Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
2,5
Publiée le 18 mars 2009
le voilà enfin le fameux remake de rob zombie. ce film comme l'on dit si bien avant moi les autres internautes d'allociné est en deux partie en réalité. si la première partie est réellement réussit sur l'enfance de Michael myers, la seconde partie par contre est juste un remake manqué des autres épisodes de la série dont il est censé s'en inspiré. on nous annonce à présent une autre suite, espérant que elle relèvera un peu le niveau de ce premier film. même la série scream paraissait plus plausible, c'est pour dire.
J'ai trouver les acteurs super et la peur était au rendez vous cependant j'ai trouvé ca un peu trop simple de faire surgir le méchant un peu partout, au bon endroit au bon moment. De nombreux film font ca mais je m'attendais a un truc mieux mené de la part de rob zombie. Enfin cela reste quand même un bon film d'horreur.
Rob Zombie nous fait du Rob Zombie, et comme on s’y attendait, son remake du film de Carpenter se veut plus trash, plus gore, plus violent. Une excellente initiative, l’intérêt d’un remake n’étant pas de faire un pâle copier-coller de l’œuvre référence mais de traiter le même sujet avec une approche différente afin d’en exploiter de nouveaux aspects (ce que beaucoup de remakes ne font malheureusement pas et n’existent que pour faire rentrer du fric, mais ceci est un autre problème). Mais plus que ça, Zombie multiplie les idées nouvelles, jusqu’à complètement changer le scénario, au point de déstabiliser le spectateur. Evidemment, certaines initiatives sont de trop, et on regrettera particulièrement une dernière demi-heure assez ridicule et bâclée ; mais là où son Halloween pêche, c’est plutôt dans son manque d’ambiance, un comble quand on sait que c’est sur cet aspect que le premier opus a construit son succès. Pour le reste, on appréciera l’exercice de style, rythmé et efficace, et qui s’intéresse (pour une fois dans le genre) à la consistance des personnages en explorant la jeunesse de Michael.
La relecture du mythe de la saga Halloween par l’auteur du très violent et plaisant dyptique « La maison des 1000 morts – The devil’s rejects » s’avère pertinente surtout dans sa première partie qui s’attache à décrire le commencement de l’horreur. Reste que le film devient trop classique par la suite et parfois un peu ennuyeux, la fascination du début ne laissant pas la place à un véritable sentiment de terreur. De plus, un bon slasher ne devrait pas durer plus d’une heure et demi, or en l’occurrence avec 1h49, c’est bien trop étiré pour développer une seconde partie aussi mince. Un bon petit film cependant qui laisse augurer d’une suite plus réussie.
Bien meilleur que l'originale, ce film est à voir et à posséder dans sa vidéothèque... pas très gore mais bien surprenant, la fin est grandiose, rien à redire si ce n'est que laurie pleure un peu trop à la fin, on à juste envie de lui dire ta gueule mais sinon cest exellent. vivement la suite
Remake de l'incroyable film de Carpenter, Halloween version 2007 commence très bien. En effet, on se trouve à contempler, dans la première partie du film, l'enfance de Michael Myers. On en apprend un peu plus sur le personnage et ceci est fort appréciable, car nous n'avons plus devant nous un bête tueur en série. La seconde partie est beaucoup plus classique et reprend la trame principale de l'originale. Néanmoins, la réalisation de Rob Zombie est très bonne et l'on apprécie le film dans son ensemble. Enfin un bon remake (avec la colline a des yeux).
J'ai vraiment beaucoup aimé se remake de rob zombie surtout la première partie qui nous aide a mieux comprendre le coté psychologique de michael puis la 2éme partie est vraiment bien faîtes avec des meurtres ou le sang coule a flot pour finir j'attend avec impatience la suite !
Ce remake n'est pas exempt de défauts, mais possède assez de qualités pour être salué. Le duo McDowel, Dourif deux acteurs que j'aime beaucoup permet au film de se doter de second rôles pas mauvais du tout. L'histoire est globalement la même que celle du film de Capenter, mais Zombie plutôt que de faire un préquel inutile et raté, l'inclus dans son remake ce qui est l'une des forces du film, mais qui cause par moment certains moments un peu ridicule (je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler), toujours est il que ce remake a une psychologie que l'original n'avait pas forcément, il reste donc un exercice intéressant pour Zombie qui livre un film décadant, barré et glauque.
Quand un des jeunes cinéastes de la nouvelle génération d’Hollywood s’attaque à un mythe du cinéma d’horreur, il en résulte «Halloween» (USA, 2007) de Rob Zombie. Le cas de Rob Zombie est singulier. Plein membre d’une nouvelle génération de cinéastes postmodernistes, Zombie mêle extraversion et horreur. Zombie relit le mythe de Mike Myers en élargissant à la moitié du film la période de l’enfance du serial-killer. Reproduisant un des composants de la culture gothique (cette faculté à voiler son visage et ses expressions derrière une multitude de masques) Myers est un être énigmatique, un monstre mu par le simple dégoût d’une vie sans dignité, où le sexe, l’alcool et la violence régissent le quotidien. Le premier meurtre accompli par le jeune garçon, dans une forêt esseulée et sous une musique de Tyler Bates, est l’occasion pour Zombie de projeter plein écran la haine qui habite son personnage. La projection de cette rage n’affiche pas un dégout ni un certain cynisme à la Céline, il révèle plutôt la grande détresse d’un enfant. Fils de parents divorcés, Mike Myers inverse ces pulsions de vie du côté de la mort et accomplit son trop plein d’affections en tuant des animaux. Aller plus loin serait exagérer la psychanalyse du personnage. Toutefois, la façon méprisante avec laquelle Zombie filme les scènes de famille, séquence symptomatique des rages de l’enfant, prouve le dégout qu’il a de ce type de foyers. La suite des évènements, où Mike Myers, au-delà de son masque, de par ses actions et l’entêtement de son projet sentimental, témoigne de l’affection que Zombie porte à ce marginal. Le postmodernisme du cinéaste, avec toutes les dérives impudentes que cela risque, mêle mélodrame et film d’horreur. Refuser de constater la réussite de l’œuvre de Zombie selon l’idée qu’elle ne rend pas hommage à celle de Carpenter, c’est préférer à l’ambition d’une modernité l’académisme des honneurs. De la part de ceux qui savent apprécier «Halloween», c’est impensable.
Les grandes studios americains ne retiennent jammais les leçons de leurs bouses filmiques (sauf en cas d'échec et redémare un nombre incalculable de franchise , au lieu de s'arreter là). Mais la mode aujourd'hui n'est plus les suites à rallonge, mais les préquelles ou les remakes multiples. Raconter l'enfance de micheal myers, est la grande raison, pour laquelle Zombie s'est investit dans ce film. Envie de développer des ambiances, des émotions, des psychologies. Tout ce qui entoure la vie de famille de myers et son passage en hopital pshychatrique est ce qui donne au film, tout son interet. Meme si on pensait que Zombie prendrait plus son temps et laisserais le temps aux personnages de s'installer. Mais rest acceptable par rapport à la deuxieme partie. Cette seçonde partie est vraiment décevante. Meme si il y a de l'humour et du cliché, il fait tourner le slasher à vide. On s'ennuit vite. Moi qui reprochais à la maison des 1000 morts d'utiliser du déja-vu, là c'est encore plus flagrant. Ce qui est encore plus frustrant, c'est que rob zombie va réalisée la suite. Et vu qu'il déja racontée l'histoire de micheal myer, je crains un slasher sans gout. J'espere qu'il fera autre chose ou qu'il arrivera à se l'appropriée. En tout ca, bien mieux que ce film mineur. (Par aillurd, les fans de Devil's rejects et de la maison des 1000 morts, s'amuserons à reconnaitre les differents acteurs du film précedent de rob, à travers tout le film)
Encore une fois Rob Zombie impose son talent... Film d'horreur énorme, qui rappelle (pour les connaisseurs) "La maison des 1000 morts" et "The devil's reject". D'ailleurs, dans Hallowen, il y a la même bande d'cteurs ! Bref énorme, super bien filmé, bon scénario, tout y est. Un chef d'oeuvre du genre !
Réussir le pari de reproduire le célèbre "Halloween" de Carpenter s'avérait un pari risqué mais Rob Zombie par son talent de scénariste réussit à créer une nouvelle histoire et à nous plonger dans l'enfance tragique de Michael Myers qui le conduit à devenir de plus en plus fou, impulsif, fort et violent. La première partie du film est extrêmement réussie danhs la mesure où le scénariste parvient à trouver des répliques qui touchent juste, qui évoquent le milieu pauvre, sale, malsain et glauque dans lequel cet enfant est enfoui. Il est tout aussi plaisant de visionner un très bon "Halloween" que de retrouver des têtes d'affiche connues comme Malcolm McDowell dans un rôle où pour une fois il interprête un psychiatre calme, sobre et moral. Le film montre donc le parcours de Myers, son séjour en hôpital psychiatrique, son évasion et retrouver sa soeur qu'il aime tellement. Coté technique et scénario, tout représente la perfection d'un long-métrage de vrai professionnel, Rob Zombie redonne un second souffle à une saga qui devenait de plus en plus débile. Si on doit donner un conseil à tous ceux qui n'ont pas encore découvert le "Halloween" de Carpenter alors laissez-le au placard et jetez-vous sur ce film qui restera sans doute comme l'un des tous meilleurs films d'horreur de tous les temps. Si on devait ajouter un bémol, ce serait la répétitivité des scènes de meurtres mais elles sont si bien filmées et le bruitage tellement réaliste que le spectateur sursaute et reste cloué à son siège durant toute la longueur de ce long-métrage jouissif, prenant, tendu, implacable, réaliste et bien évidemment sordide et impitoyable. Ce slasher, genre qui existe depuis les thrillers de Dario Argento possèdent tous le même point commun, c'est qu'ils vous hantent et qu'ils vous tiennent en haleine du début à la fin avec des acteurs et des actrices fortes à leur aise lorsqu'il s'agit de cracher du sang ou de hurler avant de rendre l'âme. Pas de doute, Rob Zombie a tout assimilé. Bravo!
En deux films innovants, Rob Zombie s’est fait une solide réputation dans le monde somme toute assez fermé des réalisateurs de film d’horreur. Grand fan de Carpenter, il décide de s’attaquer à l’Himalaya du slasher le bien nommé « Halloween » décliné depuis 1979 d’avatars plus ou moins réussis (plutôt moins que plus).Pas facile ! Par quel bout prendre l’opus du grand Carpenter qui à priori ne souffre d’aucune lacune pouvant justifier une nouvelle version ? Une séquelle ; une préquelle ou un remake fidèle en tout point comme le fit Gus Van Sant avec « Psychose ». Zombie a choisi un point de vue intéressant en centrant le film sur Michael Myers. Il oriente donc sa première partie sur l’enfance de Mike Myers avant et après le crime initiatique. C’est durant la seconde partie moins convaincante qu’il s’attaque à un remake condensé de la fameuse « nuit des masques » où Jamie Lee Curtis première scream queen de l’écran défend telle la chèvre de Monsieur Seguin sa peau et celle des mioches dont elle a la garde. Cette seconde partie n’apporte rien car elle est forcément moins réussie que sa devancière. Myers reprend son rôle habituel et de par le choix scénaristique on est moins familiarisé avec les personnages secondaires qui ont bénéficié de moins de temps pour imprégner nos petits cerveaux. De plus la jeune actrice qui remplace Jamie Lee Curtis a bien du mal à exister. Je passe sur Malcom Mac Dowell qui n’arrive pas à supplanter le grand Donald Pleasance dont le regard paraissait au moins aussi fou que celui de son protégé. Seuls trois quarts d’heure arrivent à retenir notre attention ce qui est un peu maigre. On retiendra quelques plans qui arrivent à faire leur effet comme ils le faisaient déjà dans le premier opus. Je parle bien sûr des plans fixes de Michael Myers, posé telle une statue dans les rues de la petite bourgade. Insuffisant ! Quand on n’a pas un parti pris à faire valoir il vaut mieux ne pas s’attaquer à une légende même pour l’appât des billets verts
Une bonne actualisation du mythe Halloween! La première partie du film est originale et intéressante ; la seconde est plus classique et la fin est malheureusement sans fin! R. Zombie use un peu trop d'effets sonores et visuels! Il y a quelques longueurs évitables, quelques imprécisions et des incohérences. Ce remake-préquelle du personnage masqué reste une valeur sûre de l'horror-movie!