Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir le site cinelive.com
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Première
par Isabelle Danel
Il [Béla Tarr] réussit ce prodige d'être à la fois dans le droit fil de sa matière et de sa manière et totalement fidèle à l'esprit et à la lettre de Georges Simenon.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir le site studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
L'Homme de Londres, adaptation malade d'un roman de Georges Simenon, est un chef-d'oeuvre d'intelligence et de sensibilité, proche de l'extase.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film exigeant ne fait pas de cadeau à son public. Pendant 2h22, chaque action des personnages est captée dans toute sa beauté plaçant le spectateur dans un état proche de l'hypnose.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Cyril Neyrat
Bela Tarr a touché le fond de son pessimisme, en portant son art à une nouvelle hauteur.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Paris Match
par Christine Haas
Dans une atmosphère brumeuse en noir et blanc, les comédiens, déchirants, font résonner les mots et exposent la nudité de leurs émotions. (...) Puissant et mystérieux (...)
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Franck Kaush
Il y a là, nécessairement, des conséquences spirituelles sur l'impossibilité de Dieu, qui confèrent à l'Homme de Londres sa densité vénéneuse et justifient sa difficulté.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Pour peu qu'on le voit comme une sorte de Sin City bouseux et sartrien, L'Homme de Londres s'impose quand même. Mais avec un côté service minimum assez décevant de la part de l'un des cinéastes les plus importants de ces trente dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce livre fut l'un des plus sombres de Simenon (...) une aubaine pour le cinéaste, qui creuse la péripétie jusqu'à l'os, la réduit à l'état de squelette, la concasse dans un noir et blanc brumeux, la dissout dans une atmosphère gazeuse et nocturne où le regard se perd pour ne plus revenir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un Béla Tarr élémentaire
Libération
par La rédaction
(...) il (le film) se déploie dans toute la majesté d'un splendide noir et blanc en série de travellings renversants. "Révoltant de beauté" et "à crever d'ennui" sont les deux expressions pas forcément contradictoires qui résument le sentiment maison.
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Très brillant exercice de style, L'homme de Londres risque cependant de décevoir les non-initiés à un Cinéma redevenu Art qui n'y verront que froideur, lenteur et ennui.
L'Express
par Eric Libiot
Voir sur le site www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Ouest France
par La Rédaction
Un récit exaspérant de maniérisme, de lenteur et de formalisme.
Télérama
par Pierre Murat
L'arme n°1 du cinéaste, l'envoutement, finit par lasser, ne suscitant en définitive, qu'une indifférence admirative.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par La Rédaction
2h12 d'ennui profond, une dizaine de plans fixes pour évoquer ce roman de Simenon, qui n'a pas mérité ça.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
On est écrasé, oui, d'ennui mortel face à tant de pose érigée en recherche de beauté formelle.
Ciné Live
Voir le site cinelive.com
Première
Il [Béla Tarr] réussit ce prodige d'être à la fois dans le droit fil de sa matière et de sa manière et totalement fidèle à l'esprit et à la lettre de Georges Simenon.
Studio Magazine
Voir le site studiomag.com
aVoir-aLire.com
L'Homme de Londres, adaptation malade d'un roman de Georges Simenon, est un chef-d'oeuvre d'intelligence et de sensibilité, proche de l'extase.
20 Minutes
Ce film exigeant ne fait pas de cadeau à son public. Pendant 2h22, chaque action des personnages est captée dans toute sa beauté plaçant le spectateur dans un état proche de l'hypnose.
Cahiers du Cinéma
Bela Tarr a touché le fond de son pessimisme, en portant son art à une nouvelle hauteur.
Paris Match
Dans une atmosphère brumeuse en noir et blanc, les comédiens, déchirants, font résonner les mots et exposent la nudité de leurs émotions. (...) Puissant et mystérieux (...)
Positif
Il y a là, nécessairement, des conséquences spirituelles sur l'impossibilité de Dieu, qui confèrent à l'Homme de Londres sa densité vénéneuse et justifient sa difficulté.
Chronic'art.com
Pour peu qu'on le voit comme une sorte de Sin City bouseux et sartrien, L'Homme de Londres s'impose quand même. Mais avec un côté service minimum assez décevant de la part de l'un des cinéastes les plus importants de ces trente dernières années.
Le Monde
Ce livre fut l'un des plus sombres de Simenon (...) une aubaine pour le cinéaste, qui creuse la péripétie jusqu'à l'os, la réduit à l'état de squelette, la concasse dans un noir et blanc brumeux, la dissout dans une atmosphère gazeuse et nocturne où le regard se perd pour ne plus revenir.
Les Inrockuptibles
Un Béla Tarr élémentaire
Libération
(...) il (le film) se déploie dans toute la majesté d'un splendide noir et blanc en série de travellings renversants. "Révoltant de beauté" et "à crever d'ennui" sont les deux expressions pas forcément contradictoires qui résument le sentiment maison.
MCinéma.com
Très brillant exercice de style, L'homme de Londres risque cependant de décevoir les non-initiés à un Cinéma redevenu Art qui n'y verront que froideur, lenteur et ennui.
L'Express
Voir sur le site www.lexpress.fr
Ouest France
Un récit exaspérant de maniérisme, de lenteur et de formalisme.
Télérama
L'arme n°1 du cinéaste, l'envoutement, finit par lasser, ne suscitant en définitive, qu'une indifférence admirative.
Le Figaroscope
2h12 d'ennui profond, une dizaine de plans fixes pour évoquer ce roman de Simenon, qui n'a pas mérité ça.
TéléCinéObs
On est écrasé, oui, d'ennui mortel face à tant de pose érigée en recherche de beauté formelle.