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Arnaud D
43 abonnés
765 critiques
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1,0
Publiée le 10 décembre 2009
remake d'un petit thriller horrifique des année 80 the stepfather version 2009 est beaucoup plus soft que l'original , toujours aussi mal joué et tout aussi captivant un film a voir et ne plus revoir
Si les premières minutes nous laissaient penser que Le Beau-Père avait des chances de se diversifier avec une entrée en matière sans niaiserie (on nous met d’emblée au parfum, ce type est un salaud de première !), le reste nous fait amèrement regretter d’avoir cru aux miracles. Pourquoi s’obstiner à faire des films du genre exactement de la même manière ? Les scénaristes n’ont pas encore compris que le spectateur n’est pas dupe (où en tout cas ne l’est plus autant) et commence à affirmer son énervement vis-à-vis de ce genre de réalisation. Puisque énervement il y a forcément lorsqu’on nous sert un film déjà vu des centaines de fois (L’Intrus, Paranoiak et j’en passe) et dans lequel on connaît tout bien à l’avance. On sait pertinemment comment on va nous amener d’un point A à un point B… Alors, si certains films du genre sont un temps soit peu travaillés, c’est loin d’être le cas avec Le Beau-Père. (critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/2009/12/10/critique-le-beau-pere/)
On peut se dire que ce Beau-Père doit être pas mal mais quand on sait qu'il s'agit d'un remake d'une petite série b des 80's, culte aux Etats Unis, le spectateur doit se dire "Oh!Oh! Ca sent le sapin". En effet ce film est nul, pas une bouse comme Hell Ride mais tout aussi prétentieux et médiocre dans sa conception. Réalisé par Nelson Mccormick, Le Beau père est un téléfilm allemand qui a eu la chance d'être timidement diffusé en salle chez nous. Téléfilm, de part une réalisation plate, sans aucun suspens, sans enjeu dramatique; avec des premiers et seconds rôles complètement à côté de la plaque, même Dylan Walsh qui assurait durant tout le film pète un câble et part en vrille dans un final hautement ridicule où le réalisateur nous parodie Massacre à la tronçonneuse 2 qui était un film d'horreur comique. Le couple de héros est digne de poser pour le magazine ELLE, tellement ils ont la carrure pour le faire. La violence est ultra-aseptisée alors que les meurtres sont impressionnants (au départ) mais dénaturée en fin de compte. Sinon ils parodient super bien Evil Dead. La B.O. du film est noyé par une abondance de musique du top 50 (on a le droit au top 50 toutes les 5 minutes, ça fait mal à la tête). Le film est très long (1h40 environ). Le beau père n'effrayera que les femmes de plus de 50 ans n'y connaissant rien au film d'horreur et regardant constamment toutes les séries policières survitaminées comme l'inspecteur Derrick, Les Experts... Une fin à peine plus originale qu'un rebondissement d'un épisode de plus belle la vie. Reste une photo plutôt jolie. Quand on vous disait que c'était un téléfilm.
Que dire ? Que dire ? Pas grand chose à part que c'est un film très convenu sans grande surprise (pas un sursaut pour ma part). Dylan Walsh est pas mal en péteur de câble fou furieux mais ça ne va pas plus loin. Une mise en scène plate et un scénario sans réel rebondissement. On passe 1h30 sympa mais on n'oublie vite qu'on a vu ce film (ou téléfilm car ça ressemble un peu aux téléfilm thriller de TMC ou NT1 quand même)
Ce thriller plaira aux ados, à n'en pas douter. Filmé et dialogué comme une série-télé américaine (I'm sorry... Okay...), le film exaspère de bout en bout par son aspect lisse: aucun style visuel, si ce n'est exactement trois secondes d'un plan tout juste travaillé, réellement aucun travail du réalisateur. Les acteurs, pas mauvais en soi, n'ont rien à se mettre sous la dent, et cette exceptionnel capacité à fournir des visages exempts de tout défaut de peau ou de teint commence et finit par exploser de ridicule. Ce ne sont plus des mannequins, quoique, ce sont des poupées de plastique. Preuve ultime que forme et contenu sont issus du monde de la série-télé adolescente.
Remake du classique de Joseph Ruben de 1987, Nelsen McCormick livre ici une reprise du Beau-père assez fade, au scénario et à la mise en scène tout aussi plate et sans surprise. Sans décevoir complètement, Le Beau-père – The Stepfather ne laissera pas une trace inoubliable et use de codes vus et revus qui ne laissent aucune place au suspense. On pourra tout de même noter la performance de Dylan Walsh, qui fait son maximum pour rendre son personnage aussi charmant que sans scrupules. A mi-chemin entre thriller psychologique et film d’épouvante, ce remake aurait mérité un travail de mise en scène et d’effets de surprise bien meilleurs… à défaut de pouvoir manier un scénario déjà à l’origine pas très original ni très crédible. Sans être catastrophique, le film ne marquera pas les mémoires et s’oubliera malheureusement pour lui assez vite.
J'attendais rien de spécial mais j'aurais aimé un final plus trash. Le film globalement est pas mal, un bon divertissement ! La photographie est bien soignée et la réalisation reste agréable mais classique tout de même. Les acteurs sont biens, mais Dylan Walsh (Nip/Tuck) tire son épingle du jeu, il est super dans le rôle du psychopathe. Sinon le scénario tient la route mais le film subis malheureusement certains clichés du genre, et certains trucs nous échappent... Les meurtres sont trop "soft", mais ils arrivent à nous toucher par le fait que c'est la famille et des gens innocent, résultat ? On regarde avec un petit plaisir coupable... Le final est moyen, juste déçus que la fin arrive un peu trop vite (pourtant le film dure 1 heure 41 min). Malgré quelques longueurs le long-métrage se laisse regarder sans aucunes difficultés, personnellement j'étais plongé dans l'histoire jusqu'au mot "fin". Certes il y a quelques défauts et une allure un peu trop commercial, mais j'ai bien aimé ce petit remake (j'essayerais de voir l'original très prochainement)... On est loin du film de l'année, mais si on veut voir un thriller divertissant, bien sophistiqué et "propre", c'est le film idéal...