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Pierre C.
15 abonnés
138 critiques
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4,5
Publiée le 16 juillet 2022
Wow wow wow, Aixellent film, Jean Dujardin maîtrise à la perfection. L'acteur chinois est doué aussi. La théorie qui émet l'hypothèse que le film est raciste est interressante, elle me fait penser à celle qui dit que tous les allemands étaient nazi sauf qu'on est encore plus loin dans la bêtise. Péripéties amusantes, humour très bon dans les situations, les dialogues, les mimiques, la mise en scène. Film joyeux et pas trop long. Une bonne comédie française. Très très lourd, on en reparlera quand il faudra le porter.
J’ai ultimement adoré ce film. Jean Dujardin est parfait pour ce rôle, le film est drôle et touche à des sujets comme on n’en fait plus (sûrement un des derniers films aussi audacieux).
Ce 2ème volet est dans la bonne lignée du 1er opus !! On reprend ce qui fonctionnait très bien en l'améliorant !! l'humour second degré est hilarant, tant par des dialogues subtils ou lors de scènes d'actions parodiant la saga James Bond en autres !! Jean Dujardin est vraiment à fond d et prend un malin plaisir à jouer à jouer son personnage machistes, homophobe et racistes !! Les décors sont une nouvelle fois au top !!
C'est le seul Oss 117 que j'ai vu il a l'air pas mal comiquement parlant mais les blagues peuvent inciter à la haine et c'est donc pour ça qu'il me donne pas du tous envie de voir les autres voila
Une suite du célèbre agent secret OSS117 alias de la batte qui est toujours une parodie humoristique de James bond français mais avec des gadget pas terrible et sont humour potache . Pour cette suite l'humour est au rendez-vous avec de bonne scène drôle et de bon moment de passer des dialogue très bien et certains qui sont même devenue culte depuis la sortie du films . Par contre en revanche dans le scénario il y a des chose beaucoup prévisible comme la fin du film , les criminel et leur identité bref des chose trop prévisible qui gache le plaisir de regarder ce deuxième opus de oss17 jouer par un jean Dujardin plutôt en forme et qui mérite des rôles comme celui la contrairement à d'autre films dans lesquels il a jouer.
résumer : Douze ans après Le Caire, OSS 117 est de retour pour une nouvelle mission à l'autre bout du monde. Lancé sur les traces d'un microfilm compromettant pour l'Etat français, le plus célèbre de nos agents va devoir faire équipe avec la plus séduisante des lieutenants-colonels du Mossad pour capturer un nazi maître chanteur. Des plages ensoleillées de Rio aux luxuriantes forêts amazoniennes, des plus profondes grottes secrètes au sommet du Christ du Corcovado, c'est une nouvelle aventure qui commence. Quel que soit le danger, quel que soit l'enjeu, on peut toujours compter sur Hubert Bonisseur de la Bath pour s'en sortir...
Ce deuxième opus est largement en-dessous du 1er. Même si l’on passe un bon moment et que l’on rit pas mal, la réalisation est moins affinée et le tout est visuellement beaucoup plus grotesque, comme l’humour.
C'est vraiment pas terrible. D'accord c'est une caricature de James Bond. Mais les situations ne sont vraiment pas assez comiques et les blagues à deux balles pas assez drôles pour que ce soit réussi. Enfin le jeu décalé de Jean Dujardin est si lourd qu'on se demande vraiment parfois si c'est du lard ou du cochon...
Génial! Aussi drôle que le premier!! L'ironie et le second degré sont poussés au maximum dans cet épisode tout comme l'auto dérision de la France et de ses serviteurs. Tout comme le premier, pas à la portée de tout le monde: premier degré passez votre chemin!
OSS 117 : Rio ne répond plus, 2ème opus de la saga OSS par Jean Dujardin.
Ce deuxième est à mon sens meilleure que le premier, la trame narrative est plus claire, l’humour est davantage centré sur le protagoniste OSS et limite les scènes cartoonesque. La réalisation essai quelques plan originaux qui s'inclut parfaitement dans l’univers d’OSS 117. Les fonds verts sont toujours aussi moches alors que les décors brésiliens sont superbes. Le personnage est toujours aussi con, raciste et misogyne. Cette humour noir est aujourd’hui perdu à cause d’une société qui ne comprends même plus le second degré. Ce deuxième film est le plus drôle notamment grâce à Jean Dujardin. Un très bon film humoristique.
Que dire si ce n'est que c'est une suite très réussi, j'avais peur que cela soit "la suite de trop" qui capitalise sur le succès du premier pour se vendre mais que nenni, c'est tout aussi maitrisé que le premier, des dialogues d'une rare bêtise (dans le bon sens du terme), chaque réplique est quasiment culte, chaque scène est encline a un fou rire et ca fait du bien, Merci Mr Hazanavicius de m'avoir redonné foi dans la comédie française
Toujours la même décontraction de Jean Dujardin, mais son personnage, dans cet opus, fait plus penser à Bob Sinclar du "magnifique" avec Bermondo que Bond, ou "L'homme de Rio" , du coup. Hazanavicius est plus proche d'un Philippe de Broca que d'un Terence Young. D'ailleurs une des scènes, celui de la piscine, en fait certainement référence. La parodie est, peut être, un peu trop forcée, cette fois. Mais toujours de bon moment fort distrayant et drôle. Et des guest star comme Alex Lutz ou Pierre Belmare. A ranger au côté du premier opus!
Trois ans après ses premières aventures, notre espion hexagonal est de retour ! Le récit ayant beau se dérouler douze ans après le premier film, le personnage incarné par Jean Dujardin n’a pas changé. Il est toujours aussi prétentieux, cocardier, raciste et sexiste : en résumé, toujours aussi stupide.spoiler: Il se fait d’ailleurs insulter en anglais par Bill et en hébreu par les agents du Mossad sans qu’il s’en rende compte. Un espion qui ne comprend même pas la langue de Shakespeare est donc loin de pouvoir rivaliser avec James Bond.
Et pourtant, celui qui est appelé par les agents du Mossad Double 1 7 (en référence à Double 0 7) est capable, encore plus que son homologue anglais, d’éviter toutes les balles ! Effectivement, Michel Hazanavicius s’amuse à nouveau à multiplier les références au héros de Ian Fleming sans se limiter uniquement à celui-ci. Par exemple, le créateur de La Classe américaine enchaîne les références cinématographiques comme celles à Alfred Hitchcockspoiler: (la scène de la poursuite dans l’escalier pastiche clairement celle de Sueurs froides, le nazi suspendu dans le vide depuis une statue gigantesque renvoie directement à Cinquième Colonne et le raccord entre la remontée de celui-ci et celle de Dolorès reproduit nettement ce même effet dans La Mort aux trousses) , aux films de catcheurs mexicains ou plus littérairesspoiler: (Von Zimmel reproduit en version nazie le célèbre monologue concernant l’humanité des juifs du Marchand de Venise de Shakespeare) . OSS 117 : Rio ne répond plus prolonge donc l’ambiance parodique de Le Caire, nid d’espion mais le cinéaste a l’intelligence de ne pas faire une simple redite de sa mise en scène du premier film. Le nouveau long-métrage se déroulant dans une autre époque, il adapte donc, en bon cinéphile qu’il est, celle-ci aux codes cinématographiques de la période qu’il retranscrit. On y retrouve donc une ambiance plus pop multipliant les split-screens et confronte notre héros aux évolutions sociétales d’alorsspoiler: (il y découvre les hippies et l’amour libre !) , ce qui amène de nombreuses séquences très amusantes. En effet, Hazanavicius réussit à signer une œuvre n’ayant pas à rougir face à son premier volet et pouvant même être considérée comme étant encore plus drôle que celui-ci. Les gags réussis s’enchaînent et on sent que Jean Dujardin (accompagné dans des rôles secondaires par d’autres visages connus tels qu’Alex Lutz et Pierre Bellemare) s’amuse toujours autant dans son rôle d’agent secret totalement crétin au service d’un régime qu’il présente involontairement comme dictatorialspoiler: (quand il compare la dictature militaire brésilienne à la France du Général de Gaulle en réponse à Dolorès) . OSS 117 : Rio ne répond plus devrait donc une fois de plus plaire à tous les amateurs de comédies parodiques et est une bonne représentation de ce que le cinéma français peut faire de mieux dans le genre.
le pure dex trois, ca ne démarre jamais, humour se voulant au troisième degré mais demeurant a un faible premier degré, quel contraste avec Le Caire, lui désopilant
Attention postiche ! Dès les premières minutes l'accumulation de patronymes français est hilarante ! L'apparition de Pierre Bellemare fait regretter qu'il n'ait pas été plus présent en tant qu'acteur de cinéma. Les effets spéciaux, les costumes, les décors, les attitudes, la musique, plongent le spectateur dans les années 1960 avec délice. Les jeux de mots, calembours et autres blagues se comptent à la pelle ("Restez tranquille double un sept !"). Quant à Hubert Bonisseur de la Bath (Jean Dujardin), il a toutes les qualités, misogyne ("On en parlera quand il faudra porter quelque chose de lourd !"), raciste, antisémite, faignant, paternaliste, désuet ("Je n'ai collecté que risées et quolibets !"), son humour est décapant ("Pour rencontrer monsieur Lee, il vaut mieux une bonne couverture !"), c'est tout ce qui le rend attachant.