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konika0
27 abonnés
778 critiques
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4,0
Publiée le 29 août 2021
Monsieur pop Faire une suite au premier OSS (au premier d’Hazanavicius j’entends) n’était peut-être pas une bonne idée. Ou peut-être que si. J’avoue avoir peu d’appétence pour les « sagas » et préférer les one shot qualitatifs. Mais bon, ne boudons pas notre plaisir. On retrouve l’agent d’élite des renseignements français pour une enquête et un échange de valises au Brésil. Il va devoir collaborer avec le Mossad vu que derrière tout ça, il y a des nazis. Au fond, l’histoire importe peu car c’est la truculence des gags et des dialogues que l’on attend. D’ailleurs, on peut dire que l’intrigue manque parfois d’efficacité et traîne en longueur par moments. On retrouve un millier de références et d’emprunts plus ou moins subtiles, conformément à l’univers d’Hazanavicius, sorte de Tarantino filou et rigolard. A l’écran, la reconstitution des années 1960 est particulièrement réussie. L’ambiance sonne juste et le too much est comme il faut. Au rayon des dialogues, il y de beaux moments d’anthologie et les répliques tapent encore une fois là où ça pique la fierté cocorico. On se marre toujours autant devant la beauferie archaïque et imbécile de ce neuneu promu au rang d’agent de l’intelligence franchouille. A l’interprétation, rien à redire, Dujardin sera à jamais OSS 117 et il est très bien accompagné par des seconds rôles efficaces. En bref, si l’on ne retrouve pas la fraîcheur du premier opus et si le l’intrigue aurait gagné à être resserrée, ce deuxième OSS n’en reste pas moins une belle réussite et une très bonne comédie comme il y en a peu.
Oss117 pour certains c est culte ... ok c est une comédie, l humour potache et l art de la réplique debile pourquoi pas ? Enfin bon parfois c est quand même très limite. Je dois admettre que sur la quantité on arrive à en retenir quelques unes ; et même à décrocher un sourire, pas forcément plus. Alors pour les amateurs second degré ça passera. Dujardin en tout état de cause joue parfaitement, ce qui quand même un plaisir à voir. On oublie évidemment le scénario très mince juste prétexte à mettre en avant ces personnages autour de l espion français
Une très bonne suite moins bonne que la première !
Aujourd’hui on s’attaque à: "OSS, 117 : Rio Ne Répond Plus", je fais cette critique pour préparer le troisième opus !
Le réalisateur Michel Hazanavicius signe avec " OSS 117 , Rio ne répond plus " une très bonne suite du film " OSS 117 , Le Caire nid d’espions " . Le casting est toujour au top avec a sa tête un Jean Dujardin qui est toujours aussi excellent et hilarant dans le rôle de Hubert Bonisseur de la Bath alias OSS 117 cette espion français maladroit , ignorant , mysogyne et légèrement raciste . Ce coup ci il va partir au Brésil sur les trace d’un ancien Nazi qui a voler un microfilm compromettant pour l’Etat Français en compagnie d’une juive du Mossad ( agence de renseignements d’israël ) qui va l’aider dans sa mission . Et forcément son ignorance totale en matière de culture , de religion et de l’histoire nottament concernant les juifs et les nazis pendant la seconde guerre mondiale vont encore une fois lui jouer des tours qui va le mener à faire gaffe sur gaffe et c’est toujour aussi drôle à voir. Certes je préfère largement le première opus, mais ce film est quand même très divertissant, même si on remarque que DuJardin a pris 9 ans de vieillesse (et également sûrement pareil pour le nouveau volet qui est encore au cinéma..)
N'ayant encore vu aucun OSS, je m’apprêtai à passer une bonne soirée vu les bons retours dont bénéficie cette série de films. Si dans le premier tiers du film et la mise en place des personnages ça fonctionne plutôt bien, on se perd rapidement dans des scènes interminables et souvent ridicules. Un seul exemple parmi tant d'autres, lorsque les personnages s'enfuient sous un déluge de balles qui n'arrivent jamais à les toucher, c'est plutôt drôle et bien vu mais la scène revient plusieurs fois et ça devient bien lourd. On dirait que le réalisateur a dû combler un scénario trop court. Les bonnes répliques et le jeu de Jean Dujardin n'arrivent malheureusement pas à sauver l'ensemble de l'ennui.
Drôlement efficace ce second film . Dujardin assure à lui seul le spectacle et il en vaut la peine . Vraiment plus drôle que le premier et surtout un peu mieux écrit je comprends pourquoi c est devenu culte .
La mise en scène de Michel Hazanavicius est toujours aussi belle mais l'histoire est sans intéret, et on peut juste se raccrocher aux aneries d'un Jean Dujardin de plus en plus à son aise dans le rôle. Suffisant pour sourire et rire un peu entre deux baisses de rythmes.
J'ai horreur des films d'espionnage mais avec de l'humour, ça permet une bonne soirée ! OSS toujours 1er degré, merci à Jean Dujardin de sélectionner des comédies bien écrites ! 3,5/5
Un film distrayant, avec des situations finement cocasses et des propos ... sulfureusement déjantés. Personnellement, j'ai bien ri ! Le personnage d'OSS 117 est moins premier degré que dans le premier film ; c'est donc un peu plus sérieux et beaucoup moins potache (ce qui n'était pas désagréable, de mon point de vue). En revanche, j'ai trouvé cette suite bien meilleure sur trois plans : d'abord, les acteurs sont tous d'un très bon niveau et la psychologie des personnages est nettement plus subtile ; ensuite, le scénario est beaucoup mieux construit (fluidité narrative, bon rythme dans les péripéties) ; et, enfin, cinématographiquement c'est top ! L'inventivité dans la mise en scène est superbe. Bravo au réalisateur. Bref, un très bon moment de cinéma.
OSS à Rio de Janeiro. C’est le second opus de d’OSS, après le Caire. Au début, il est dans le village de Gstaad. Mais Gstaad que de nom, car tout est tourné à l’intérieur. Après, c’est le Brésil. C’est un film rempli de blagues. Elles restent très lourdes à supporter. Il faut vraiment être amateur. Le scénario reste correct. Il y a de bonnes idées. Mais c’est sans plus.
Une très belle réussite qui est meilleure que le premier. Toujours plus d'humour, d'aventures et d'action. On en redemande. Jean Dujardin est vraiment comme un poisson dans l'eau avec ce film.
Retour sur grand écran de l'agent français le plus dilettante avez OSS 117 Rio Ne répond plus qui sort seulement trois années après le premier volet. Comme son titre l'indique, OSS va cette fois-ci partir en mission au Brésil. Cette seconde aventure est encore plus appréciable que la précédente. Son histoire débute comme la première mais sort un peut plus des sentiers de l’espionnage au fil des minutes ce qui est appréciable. De plus l'humour est moins lourd que dans l'épisode précédent. OSS est toujours aussi maladroit dans ses propos ce qui donne lieu à des scènes ou l'incompréhension règne. Fidèle à lui même on le retrouve toujours aussi misogyne et totalement aveuglé par les femmes qui se servent de lui pour le piéger en le charmant très facilement. Il déjoue les traquenards avec une grande facilité paraissant invincible lors des divers situations. Les environnements son exotiques nous faisant un peu sortir de la simple mission avec quelques moments surprenants. Tout est absurde et pas mal de passages son drôles même si l'on rit un peu moins dans la seconde partie. Chose appréciable, il en fait moins des caisses n'abusant plus autant de ses rires forcés ce qui le rend moins irritant et plus sympathique. Le casting est toujours aussi impeccable, Jean Dujardin en tête. Il fait rire de part ses expressions faciales très marquées. Les autres acteurs qui l'entourent sont tout aussi plaisants que ce soit Louise Monot alias Dolorès qui apporte du répondant à son duo sachant le remettre à sa place en restant insensible à ses avances et Alex Lutz en hippie fils de nazi ainsi que tous les autres personnages tout aussi réussis et décalés. Les répliques qu'ils se balancent sont amusantes et font sourire, n'ayant pas peur d’égratigner certaines communautés. Côté technique, le visuel est toujours aussi splendide. La réalisation de Michel Hazanavicius utilise très bien les codes du genre aidée par un montage dynamique totalement libéré. Les paysages variés offrent des couleurs vives qui invitent au voyage et sont sublimés par une photographie léchée. Esthétiquement le long-métrage est à la hauteur une fois de plus. Reste un b.o. entrainante de qualité souvent présente pour notre plus grand bonheur ainsi qu'une fin attendue mais sympathique même si la toute dernière scène n’était pas forcément utile. Reste qu'au final OSS 117 Rio Ne Répond Plus est un film très plaisant même si la formule n'évolue pas beaucoup. C'est évidemment une comédie à voir si vous avez appréciez l'original.
Douze ans après ses mésaventures au Caire, l'agent OSS 117 est envoyé en mission au Brésil pour négocier un échange avec un ex-dignitaire nazi. Sauf que l'espion franchouillard n'a rien perdu de ses mauvaises habitudes, à base d'inculture, machisme et patriotisme aveugle. Ses ennemis et alliés n'ont qu'à bien se tenir... On voit bien ce qui a pu motiver l'écriture de cette suite, au delà de la réussite financière du Caire nid d'espions. Le mot d'ordre : aller plus loin, confronter son empoté de héros à un humour plus casse-gueule, en résumé faire un bras d'honneur au politiquement correct. Mission doublement réussie. Il faut voir les gaffes et bévues accumulées par Hubert Bonnisseur de la Bath, que Michel Hazanavicius prend un malin plaisir à accompagner de contre-champs sur les visages déconfits de ses interlocuteurs, avec un bon silence bien gênant comme seule réponse histoire de rendre les gags encore plus drôles. Clichés antisémites, boulettes à répétition, paternalisme désopilant ; OSS 117 représente la quintessence du décalage total, jamais volontairement odieux mais toujours incroyablement arriéré. Rio ne répond plus s'amuse non-stop à le confronter à son anachronisme, face au Mossad, aux femmes, aux hippies ainsi qu'aux Nazis. On enchaine les séquences et dialogues cultes avec encore plus de réussite que le premier opus. Une amélioration qui se traduit également par une intrigue plus fluide et un fil rouge qui reste moteur, quand Le Caire, nid d'espions donnait parfois l'impression de multiplier les saynètes jusqu'à faire oublier le but de la mission. Esthétiquement, la direction artistique atteint l'excellence avec un art consommé du pastiche et de l'hommage. La mise en scène choisit délibérément d'assumer ses nombreuses références au cinéma d'alors (du cinéma de La Broca jusqu'à James Bond), et d'en reproduire les codes/effets au niveau de la photographie, du découpage ou du montage. Comme capsule temporelle, difficile de faire mieux. Puis évidemment, il faut parler du casting une fois de plus phénoménal. Jean Dujardin prend beaucoup de plaisir à ridiculiser son personnage de mufle tirés à quatre épingles, c'est d'autant plus remarquable que le script enchaine les péripéties où OSS 117 s'enfonce de plus en plus. Vous n'êtes pas près d'oublier la nuit de folie chez le groupe Hippie, le plaidoyer face aux troupes hitlériennes ou cette course-poursuite à l'hôpital. Hazanavicius s'est donc employé à seconder Dujardin avec moult interprètes inoxydables pour contrebalancer la crétinerie de son héros. De Louise Monot à Rüdiger Vogler en passant par Alex Lutz ou Pierre Bellemare, c'est un sans-faute et Dieu sait que la tâche était ardue. Toujours plus loin, plus haut et plus fort ; un crédo qui correspond parfaitement à ce OSS 117 numéro 2 qui lâche les chiens et n'est jamais meilleur que quand il va sur des terrains glissants. Une audace qui l'honore et propulse la franchise parmi les plus belles contributions à la comédie française depuis un bon bout de temps.
Film extrêmement marrant, un bon film français dans sa catégorie ; car il est à regarder sans se poser de questions, il est également à regarder au second degré. Très divertissant et amusant.
Un peu moins drôle que le précédent, même si l'on retrouve les grands éclats de rire qui font rire de regarder rire les personnages. Toujours un peu de géo-politique, même si les nazis se mêlent à l'histoire, la rendant plus passe-partout. Des décors superbes (la maison des espions israéliens, notamment). Un film aux couleurs des années 70 avec ses écrans divisés en carrés, rectangles....