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Un visiteur
4,0
Publiée le 21 mars 2018
Un deuxième opus aussi réussi que le premier avec le même humour grinçant ! Si vous n'avez pas aimé le premier passez votre chemin. Dans le cas contraire vous pouvez y aller sans hésiter ! Vivement la troisième !
1 étoile pour les décors et costumes qui sont au top !!!! Tout le reste : aux oubliettes ! Les dialogues, les gags, le scénario... tout tombe à l'eau !!!! Je ne comprends pas pourquoi ce torchon hérite de 4 étoiles par les professionnels sur Allociné...
Je l'ai vu et revu avec toujours autant de plaisir. Il montre bien la misogynie, le racisme et l'exotisation des vieux James Bond (ça me saute aux yeux maintenant quand je les vois) ; et d'un autre côté, il est tellement plein de blagues et de répliques que mes ami.e.s et moi nous récitons. Le pire c'est que même l'histoire tient à peu près debout alors que c'est surtout une parodie. J'ai même créé mon nom de drag queen à partir du personnage de Carlotta !
Profondément drôle, OSS 117 joue avec le racisme, la misogynie, grâce à un personnage principal totalement stupide. Dujardin excelle, avec son rire et son sourire prétentieux, tandis que l'écriture fuse, offrant une pelleté de répliques cultes et de situations cocasses.
Définitivement, OSS 117 n'est pas le genre de film que je préfère, même si en soit j'ai passé un bon moment devant ce film, je me suis tout de même un poil ennuyée. Je suis toujours autant concquise par les décors, les costumes et la bande originale qui sont superbes. La réalisation qui reste également intéressante. Mais je ne suis toujours pas fan du personnage et le scénario, je pense tout bonnement que je ne suis pas fan de tous les films d'espionnages et cette franchise en fait partie. L'univers de Michel Hazanavicius et pourtant intéressant.
Humour faussement lourdingue, mais finalement assez raffiné, avec des dialogues travaillés, ce film m'a fait vraiment rire. Jean Dujardin joue un abruti fini, inculte, raciste, obsédé par les jolies filles, et proche de la débilité, qu'on appelle pourtant à résoudre de grandes enquêtes ! Outre l'humour, c'est aussi une aventure dans le Brésil des années 50 à la recherche de nazis cachés, et de jolis décors qu'on nous fait voir. On rit tout au long de cette aventure entre le sérieux que réclame une telle enquête et la débilité du personnage principal. D'ailleurs, le contraste entre l'intelligence et le sérieux de l'agente israélienne, et de ce détective débile qui ne pense qu'à coucher avec, contribue à cet humour ravageur. A noter aussi l'excellente prestation du faux hippie qui s'avère être plus tard le fils d'un nazi. Je recommande.
Il est toujours difficile de se renouveler, d'apporter de la fraîcheur pour la suite d'un film parodique. Souvent les blagues sont les mêmes, le scénario baclé et l'on reste sur la réussite du premier opus. Et bien Rio ne répond plus a réussis se tour de force, malgré le même personnage et le même contexte, c'est nouveau, c'est drôle (peut être un peu moins que le précédant) et sincèrement je pense qu'un troisième à le droit de voir le jour. Je pense que cela fonctionne grâce à des personnages secondaires très intéressant tel qui ce bon vieux Bill Trumendous !
J'ai également trouvé géniale la scène où Hubert fait son cérémonial de salutations à la DGSE ;).
Je vous le conseil, toutefois c'est un humour qui ne plait pas à tout le monde alors faites vous votre propre opinion.
Ambiance rétro, humour, action et ton toujours aussi décalé, cette escapade brésilienne fait une fois de plus mouche, Michel Hazanavicius appliquant la même recette que l’épisode précédent. Délicieusement divertissant, cet « OSS 117 » est moins surprenant pour le coup bien que Jean Dujardin soit une nouvelle fois au top. A quand un troisième ?
Michel Hazanavicius pouponne son enfant. Alors qu’on pouvait s’attendre rapidement à une suite, celle-ci n’intervient que 4 ans plus tard. Et la réussite est une nouvelle fois, au rendez-vous. Reprenant les ingrédients du premier opus – mais cette fois-ci avec plus d’assurance – OSS 117 : Rio ne répond plus est un formidable hommage aux films des années 70 où l’exotisme, la découverte du tiers-monde vu par des occidentaux atteint son paroxysme. Jean Dujardin excelle une nouvelle fois dans son rôle d’Hubert Bonnisseur de la Bath – plus vieillissant et plus macho que jamais tandis que Louise Monot remplace sans difficulté Bérénice Béjo. La cible n’étant plus la communauté musulmane mais cette fois-ci les chinois et les juifs. Les talents d’écriture de Jean-François Halin ne sont plus à démontrer. C’est donc avec plus d’épaisseur, plus de finesse dans les plans mais également dans les blagues que ce nouvel opus s’émancipe devenant ainsi très indépendant par rapport au Caire, nid d’espion. Je vais dans cette critique davantage me cantonner à l’aspect technique que j’avais fis lors de ma précédente critique. Michel Hazanavicius est un homme qui aime le cinéma. Qui l’idolâtre. Ayant une solide culture cinématographique, il se permet – non sans humilité – à rendre hommage à son cinéma d’enfance. Avec des moyens techniques considérables, Hazanavicius pousse le spectateur à se projeter dans un visionnage qui sort tout droit des seventies. Malgré quelques faux-raccords, le tout semble cohérent, sincère et authentique. Ainsi, OSS 117 : Rio ne répond plus est une nouvelle fois, une réussite et démontre aisément que le genre comique n’est pas totalement mort dans le cinéma français. Formidable ode à la liberté de ton et d’humour, OSS 117 est objet de résistance dans un monde de plus en plus incertain. Même actuellement, je ne suis pas totalement sûr que de sortir un troisième opus de OSS soit une bonne idée. Le climat est probablement trop instable malgré la volonté de Jean Dujardin de camper un rôle iconique.
Ce second opus est au-dessus du premier même s'il demeure inégal (la dernière demie heure est insipide). L'humour reste particulier mais bien plus présent. Pour les adeptes du genre, uniquement !
Aventures exotiques, plus qu'espionnages à l'humour évaltonné mais ternies par une scène "narco-peace and love" assez regrettable. Malgré tout, on passe un vrai bon moment de détente comme pour le premier film.
Douze ans plus tard, OSS 117 revient… et il n’a pas changé. Ce second film est conçu comme le premier, c’est-à-dire un hommage au cinéma des années 60, cette fois-ci. Ici, il doit se rendre au Brésil, pour apporter l’argent à un ancien nazi en échange d’une liste de collaborateurs français. Mais le Mossad - les services secrets israéliens - veut capturer ledit nazi afin de le juger pour ses crimes. Mais il faut également faire avec des chinois venus à Rio se venger d’OSS 117 et de la CIA, qui n’est jamais loin, sans compter quelques hippies. Et cela donne l’occasion à 117 de faire des blagues (de mauvais goût) sur les juifs, les nazis, les allemands, les chinois, les femmes, les hippies, etc. Ce second opus est dans la ligne du précédent : on se moque de tout le monde, mais ce sont les français qui en prennent pour leur grade. L’hommage à la façon de filmer à l’époque du film continue ; ce sont les split-screens qui sont repris plusieurs fois (cela prend parfois trop de place). On retrouve les clins d’œil aux films d’espionnage du film précédent. On peut ne pas accrocher à tous les gags, mais on rigole souvent. Le personnage est joyeusement interprété par Jean Dujardin, qui s’amuse visiblement beaucoup. La réalisation de Michel Hazanavicius est soignée. Une comédie d’espionnage désopilante, à prendre au second degré.