Une histoire très interessante mais un film qui devient plat au fur et à mesure. L'impression que ça n'avance pas, presque lassant par moments. Un personnage attachant au début, mais qui devient pesant... Le fim parait long, et tourné de façon trop banale... Pourtant les acteurs sont bons, l'histoire aussi, et dans sa globalité, il est plutôt interessant !
Fiim captivant de par son sujet, et l'interprétation de l'acteur principal est époustouflante. Ellen Barkin, qui joue la mère, livre aussi une composition de premier plan, et quelle ne fut pas ma surprise en voyant son nom à la fin au générique. (Se rappeler aussi de son rôle dans Requiem for a Dream.) On ne saura jamais ce qui est vraiment arrivé au vrai Nicholas Barclay, surement tué par son demi-frère.
Dommage que le film comporte des erreurs de dates un peu surprenantes. L'histoire aux Etats Unis se passe en 2000, et l'mposteur qui dit un moment donné avoir 24 ans, se contredit un peu plus tard en disant qu'il est né en 1973. Donc il a en fin de compte 27 ans en l'an 2000 ! Et donc en 2006, en Savoie, il a 33 ans !!!
Je mets tout juste la moyenne à ce film, car malgré une histoire tirée d'un fait divers intéressant, je me suis parfois ennuyée, et je pense que l'ennuie est ce qui détruit un film. Bonne performance des acteurs. Et il y a également une envie de connaitre la vérité qui naît chez le spectateur et qui reste jusqu'à la fin du film.
Une petite deception pour ce film dont la bande annonce promettait beaucoup plus! L'histoire et les personnages sont intéressants, les acteurs sont plutôt bons, mais de nombreuses scènes trainent en longueur, ce qui ralentit le film et donc notre intérêt... A voir pour l'atmosphère qu'il dégage (lourde et tendue) et parce que c'est une histoire vraie !
Le caméléon, film canadien tourné en Espagne, en France et majoritairement à la Nouvelle-Orléans aux États-unis est un film psychologique réalisé par Jean-Paul Salomé. Le réalisateur nous plonge dans une famille ‘’white-trash’’ prolétaire d’une Nouvelle-Orléans post Katrina. Une esthétique américaine si je puis dire ainsi, avec des grands ponts américains, des usines, voiture garé en plein milieu de terrains vagues , mais il y a l’esthétique New-Orlean avec les maisons typique de ce petit coin d’Amérique et surtout ses Bayous. Grondin est crédible dans son rôle de menteur, manipulateur, et il arrive par son jeu à montrer qu’au fond son personnage est un peureux, angoissé qui tente à faire vivre des émotions à son égard chez les autres. Mention spéciale pour Ellen Barkin qui campe le rôle d’une mère désabusé, drogué et alcoolique, cette mère au corps désarticuler qui aspire à la saleté même, un jeu vraiment irréprochable. Le réalisateur se plait à faire des vas et viens dans le temps, qui ne sont pas gênant. Le film tente a tirer beaucoup d’émotion mais au final c’est beaucoup de pleurnichage rythmé par une petite musique d’intrigue irritante : dès l’instant où on l’a captée on ne s’en défait plus. Le réalisateur alterne caméra épaule et traveling Au final on ne s’attache pas réellement aux personnages, même si chaque acteur les défend bien. Le film est beau et a tout pour plaire. Pourtant je n’en sors pas complètement convaincu.
Marc-André Grondin incarne à merveille ce jeune perdu qui joue les victimes ! Le scénario tient la route (inspiré du réel donc forcément, c'est crédible...) et les acteurs sont bons ! Alors évidemment, si vous vous attendez à de l'action, des explosions ou des supers effets spéciaux, vous allez êtres déçus : on n'est pas dans Star Wars ! Une plongée dans une famille américaine quasiment plus inquiétante que le Caméléon lui-même.
Le sujet était intriguant, le scénario se déroulait bien, et le jeu des personnes étaient très agréables. On pouvait souvent se perdre dans les sentiments des personnages et leurs doutes.
Vraiment, un très bon film, mais le scénario se trouble vers la fin. L'histoire se recompose tellement par petits bouts dans le désordre qu'il en devient trop compliqué pour en saisir l'aboutissement.
Néanmoins, malgré les très mauvaises critiques qui peuvent tomber sur ce film, il reste très intéressant et à voir, même si l'on reste un peu perdu et donc parfois lassé.
Pour ma part, malgré ces points noirs, je ne l'ai pas trouvé ennuyeux mais plutôt prenant. J'ai été sous le charme, alors que je suis très difficile en matière de film. Je pense qu'après autant d'avis controversés, il s'agit aussi d'un avis personnel.
Ah OUI !!! IL EST IMPORTANT DE SAVOIR : Que si l'histoire est ambigüe, et s'il manque des pièces qu'on aura jamais, c'est parce que c'est une histoire vraie, et que le protagoniste de cette histoire est encore vivant, qu'il a demandé à ce que le film reste une fiction et que certaines choses restent dans l'ombre.
Dommage, une grande déception, l'idée est là, on peut voir un début de bon film, mais ça s'arrete là. Pas très bien joué, quelque anomalie (un plan ou on le voit en voiture aller boire un coup puis après quand on lui demande de conduire il sort qu'il à pas sa licence...)... bof quoi...
Excellent les acteurs ! Emilie de ravin prouve son role d'actrice à merveille ! une superbe actrice . Sinon, le film est très bien avec un scénario parfait et intriguant ! un film bien noir et captivant ! un film a voir mais pas tout les jours !
Encore une film surprenant. Il faut dire que j'y suis allée le nez en l'air, pensant que c'était une super-production...pour vous dire si je suis à la ramasse ces derniers temps, le film a été tourné avec un micro-budget en 28 jours!
Quoi Famke Janssen, dans un film d'auteur, après avoir joué dans X-Men. Car si personne ne connaît son nom, tout le monde de souvient de sa silhouette...
Mais oui c'est bien elle! Et elle y donne la réplique à Ellen Barkin, incroyable mère dévastée et Marc-André Grondin, caméléon aux facettes dérangeantes et passablement hermétique. Si ces 3 là tiennent le film et en font sa grande force, la lenteur de la mise en place de l'intrigue m'a, au bout de 3/4 d'heure-1 heure, quelque peu exaspérée. Je voyais bien qu'un drame se tricotait tout doucement, mais à un moment il faut se lancer et j'ai été soulagée, quand enfin quelque chose d'autre que la prise en main du personnage de Nicholas Mark Randall s'est passé. Je ne vous en dirais pas plus au risque de tout gâcher.... Mais autant vous prévenir l'ambiance est glauque à souhait et vous n'aurez jamais envie d'aller visiter Bâton-Rouge, Louisiane. http://urbanites.canalblog.com/