ambiance reste assez agréable.
Les gags et les répliques ne sont en revanche pas aussi réussis que dans le premier opus, les scènes cocasses sont également moins drôles.
Un 2ème volet donc mitigé, certes les acteurs sont toujours aussi acceptables mais le scénario et l'humour ne sont vraiment pas transcendants.
C'est décevant par rapport au premier.
L'histoire est passable mais elle est moins bonne que dans le premier film, l’univers du camping reste par contre satisfaisant.
Franck Dubosc est toujours aussi bon dans son rôle mais en revanche Richard Anconina qui interprète le petit nouveau n’est pas très marquant, Mathilde Seigner, Antoine Duléry, Claude Brasseur et Mylène Demongeot sont par contre encore sympathiques.
Les décors restent corrects, le camping est toujours aussi appréciable et le bassin d’Arcachon est encore plaisant.
La voiture de Patrick est amusante et l'ambiance reste assez agréable.
Les gags et les répliques ne sont en revanche pas aussi réussis que dans le premier opus, les scènes cocasses sont également moins drôles.
Un 2ème volet donc mitigé, certes les acteurs sont toujours aussi acceptables mais le scénario et l'humour ne sont vraiment pas transcendants.
C'est décevant par rapport au premier.
Florent B.
Et c'est reparti pour un deuxième volet. Même si c'est clairement réchauffé sur le premier, on sourit parfois. Franck Dubosc porte, comme à son habitude, tout le film sur ses épaules. On frôle tout de même le ridicule par moment. Antoine Duléry et Claude Brasseur complètent ce trio infernal, qui sauve Camping 2 du naufrage...
A deux-trois trucs près, ce "Camping 2" n'est qu'un clône du premier opus. Mêmes acteurs, même histoire et même humour à deux sous. Le premier film était déjà bien nul et il ne faut pas compter sur cette copie pour remonter le niveau. A fuir.
2e opus avec les mêmes acteurs que le 1 (sauf Lanvin qui a été remplacé un autre personnage interprété par Anconina) et bien j'ai aussi bien apprécié ce 2e film que le premier, c'est sympa et léger. Les notes spectateurs sont quand même abusées, il ne mérite pas 1,8/5, le film a été bashé ! Moi je vais mettre la même note que le 1er, à savoir 3/5 !
Camping 2 est un film divertissent mais sans plus. Certains personnages sont attachants mais les répliques lourdes car elles restent dans le même thème que le 1, alors qu'on s'attendrait à un peu de nouveauté dans les gags
Un film bien creux qui n'a pas la saveur du premier par manque d'un scénario digne de ce nom. Pas terrible.
ferdinand75
Un bien faible 2e opus ; Rien de bien nouveau, beaucoup de répétitions dans les gags. On rit très peu, l'effet de surprise ne joue plus. Anconina n'est pas très bon , il n'incarne pas aussi bien le personnage coincé que Lanvin qui donnait vraiment du corps à son personnage. Le scénario est long et doit introduir l'épisode insipide des acheteurs espagnols pour tenir la longueur. Les acteurs se répétent , Dubosc fait son numéro habituel, lourd mais efficace. Pas assez d'imagination pour un Opus bien triste.
ned123
J'ai vu un film... d'une autre époque, un film qui reflète la splendeur des années 80, presque la naissance des congés payés, avec des personnages tous plus caricaturaux les uns que les autres, mais en même temps interprété avec tellement de sincérité, notamment Franck Dubosc que je trouve irrésistible. La qualité première de ce film est de montrer de "simples gens" qui vivent simplement leurs vacances, et qui les savourent. Alors, bien sûr, ça ne monte jamais très haut. Les dialogues restent savoureux, mais là encore, ça ne monte jamais bien haut. Malgré tous ses défauts visibles comme le nez au milieu de la figure, ce film est attachant, en même temps il donne aussi l'impression de bien coller au maillot de bain, comme les grains de sables que l'on ramène de la page et dont on se souvient avec nostalgie lorsque l'hiver fut venu...
mouai c est deja mieux que le premiers mais c est pas le top l humour est vraiment pas terible pareille pour le scénario bref une suite vraiment pas etrrible mais mieux que le prmiers car y a quands 2 ou 3 mmetn ou j ai fais un petits sourir 2/5
Quelques passages qui prêtent a rires. Mais sortie de cela, un scénario assez fade ou brasseur en beauf et seigner (difficilement supportable) en fille voulant voir de nouveaux horizons, font pales figures. Dubosc fait que du dubosc. Anconina s'en sort mieux. Moyen.
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