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tomPSGcinema
766 abonnés
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2,5
Publiée le 17 janvier 2020
Le scénario est certes convenu et ne propose pas beaucoup d'originalité, mais ce western signé Umberto Lenzi mérite tout de même d'être visionner pour la qualité de sa réalisation qui propose des très beaux plans, pour sa sympathique BO et aussi pour la bonne tenue de son casting.
Rien d’exceptionnel dans ce western italien anonyme tourné sans doute très rapidement par Umberto Lenzi qui n’a guère soigné le script (très sinueux), ni sa mise en scène (on est loin des exubérances du genre), ni sa direction d’acteurs (Peter Lee Lawrence, allemand décédé en 1974 à l’âge de 30 ans est d’une fadeur extrême). Seule la musique et la séquence qui voit l’attaque d’une ville par des fous échappés de l’asile viennent rappeler que nous sommes bien dans un western rital. L’ensemble se regarde tout de même d’un œil distrait. Ce n’est pas catastrophique, mais quelque peu anodin et sans personnalité aucune.
Un petit western spaghetti sans génie mais distrayant. Le scénario –encore une histoire de vengeance- n’a rien de bien surprenant et reste très classique (et c’est bien dommage car il y avait un vrai potentiel avec la contradiction entre les convictions religieuses du héros et sa soif de vengeance). Bien sans que n’ayant pas grand chose de remarquable, "Pistolets pour un Massacre" peut néanmoins s’appuyer sur une action rythmée et sur quelques scènes plutôt réussies (comme les premières scènes de vengeance au début du film ou encore l’évasion des fous). Suffisant pour en fait un honnête film de série B.
Un western italien de bonne facture, rien de marquant mais dans son genre il est tout à fait divertissant. Après un début très rapide, en 15 minutes notre héros (un confédéré) est condamné à 2 ans de travaux forcés pour refus de se servir d'une arme puis gracié (à cause de la fin de la guerre) rentre chez lui pour découvrir la mort de ses parents, apprend à tirer et tue 3 des assassins de ses parents et enfin le reste du film est consacré à la traque du dernier bandit. Comme dans la plupart des westerns spaghetti Pistolets pour un Massacre a sa dose de sadisme avec son héros passé à tabac mais c'est surtout grâce à la scène des fous que Pistolets pour un Massacre sort un peu de l'ordinaire.