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    Halloween
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    Maxime Duriau
    Maxime Duriau

    1 abonné 45 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2021
    Un film brutal et sombre. Il faut passer outre le scénario un peu simpliste et certains plans d'action où l'image est saccadée au point d'être incompréhensible. Malgré ça, on ne voit pas le temps passer.
    stallonefan62
    stallonefan62

    285 abonnés 2 552 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2020
    Rare sont les remake au niveau, voir supérieur au film original !! Ce remake de 2007 en fait partis, une belle surprise !! Le réalisateur ne se contente pas de calquer le film original, il se l’approprie en proposant une histoire légèrement différente et surtout en proposant un prologue de 40min sur la jeunesse de Mickael Myers et sa source du mal !! Très bonne idée qui nous permet d'en savoir plus sur ce tueur psychopathe !! Pour le reste, les meurtres violents et sanglants s'enchainent avec beaucoup de suspense et de tensions !! Pour conclure, j'ai trouvé également cette version de Mickael Myers plus imposant, plus impressionnant et indestructible que l'ancienne version !!
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    82 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2020
    Une suite meilleure que le premier opus c'est rare, mais un remake meilleur que la version originale c'est encore plus rare. Oui, je trouve ce remake du film de John Carpenter plus réussi. Même si la seconde partie se vautre un peu dans le slasher bête et méchant, la première partie est riche en découvertes : celle de la jeunesse de ce qui deviendra le Mal absolu d'Haddonfield, Michael Myers. Cet enfant de dix ans est flippant a souhait, il n'était déjà pas très net dans sa tête mais l'ambiance a la maison ne l'a pas aidé (beau-père encombrant, sœur indifférente) tout comme celle à son collège (tête de turc). Il ne faut pas s'étonner si après il dérape. Malgré l'aide de son psychiatre, voire père de substitution, le docteur Samuel Loomis, Michael s'enfoncera plus encore dans les ténèbres et achèvera sous nous yeux sa transformation en meurtrier qui n'a aucune raison de vivre a part celle de tuer.
    mx13
    mx13

    241 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 octobre 2020
    Un vrai film vraiment impressionnant où le suspense est à son comble et où la tension est étouffante. Un épisode incroyable qui bluffera plus d un fan de la saga. Je le déconseille aux moins de 16 ans. 4/5
    OMTR
    OMTR

    17 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 octobre 2020
    Les Origines d'Halloween: Le jeune Michael Myers et « The Shape »

    Une réinvention brillante et puissante, avec un casting impressionnant, qui est un hommage au chef-d'œuvre de John Carpenter de 1978, et explore la jeunesse de Michael Myers, ainsi que les origines de « The Shape ».
    Enfin, l’adorable Danielle Harris, qui fut une révélation à l’âge de 11-12 ans dans Halloween 4 : Le Retour de Michael Myers (1988) et Halloween 5 : La Revanche de Michael Myers (1989) dans le rôle Jamie Lloyd, est de retour dans ce neuvième volet de la saga Halloween, qui répond à nos attentes les plus élevées à plusieurs niveaux. Tout simplement l'un des meilleurs épisodes de la franchise.

    4.75/5
    bryty_off
    bryty_off

    1 abonné 32 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2020
    sa passe pour un film gore mais -16 ans c un peut trop je trouve amis sinon bon remake et origine story.
    RamiValak
    RamiValak

    6 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juillet 2020
    En humanisant le personnage de Michael Myers, Zombie parvient à en faire une figure maléfique encore plus effrayante que dans le film de John Carpenter, paradoxalement. Tout ce qui est développé autour des masques est extrêmement intéressant, la fascination de Michael pour eux montre ce besoin de disparaître, et en même temps cette hésitation à basculer complètement, montré par le nombre de fois où Michael relève brièvement son masque même lors de la tuerie. Tout ce qui tournait autour de son enfance me faisait un peu peur, dans le sens où j'aurai trouvé ridicule que le film explique les actes de Michael par une enfance difficile, mais heureusement ce n'est pas vraiment ce qu'il dit. Même si l'ambiance à la maison est assez anxiogène, on comprend vite que quelque chose de beaucoup plus inexplicable habite Michael. Néanmoins il épargne Laurie, qui ne lui a donc jamais rien fait puisqu'elle est encore bébé, et je ne sais pas si ça invalide l'idée qu'il ait un mauvais fond ou si cela représente juste cet appel de la lumière, qui l'empêche encore de tuer la forme d'innocence pure. La suite du film montre clairement qu'en grandissant il a franchi cette barrière morale, en supprimant toute forme d'empathie et d'attachement. Le personnage de Danny Trejo est très utile pour ça, et l'absence d'hésitation quand Michael le tue, établit ce dernier comme le mal absolu, vivant désormais sous un masque, un simple avatar du diable. La citation ouvrant le film est assez belle au passage, et correspond parfaitement à l'idée du film. Son évasion aurait donc pour but de retrouver Laurie et la tuer, même si ce n'est en rien ce que raconte la suite, mais je ne vois pas ce que Michael peut vouloir d'autre en pourchassant Laurie ainsi. Un besoin d'exorciser la dernière trace de lumière à l'intérieur de lui, une sorte de besoin de boucler la boucle, en accomplissant ce dont il avait été autrefois incapable. En dehors du scénario et de l'idée générale du film, la mise en scène est trop impersonnelle, c'est dommage que Zombie n'ait changé que des éléments du scénario et ne se soit pas complètement réapproprié l'imagerie, car le rendu est donc assez classique, et tout est filmé exactement comme dans le film originel. La trace de Zombie ne se retrouve que dans le dernier plan, cet arrêt sur image crade et définitif. Sans compter les thèmes, qui sont sensiblement les mêmes que dans The Devil's Rejects (particulièrement), les figures du mal absolu sont récurrentes et un remake d'Halloween est donc malgré tout parfaitement cohérent dans sa filmographie. La citation d'intro aurait d'ailleurs pu introduire The Devil's Rejects. Ce film est donc un remake utile, que je préfère même à l'original, qui en tant que tel offre une nouvelle itération du mal très intéressante et vraiment maîtrisée, ainsi qu'une performance admirable de Malcolm McDowell.
    Caine78
    Caine78

    6 691 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 avril 2020
    Sans jamais atteindre le niveau d'angoisse du remarquable film de John Carpenter, ce remake signé Rob Zombie ne démérite pas. Mis en scène efficacement et s'attardant de manière convaincante sur la jeunesse de Michael Myers, le réalisateur de « The Devil's Rejects » s'en tire bien et nous fait même sérieusement flipper à plusieurs reprises, ce qui est en soi déjà plutôt bien. Reste que le grand frisson ressenti dans le classique de Carpenter n'a jamais été vraiment au rendez-vous, même si cela s'explique aussi par une autre raison : la dernière partie de l’œuvre. Celle-ci tombe en effet de manière assez incompréhensible et très regrettable dans l'outrance et le ridicule, si bien que le plaisir (réel) ressenti lors des deux premiers tiers s'estompent quelque peu, d'autant que les choix esthétiques de Zombie apparaissent de plus en plus discutables, et ce jusqu'à un dénouement frisant le grotesque. Dommage, car l'ami Rob avait su montrer durant une bonne heure de la personnalité et du talent : il s'en est fallu de peu pour que ce « Halloween » version soit une réussite.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 080 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 février 2020
    Des années que la version d'Halloween de Rob Zombie m'attendait patiemment; des années que je ne trouvais étrangement pas la force de la regarder, comme si je m'attendais finalement à un carnage visuel répugnant. Ce côté mystique que je lui avais assené, presque de l'ordre du sacré, s'est très rapidement effondré : la première partie, entre une demi heure et une heure, passée laisse sa place au véritable remake, plus tourné vers le bourrinage, l'action, le débile efficace mais d'une banalité inattendue.

    Parce que Rob Zombie faisait jusqu'ici preuve d'une originalité salvatrice dans sa manière de traiter le personnage, cette seconde partie n'apporte rien à l'oeuvre, à part lui enlever toute la force évocatrice de ses thématiques : l'enfance de Myers, construite autour de masques qui lui servent de séparation protectrice du monde, est un calvaire propice à l'horreur que le réalisateur gère à merveille, notamment parce qu'il l'allie à son univers personnel si dark et torturé.

    Construite sur un désir sexuel non différencié de la pulsion meurtrière, cette enfance mêle érotisme et horreur au travers d'une folie qu'on pourrait presque palper, mise en image avec un style très pertinent : les effets clipesques trouvent ici leur sens dans la vulgarité de la vie de Myers, dont les parents, véritables raclures, ne lui portaient guère d'attention, et dont la soeur, considérée comme un stéréotype de débauche, donna lieu à sa combinaison d'envie de meurtres et d'amour.

    Toute l'importance laissée au masque est vue ici comme un exutoire à son enfance répugnante : il les portera à présent pour qu'on ne reconnaisse plus le fils de cette famille de dégénérés, pour qu'on ne l'associe plus à ceux qui incarnaient les travers vicieux de la société. Le fait qu'il les crée fait qu'il crée à présent son identité, qu'il se donne une singularité autre que d'avoir appartenu à sa famille : Michael Myers s'est éteint pour laisser la place à sa personnalité véritable, un être mutique presque en déhors de l'humanité, du moins avec laquelle il ne partage pas beaucoup de traits communs.

    C'est là qu'il sort de l'hôpital, et que survient le véritable sujet du film : c'est un remake, et en tant que remake, il doit respecter ce qui a fait la réputation du film de Carpenter, notamment sa fin haletante et son horreur novatrice. Il ne sera bien sûr pas question ici de faire du neuf : si Zombie l'avait fait au départ, ce n'est clairement plus le sujet. L'idée est de virer dans une horreur revisitée, en adéquation avec les codes actuels d'ultraviolence, de comportements idiots des personnages, de sadisme trop élaboré pour un personnage à peine capable de penser (il arrivera le même problème avec le remake de Vendredi 13 de Marcus Nispel).

    Si l'on regrette au bout de cinq minutes les dialogues et réflexions inspirées de l'asile (tout est ici matière à caractériser ses personnages n'importe comment, à leur faire dire n'importe quoi, comme si le but était de les faire passer pour des abrutis congénitaux), cette incursion dans la banalité typique des films d'horreur des années 2000 impose trop de codes à un film qui jusqu'ici les détruisait habilement, notamment en donnant du relief, de l'humanité (d'une certaine mesure), de la profondeur à un personnage qu'on juge depuis le premier film comme inhumain.

    Personnage insensible que cette deuxième partie le fait d'ailleurs redevenir, envoyant valser le développement de la première partie sans qu'elle n'ait eu de véritable impact sur l'intrigue et les nouveaux personnages : Myers, redevenu la créature iconique qu'on a connu durant trop de films, perd tout intérêt à se concentrer sur lui, lui qui n'a plus du tout de personnalité et n'est plus vu que comme le méchant de l'histoire, celui qui suivra exactement le même déroulé que la version de Carpenter.

    Passé la surprise de l'enfance, il ne reste d'Halloween qu'un film certes très efficace, emprunt de rock et de métal (cela rend bien dans l'univers), mais qui ne réinvente rien, alors qu'il promettait de partir dans une toute autre direction. Le conformisme de sa dernière heure couplée à sa bêtise et à son manque de surprises le range du côté des remakes ni ratés ni réussis, des oeuvres au potentiel avorté qui mériteraient une mise à jour sans droit de vue de la part des studios.

    On tenait, au départ, l'un des meilleurs remakes de film d'horreur possibles.
    Juju Rasta
    Juju Rasta

    5 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 janvier 2020
    Je m'attendais à un film gore et captivant mais c'est franchement nul... Rien d'intéressant... A éviter
    karpathakis y
    karpathakis y

    24 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2020
    Autrement plus intérresant que l'original de Carpenter. Meilleurs acteurs, meilleure étude de caractère de Michael Myers, évidement meilleure musique du grand Tyler Bates et enfin vraiment plus flippant que la "pauvre" version de 1978. C'est cette version d'ailleurs qui devrait être conservée au registry car elle synthétise à elle seule toute la saga Halloween ! (la version US est plus longue de 20 minutes)...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 novembre 2019
    J'adore ce remake parce que Rob Zombie fait de Michael Myers un personnage très complexe et attachant malgré lui en lui donnant une histoire triste qui raconte les origines de sa folie.Les acteurs jouent bien,il y a toujours l'excellente musique du 1er film et le suspens est vraiment bien.Un vrai coup de coeur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 juillet 2019
    J'ai trouvé ce remake beaucoup mieux que l'original ! Rob Zombie a su créer une ambiance beaucoup plus glauque et sombre. Quelques scènes nous expliquent également des détails sur la personnalité de Michael qui nous éclairent un peu plus sur le monstre qu'il est devenu.
    Sudhir
    Sudhir

    20 abonnés 480 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mai 2019
    Encore un remake, certes, mais Zombie connait le genre. Étonnamment, la première partie moins gore, est la plus réussie dans sa description de la transition psychologique de M Myers. Le jeu du jeune Myers fait beaucoup pour rendre crédible le propos. Scout Taylor est dynamique....
    Alexis C.
    Alexis C.

    4 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2019
    Très intéressant dans sa première partie. Là où Carpenter montre Myers comme une incarnation du mal, Rob Zombi le décrit comme une victime de son environnement et pousse l'aspect psychologique. C'est réussi et apporte quelque chose à la mythologie du personnage.
    Cependant dans la seconde partie on tombe dans un slasher efficace mais trop conventionnel, qui traîne en longueur et qui oubli tout ce qui a été fait dans la première partie....dommage.
    Dans l'ensemble le film est intéressant mais il exploite mal son énorme potentiel.
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