Avis : Camping 2 - Page 7

nul

On est au camping au bord de la mer comme lors de la première édition. On se renouvelle mal, on va à la plage comme avant, on se baigne, et on essaye de surnager. On aurait mieux fait de couler tiens... Le pire, c'est qu'il parait qu'il y a un troisième épisode de prévu.

Si le premier se laissait regarder, renouant avec les comédies franchouillardes des années 80, ce deuxième épisode est en bonne place pour devenir le nanard de l'année. Un film plat, sans scénario aux répliques et aux gags lourdingues...

Manque complet d'originalité, copié-collé du premier. Bon moment quand même, mais si prévisible ! Fin téléphonée :)

A chier ! et c'est peu dire.

C'est le meme scénario que le premier sauf que Gérard Lanvin est remplacé par Richard Anconina. Donc la suite ne sert strictement à rien ! Terminé

Autant le premier volet avait quelques scènes drôles, autant celui-ci est vraiment pitoyable... On s'ennuie, on ne rigole pas, les situations et les blagues sont littéralement du déjà vu... Vraiment, je ne le conseille pas !

A deux-trois trucs près, ce "Camping 2" n'est qu'un clône du premier opus. Mêmes acteurs, même histoire et même humour à deux sous. Le premier film était déjà bien nul et il ne faut pas compter sur cette copie pour remonter le niveau. A fuir.

Un bien faible 2e opus ; Rien de bien nouveau, beaucoup de répétitions dans les gags. On rit très peu, l'effet de surprise ne joue plus. Anconina n'est pas très bon , il n'incarne pas aussi bien le personnage coincé que Lanvin qui donnait vraiment du corps à son personnage. Le scénario est long et doit introduir l'épisode insipide des acheteurs espagnols pour tenir la longueur. Les acteurs se répétent , Dubosc fait son numéro habituel, lourd mais efficace. Pas assez d'imagination pour un Opus bien triste.

J'avais bien aimé le premier volet, mais après un tel raté, je me demande encore pourquoi. Peut être parce que Anconina n'est pas Lanvin. Même si on lui doit la réplique du film: spoiler: "Alors on attends pas Jean-Pierre"
., Je pense que ce film devient presque une caricature du premier opus, il en devient beauf, alors que le premier opus nous compté avec tendresse l'histoire de beaufs. Ici plus de tendresse, ça en devient pathétique, Dubosc est très pale, même plus de blague lourde, il est presque transparent, c'est pire. Heureusement qu'il reste Mathilde Seigner qui pousse des gueulantes et la scène des fouilles archéologiques. Mais mis à part ça, on sombre dans l'ennui et le non humour.

Un film sans prétention à voir en pensant aux vacances

Quelle déception... Quelle déception... Non mais quelle déception... Sérieusement, ils ont osé sortir une suite aussi décevante? Autant ne rien faire plutôt que de faire cela... Par où commencer? Je ne sais pas du tout. Non mais quelle déception! Bon, je vais arrêter de me répéter, sinon vous allez complètement décroché de ma critique! Après nous avoir sortit une très bonne comédie que j'avais énormément apprécié, "Camping", forcément que les producteurs souhaitaient surfer sur la vague de son succès et en sortir un nouveau! Mais les mecs, pourquoi nous pondre une daube pareille?! Le premier partait si bien, avec des idées tellement bonnes et un concept si bien traité! Là, non, c'est du massacre! "Camping 2" est clairement un film fait pour des raisons commerciales, et pour aucunes autres. Il ose reprendre les gags et les répliques de son prédécesseur sans aucune conviction ni dynamique, et nous déblatère des répliques mollassonnes prononcées par des acteurs tous moins engagés les uns que les autres. Où est passé Gérard Lanvin? Où s'est donc caché le duo savoureux et très drôle de Chirac et Saint-Josse? Où s'est barrée la satire humoristique et bienveillante de ces gens de peu que l'on nous présentait dans le premier film ( n'y voyez surtout aucune généralité, je ne parle que des personnages et ne fait aucune généralité )? Et c'est justement cela qui prouve que les scénaristes n'ont rien compris à l'oeuvre précédente. Ils imitent la forme, mais n'arrivent pas à reprendre et à reproduire le fond. Ainsi, on transformera les personnages du premier en vrais ploucs ou en modestes prétentieux qui se prennent pour ce qu'ils ne sont pas, allant dans l'excès jusqu'au possible ainsi que jusqu'au faisable. Ils n'appuieront pas le côté sentimental de la chose, et survoleront la personnalité des personnes qui défilent à l'écran, pensant qu'on la connait du long-métrage précédent. Et justement, c'est là leur principal défaut : ils reposent sur leurs lauriers en pensant que la sauce va prendre une nouvelle fois. Encore aurait-il fallu mettre le feu sous la sauce et lui fournir un chouilla de piment, qui lui aurait donné un goût sans aucun doute meilleur. Là, c'est fade, comme la mayonnaise au McDo ( oui, je sais, superbe référence et magnifique comparaison ) ou les nems dans un resto à volonté, alors qu'il aurait pu nous laisser un bon goût dans la bouche comme le café d'un restaurant de qualité. Les acteurs sont aussi bien choisis que la nourriture en boîte est génialement bonne, mention spéciale à celui qui interprète le rôle du bad guy, délibérément mauvais, à tel point qu'il ressemble à un l'union d'un Mr Bean à la retraite et d'une moule ( oui, je sais, c'est très logique ). Les sous histoires se multiplieront comme le choix de nourriture d'un restaurant qui devient trop gourmand, avec une telle force et une rapidité si poussée qu'on en perdra tout intérêt. Déja qu'il en possédait peu, alors si on lui coupe toute logique et toute attention, que reste-t-il? Là, on ne rit plus, comme quand on est tombé sur un os dans la viande, on sourit à peine à des répliques pompées et mollassonnes, qui nous captent à peine et nous font sentir le réchauffé. Vous l'aurez deviné, il n'y aura plus aucune alchimie entre ce nouveau duo ( parce qu'il en faut forcément un ), Richard Anconina laissant clairement entendre qu'il n'en a rien à battre de ce qu'il fait. Bon, Dubosc est toujours aussi bon ( en même temps, c'est un peu son meilleur rôle, ne nous le cachons pas ). Et puis, Anconina n'a pas la moindre présence. Sa seule place se trouve dans "La vérité si je mens!", pas dans "Camping"! Il n'a pas de charisme, pas de personnalité, pas de jeu d'acteur convaincant. Je vais sans aucun doute me mettre ses fans à dos, mais il fallait que ça sorte! Lanvin manque, et cela se fait ressentir de partout dans le film, tant sur le jeu des acteurs que sur l'âme du film. L'équilibre n'est plus là, et cela fait mal lorsque l'on aime beaucoup le premier film! Et puis la fin est tellement bâclée! Ils se sont pas foulés, les mecs! Et vient là que je te sort une excuse pourrie pour justifier une fin nullissime! Et allez que ça balance tout ce qui est cliché. spoiler: Même le retour de Gatineau du camps des nudistes est passé à la va-vite. Le mec a même pas le temps d'y rentrer qu'il en sort déja. Paye ta logique!
. Cette fin est tellement vite arrivée et vite clôturée que j'ai eu l'impression qu'il ne s'était rien passé d'intéressant dans le film, et que rien ne s'était déroulé sous mes yeux. Une grosse déception que ce "Camping 2" qui n'atteint jamais le but visé et se repose sur une réputation déja bien établie, sans manquer de la briser au passage. Mauvais et loin d'être drôle. Et dire qu'un dernier "Camping" devrait voir le jour...

Quelques passages qui prêtent a rires. Mais sortie de cela, un scénario assez fade ou brasseur en beauf et seigner (difficilement supportable) en fille voulant voir de nouveaux horizons, font pales figures. Dubosc fait que du dubosc. Anconina s'en sort mieux. Moyen.

Pertinent, drôle avec un Franck Dubosc vraiment en forme quo vous donne une pêche d'enfer.
Le second volet est vraiment à la hauteur du premier avec une équipe de comédiens au top.
Bravo et vivement la suite !

Si, dans le premier film, Fabien Onteniente avait quelques bonnes idées pour nous faire rire sur des stéréotypes de pauvres types en vacances, son manque d’inspiration pour cette suite est criant. A l’écriture du scénario, les auteurs ont jugé préférable de jouer davantage avec les sentiments des personnages tout en renouvelant trait pour trait la même histoire. L’humour est donc encore plus minable et les petites histoires des campeurs n’ont rien à nous offrir sinon une apothéose de la culture beauf. Au final, ce qui est impressionnant c'est de voir à quel point le personnage sympathiquement ridicule de Dubosc nous fait oublier son jeu honteux.