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selenie
6 471 abonnés
6 243 critiques
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4,0
Publiée le 28 août 2007
Excellente comédie musicale délirante et rythmée... Travolta est géniale et surtout Pfeiffer dans un role ou on ne la voit jamais. Ca bouge, ca danse on ne s'ennuie pas une seconde et si on aime les sixties on est servi, surtout sur des chorégraphies géniales... Passons sur l'Histoire ce n'est pas le propos du film mais une étoile en moins pour la plupart des chansons du milieu de film qui se ressemble un peu trop et aux paroles trop niaises.
Alors là bravo, ce remake de l'excellent "Hairspray" des années 80 est toujours aussi jouissif. Ce film dégage une joie de vivre et une énergie immense, ces états-unis racistes et ségrégationniste des annnées 60 est dépeind avec une vérité touchante. On en sort dopé et tous les acteurs y sont très bons avec un John Travolta bien évidemment étonnant dans la reprise du rôle de l'égérie transexuel de John Waters qu'à été à l'époque le/la regrette(e) Divine. J'espère que vous aurez tout comme moi la possibilité de voir ce film et son original tout aussi bon. Un bonheur de chants et de danses. A ne pas rater!!!
A l'instar de Le Diable s'habille en Prada qui décrit un milieu superficiel en restant superficiel et creux, Hairspray décrit la caricature et la niaiserie avec niaiserie et bons sentiments. Vomitifs.
Hairspray est une comédie musicale « taille 60 » qui se complaît dans le grossissement de ses enjeux, l’exagération de la période historique investie et l’accumulation de chansons comme réglées sur un mode automatique. Pourtant, la surenchère permanente a du bon : le long métrage diffuse une bonne humeur contagieuse que porte une mise en scène fluide et rythmée, aidée par des chorégraphies parfaitement réglées et exécutées. Voilà une belle réussite de studio, un spectacle tel que seul Broadway sait les faire, un show qui déforme tout ce qu’il aborde de la même manière que The Greatest Showman (Michael Gracey, 2018) fera de Barnum un saint homme. L’autre valeur du long métrage d’Adam Shankman tient au rôle qu’il offre à John Travolta : son personnage apparaît tel un double bouffi pour l’ancienne vedette de danse et de chant, ici mère au foyer qui reprend peu à peu goût à la vie jusqu’à se lancer dans une chorégraphie devant les caméras. Le déguisement peine ainsi à cacher la profonde mélancolie de l’acteur, mal à l’aise dans un corps qu’il juge trop volumineux malgré les quantités de gâteaux et mets tous plus gras les uns que les autres qui pullulent à l’écran. Car il faut bien reconnaître que le film, à force de chercher à rassembler le plus grand nombre de causes, finit par tomber dans la caricature desdites causes, au risque de ne rien dire, au risque de n’être que forme XXL sur un fond absent qu’un amas de chansons mémorables tentent de combler. On s’amuse, ça oui ! Christopher Walken s’avère réjouissant en vendeur de farces et attrapes, Nikki Blonsky dispose d’un charisme remarquable, Michelle Pfeiffer s’amuse en grande méchante avide de pouvoir. De quoi faire d’Hairspray une comédie musicale de qualité, surtout de quantité. Ne boudons pas notre plaisir.
Mais quelle merveille ce film! C'est un vrai bijou! Il ne fait que donner le sourire. Oubliez les clichés sur les minorités raciales, sur le physique et écoutez cette bande son qui vous met dans une bonne humeur d'enfer ! Tout est édulcoré à souhait, des coiffures inimaginables, des couleurs , des décors, des acteurs qui font que ce film est bon pour ce qu'il procure.... du bonheur. A voir au moins pour le casting, qui est juste excellent.
septiemeartetdemi.com - Presque trente ans après Grease, l'invieillissable John Travolta va passer quatre heures à enfiler son costume : il est une femme. Une fantaisie qui pourrait faire croire que le titre annonce une parodie des Broadway cinématographiés. Mais non, l'adaptation est en bonne et dûe forme, bourrée de vétérans (Michelle Pfeiffer, Christopher Walken) comme de jeunes talents (Nikki Blonsky, Zac Efron). Il ne faut pas trop s'attendre à sortir des sentiers battus mais le divertissement est multiforme et multicolore. On oublie clairement l'année présente pour entrer dans les années 1960 comme si on y était. À voir si on aime le genre.
1/ comment peut on aimer ce genre de film, avec tout le temps des chanson et une histoire TRES enfantine ? 2/Sur quoi se base allociné pour prédire que je noterais 3 étoiles ce film ? Je laisse tout de même une étoile pour 2 chansons plutot sympas et pour amanda bynes à qui j'envoie u gros smack.
Prenons une brochette d'acteur connus, mettons leurs des mousselines sur la tête en leur faisant chanter des airs connus, et pour soupoudrer le tout, rajoutont un John Travolta déguisé en femme (non, non, je n'ai pas dit Eddie Murphy) et un brin de politiquement correct. Est-ce qu'avec ça on peut faire un bon film? Très naturellement on a tendance à se dire que non, et on aurait raison. Hairspray ne commence pourtant pas mal : une gentille petite histoire, des chansons entrainantes, des acteurs convaincant, on pourrait presque croire qu'on va passer un bon moment. Puis arrive John Travolta. La, le niveau de jeu baisse d'un cran, et surtout on se demande pourquoi diable ont-il choisi de mettre un homme pour jouer cette femme? La présence de John Travolta n'apporte en effet absolument rien au rôle. Il n'est pas drôle (le rôle n'as d'ailleurs pas l'air d'être fait pour l'être), enfin bon, pas intéressant tout simplement. En plus de ça, l'intérêt du film s'essouffle très vite : les chansons à répétition se ressemble tous, l'intrigue est déjà vue 100 fois, et les acteurs s'enterrent dans le rôle sans intérêt. Enfin bon, si les défaut du film s'arrêtait la, on aurait put être content. Mais le pire est à venir : le point de vue que donne le film sur le racisme à Baltimore dans les années 60. Et la, on va presque dans le négationisme. Selon Hairspray, le Baltimore des années 60 est une ville ou les noirs vivent presque en harmonie avec les blancs. Alors bien sûr il y a les méchants riches qui ont le pouvoir et qui eux sont racistes. Mais absolument tout le reste de la population veut vivre en harmonie entre les noirs et les blancs, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Même si on pourrait se dire que ce n'est pas très grave et que ce n'est qu'un film, je trouve justement que ce genre de comédie, qui sous ses airs de ne pas y toucher se permet de retoucher l'histoire et de faire, tout en douceur, du réel négationisme est très dangereuse.
Petit chef d'oeuvre d'Adam Shankman. Magnifique comédie musicale avec pour fond la lutte contre la ségrégation des noirs dans les années 60 aux Etats Unis. Une distribution exceptionnelle. Des danses envoûtantes et superbement filmées. Une référence dans le genre.
J'ai été tres decue,car je m'attendais a quelque chose de délirant,décalé.... Et je tombe sur cette chose ennuyeuse a mourir,ou on vous bombarde de chansons toutes plus nunuches les unes que les autres.... On croirais un film de chez Disney tant l'ensemble est cucuet formaté. Le film aurait pu s'appeller "vautrons nous dans la guimauve et le rose bonbon" Je ne vois pas non plus l'interet de prendre John Travolta si c'était pour le deguiser de la sorte... Quelques scénes sympa épparpillées dans un vide intersideral ,meme la BO ne retiends pas l'attention ce qui est un comble pour une comédie musicale... Je n'ai pas vu le film original qui devait certainement etre meilleur,mais je me dis que ces temps ci ,les réalisateurs n'ont vraiment plus d'idées pour sans arret faire des suites et des remakes..... Malheuresement,je pense que ce film va cartonner sans qu'il le mérite...
Vous avez un coup de blues ces temps-ci et vous n'avez plus confiance en vous ? Il y a Hairspray. Cette comédie musicale survitaminée, pop et sucrée, est littéralement fait pour vous. Elle vous mettra de bonne humeur comme jamais un film ne l'avait fait auparavant. Alors, présentation du produit : dès que le film commence on est tout de suite mis dans le bain, on sait d'entrée de jeu à quoi on a affaire (j'avoue que toute cette folie peut dérouter au début). Les décors sont colorés, les musiques, tout comme les chorégraphies, sont dynamiques et joyeuses, et surtout, surtout... les acteurs ! Ne pas mentionner la prestation incroyable et la transformation radicale de John Travolta en femme serait une erreur. C'est un véritable rôle à contre-emploi, il nous avait pas habitué à ça (il faut bien un début à tout). Dustin Hoffman l'a fait pour Tootsie, Robin Williams l'a fait pour Madame Doubtfire, Tim Curry l'a fait pour The Rocky Horror Picture Show (plus d'autres que j'oublie), et voilà que John Travolta s'y met, mais qui s'y met bien, il méritait même un prix ou au moins une nomination. Zac Efron n'est pas si mauvais acteur qu'on le dit, Queen Latifah est radieuse, Michelle Pfeiffer incarne bien la méchante (Cruella d'Enfer sort de ce corps). En plus de bien jouer ils dansent plutôt bien. Ce que j'aime aussi dans ce film c'est que les années 60 sont bien reconstituées, et il y a également un beau propos dissimulé derrière l'humour extravagant : que nous devons aimer son prochain quelle que soit sa couleur de peau ou son physique.