C'est toujours un peu la même chose : cela se laisse regarder sans déplaisir et n'est pas si mal fait, mais bon, what else ? Toujours le même type d'intrigue, toujours le même type de personnages, toujours le même type de rebondissements, de ficelles, de facilités... J'ai beau adorer les histoires de tueurs en série, je dois avouer qu'il est devenu aujourd'hui plus que rare de tomber sur une œuvre capable de nous offrir un point de vue nouveau sur le sujet, voire même ne serait-ce que quelques surprises. Cela est d'autant plus flagrant lorsqu'on sait que ce « Beau-père » est un remake d'un tout petit standard des années 80, à l'époque peut-être où les serial-killers n'avaient pas encore l'importance d'aujourd'hui au cinéma. Reste un contre-emploi crédible pour Dylan Walsh au milieu d'un casting passe-partout, Sela Ward et la très belle Paige Turco exceptés. C'est peu, trop pour donner un réel crédit à une œuvre aussi vite vue, aussi vite oubliée.
Un remake qui s'avère assez dispensable. La faute à un manque flagrant de subtilité et de scènes chocs, pour un ensemble assez fade au final. Ce qui est d'autant plus dommage que son potentiel était quant à lui bien visible !
Le film a des côtés sympas mais c'est trop previsible et redondant, du coup on s'emmerde puis; on s'endort, puis on est reveillés a la fin car le son est strident et , on se dit " j'ai bien fait de pioncer ".
Après son pitoyable remake Prom Night - Le bal de l'horreur (2008), Nelson McCormick persiste et signe son second remake avec Le Beau-Père (2009), dont la version originale remonte à 1987. Trêve de suspens ici, on connaît le coupable dès le début du générique et pourtant, le réalisateur s'obstine à vouloir nous faire croire à une once de frisson et de mystère. Malgré un scénario téléphoné et cousu de fil blanc, qui plus est, prévisible, le film n'en reste pas moins divertissant, grâce à des acteurs, certes pas extraordinaires, mais corrects (dont Dylan Walsh, le héros de la série télévisée Nip/Tuck). Un thriller urbain et familiale en manque de tension et d'originalité, typique d'un DTV et qui portant, bénéficie d'une sortie en salles !
Michael découvre que son futur beau-père n'est pas l'homme qu'il prétend être... Pas vu l'original datant de 1987 et qui était interprété à l'époque par Terry O'Quinn, mais en tout les cas, ce remake ne possède pas une once d'originalité et propose une histoire rapidement identifiable et qui s'avérera être sans réelle surprise. La mise en scène est vraiment sans saveur, ce qui fait qu'il n'y a pas du tout de suspense, ce qui ne permet jamais aux spectateurs de pouvoir s'y interesser. De plus, le casting est vraiment pas fameux, notamment en ce qui concerne l'interprétation laborieuse de Dylan Walsh ( que l'on a vu dans le rôle d'un inspecteur dans " Créance de Sang " d'Eastwood ) qui est sans consistance et qui ne provoque jamais le moindre frisson, et je ne parlerai même pas de la performance de Sela Ward ( qui était auparavant le Dr Lucy Hall dans " le Jour d'Après" d'Emmerich ) qui propose bien peu de talent, dans le rôle d'une mère de famille qui se trouve être complètement à côté de la plaque. En bref, il s'agit d'un thriller d'une grande banalité, mais le fait que ce tout ceci soit réalise par le metteur en scène du remake du "Bal de L'horreur", on est en finalement pas très surpris. On se consolera néanmoins avec la présence du jolie minois d'Amber Heard qui est la seule véritable attraction de ce long métrage.
remake d'un petit thriller horrifique des année 80 the stepfather version 2009 est beaucoup plus soft que l'original , toujours aussi mal joué et tout aussi captivant un film a voir et ne plus revoir
Film sans intérêt c'est juste un épisode des expert; et encore ... Aucun suspense on sait tous que c'est un tueur. Ce qui rend le film populaire c'est juste la présence du docteur de nip/tuck A ÉVITER